4 resultados para Biondia insignis

em Gallica, Bibliotheque Numerique - Bibliothèque nationale de France (French National Library) (BnF), France


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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Contient : 1 Mémoires d'OLIVIER DE LA MARCHE, sans commencement ni fin. Premiers mots : «... et vengance de leurs haultaines et grandes entreprinses... ». Derniers mots : « ... que on nommoit messire Jaques de Lalaing, natif du pays... » ; 2 « C'est le triste revel de messire OLIVIER DE LA MARCHE, en son temps chevallier d'honneur de madame Marie, duchesse de Bourgoingne, dit le chevalier deliberé ». Premier vers : « Au sorty de mon reveil de somme... ». Derniers mots : «... Par celluy qui a tant souffert. La Marche ». Tout ce poème est écrit au vermillon ; 3 « S'ensuit la Relacion de BOURGOINGNE, roy d'armes de l'empereur, contenant son besoigner, quant il pourta au roy de France la responce de son cartel et la seurté du camp ». Premiers mots : « Jehan Bourgoingne, roy d'armes... de l'empereur... Charles cinquiesme... » ; 4 « S'ensuit le double de la teneur du cartel du roy de France » FRANÇOIS Ier « envers l'empereur » ; Premiers mots : « Nous Françoys, par la grace de Dieu roy de France... ». 1528 ; 5 Chronique de Bourgogne. Premiers mots : « En l'an XIIIIe apres la Resurrection N.-S., la tres glorieuse Magdeleine,... convertix le roy et la royne de Bourgoigne... ». Derniers mots : «... Dudit monseigneur le duc Philippe descendit tres victorieulx, tres chrestien prince Charles, à present duc et conte de Bourgoingne, que Dieu veuille garder, donner victoyre contre ses ennemis ». Après ces mots vient la mention en latin du décès du duc Charles le Téméraire devant Nancy ; 6 « La dispute du droict de la duché de Bourgoingne ». Premiers mots : « Le roy estant en Espaingne furent commis et depputez certains notables personnaiges tant de France que d'Espaigne... » ; 7 « L'espitaphe du duc Philippe de Bourgoingne ». Premier vers : « Jehan fut nay de Philippe, qui du roy Jehan fust filz... » ; 8 « Election imperialle ». Premiers mots : « Comme vasquoit nagueres la saincte empire... » ; 9 « Anno Domini 1519 fuit electus rex Hyspanorum imperator Romanorum, vacante nuper sacro Romano imperio... » ; 10 Vers en latin sur le même sujet : « Postulat imperium Gallus, Germanus, Iberus,... » ; 11 Vers en français sur le même sujet : « Lyon rempant en tout honneur prospere... » ; 12 « A quodam etiam interpretatio nominis Karoli, secundum litteras ». Premier vers : « Cueur coraigeux, carboucle reluisant... » ; 13 « Questio theologa. Utrum voluntas status triplicis varietate insignis multiplici fuerit libertate decorata ». Premiers mots : « Voluntas divina prima... » ; 14 Autres questions théologiques, en latin ; 15 Prophétie. Premiers mots : « Une prophétie trouvée à Veronne... » ; 16 Autre prophétie : « Item au pays du Lyon se fera une grande et merveilleuse bataille... » ; 17 Vers moraux tirés d'une édition de la Danse macabre : « Qui à bien vivre veult entendre... » ; 18 Autres vers : « Depuis Adam, le premier homme... » ; 19 « 1536. Nota que en l'an 1536 furent mutacions et grandes emotions entre les souverains... » ; 20 « Du lundi XVe de janvier 1536. Le roy a assisté à l'audition du Palais, au siege real de la salle dorée ». C'est le procès-verbal du lit de justice tenu pour déclarer Charles d'Autriche félon et la réversion des comtés de Flandre, Artois, Charolais, etc. à la couronne, fiefs tenus par ledit Charles ; 21 « Charolus sic interpretatur : Cueur coraigeux, carboucle reluisant... » ; 22 « Nota. Triplici enim coronatur illustrissimus imperator, videlicet ferrea, argentea, aurea... » ; 23 « Versus. Postulat imperium Gallus, Germanus, Iberus... » ; 24 Vers. « Lyon rampant en tout honneur prospère... » ; 25 « Vacante nuper sacro romano imperio, per obitum quondam serenissimi principis domini domini nostri Maximiliani,... ego Laurentius Triesis, decanus Maguntinis (sic), mere prefatorum dominorum dominorum graciosissimorum principum electorum... quo universi cognoscant prefatum dominum Karolum electum in... futurum imperatorem... ». Proclamation de l'élection de Charles-Quint à l'empire ; 26 « Condempnatio domini nostri Jhesu Christi. Nos Pontius Pilatus,... Ite, tenete eum »