28 resultados para 1524
em Gallica, Bibliotheque Numerique - Bibliothèque nationale de France (French National Library) (BnF), France
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1923/11/30 (Numéro 1524).
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1888/05/24 (Numéro 1524).
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Comprend : Notice sur Louise Labé ; Dialogue entre Sappho et Louise Labé
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F. 1 Invitatoire. F. 3 Temporal de l'antiphonaire de l'office. F. 161 Fragment de psautier férial. Additions : Verset d'un répons du 2e ton, pour l'office de la Résurrection (fin XVIe s.) (Iv) ; — Antienne « Alleluia » pour le temps pascal ; — Hymne « O lux beata » (XVIe s.); — « Stationes per totum Adventum quae fiunt post completorium » (XVe s.) (165v) ; — Note relative à la translation de ste Valière à Saint-Michel de Limoges (1er mars 1524, n. st.) et invitatoire de Pâques (XVIe s.) (166). — Fragment d'un office de Pâques (sur pap., avec notation carrée sur 4 lignes rouges) (167).
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Principales fêtes seulement. F. 1-158v Antiphonaire ; — Commun des saints (147). F. 159-249v Graduel : — Commun des saints (198v) ; — Messes votives (237v). F. 249v Kyriale, avec et sans tropes. F. 262v Prosaire. F. 300 Tables. F. 302 Antiennes et répons pour les samedis et dimanches. F. 324 Tons des psaumes et neumes.
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Ce ms. a appartenu à la bibliothèque du chapitre de Notre-Dame de Paris, dont il porte l'ex-libris "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris" (XVIIe s., f. A). Notre-Dame.
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Originaux et copies. On remarque dans ce volume les pièces suivantes : Lettres patentes de saint Louis, portant donation, à son fils Robert et à ses descendants, du château de Clermont et autres terres par lui possédées dans le comté de Clermont, Paris, mars 1269 (3) ; — Vidimus, par les échevins de Reims, des lettres d'abolition octroyées à cette ville par Charles VII, « Septfaux-lez-Reims », 16 juillet 1429 (4) ; — Lettres patentes de Philippe VI, relatives à la messe célébrée au Palais, par les soins des conseillers des Enquêtes, pour le salut du Roi et de la famille royale, Paris, 4 janv. 1340, en latin, et 22 août 1341, en français (6) ; — Instructions pour « ceulx qui sont ordenez à aller par le royaume demander ayde pour la guerre » ; « extr. du Registre + de la Chambre des comptes, fol. VIIXXX » (8) ; — « Anniex et décime » : dettes contractées par la Papauté envers la France ; extrait du même registre, fol. VIXXXIII V° (10) ; Documents et notes, de la main de Laurent Bouchel : « Extraict du dénombrement rendu au Roy en l'an 1524, le dernier may, par D. Jeanne Darson, abbesse de Morguienval... » (14) ; — Épitaphe, en vers latins, de Jeanne de Mansigni, abbesse de Morienval, décédée en 1485 (14 v°) ; — Notes historiques sur l'abbaye N.-D. de Morienval (15) ; sur la maladrerie de Saint-Lazare, de Crespy-en-Valois (16) ; sur Saint-Thomas de Crespy (17) ; sur plusieurs églises de Senlis (18) ; sur Saint-Nicolas d'Acy (21) ; Extraits de la « Chronique scandaleuse », de la main de P. Dupuy (22) ; — « Vérification des priviléges d'Angers soubz le roy Louys XI, faicte le 7 mars 1474, au Grand Conseil tenu en l'hostel du Roy, à Paris... » (24) ; — Extraits des lettres d'Abbon de Fleury et de Gerbert, par P. Pithou (28) ; — « Extraict d'un viel chartulaire de l'Église de Paris », par P. Pithou (32) ; — « Ex libro coenobii S. Petri de Valle Carnotensis, qui Aganonis appellatur... », de la main de P. Pithou (34) ; — Notes sur les manuscrits de l'église de Chartres ; sur les antiquités de l'église de Hautes-Bruyères et de Saint-Père de Chartres, par P. Pithou (35) ; « Animadversiones Hadriani Valesii in libr[um] P[atris Francisci] Macedo, cui titulus Propugnaculum Lusitano-gallicum » (36) ; — « Extraict d'un registre en parchemin, qui est en la Chambre des comptes et est un inventaire des fiefs, hommages et aultres tiltres estans en la Chambre des comptes de Fourez, en la ville de Montbrison, ledict inventaire faict l'an 1473 », de la main de P. Dupuy (42) ; — « Extraict de certaines escritures produites par Guillaume Bourrelier, procureur fiscal du duc et comte de Bourgongne, contre les chapelains de l'église de Seurre... », de la main de P. Dupuy (44) ; Actes de prise de possession de divers biens, situés à Sognolles et à Coutençon, par le procureur de Guillaume Juvénal des Ursins, orig. (47) ; — Acte relatif aux bois de Coutençon, 30 déc. 1454, orig. (48) ; — Lettres de M[ichel] Juvénal des Ursins, bailli de Troyes, à son frère le chancelier Guillaume, Troyes, 9 oct. 1456 et 30 juin 1469, autogr. (50 et 55) ; — Lettres de [Jean Juvénal des Ursins], archevêque de Reims, à son frère le chancelier Guillaume, Reims, 10 août 1468, autogr., et Paris, 14 juillet 1468, orig. (51 et 56) ; — Traité de mariage entre Jean Juvénal des Ursins, fils du chancelier, et Guyonne de Beauvau, Paris, 29 janv. 1469, orig. (52) ; — Testament de Guillaume Juvénal des Ursins, chancelier de France, Paris, 2 nov. 1471, et codicille, 13 juin 1472, copies (57) ; — Testament de Jean Juvénal des Ursins, archevêque de Reims, Reims, 18 sept. 1472, copie authentique (63) ; — Testament de Jean Juvénal des Ursins, sieur d'Autry, Tours, 14 juin 1474, copie (67) ; — « Inventoire des lettres mises et délaissées à Mr maistre Jehan Lardet,... lieutenant de Mgr le séneschal de Poictou à son siège de Niort,... pour icelles lettres garder en ses mains au prouffit desdicts héritiers [de Jeanne Juvénal des Ursins, en son vivant dame d'Appelvoisin] », Niort, 29 mars 1475 (69) ; Acte de vente à Pierre Doriole, chancelier de France, et à sa femme Charlotte de Bar, par Jean Juvénal des Ursins, de divers biens provenant de l'héritage du chancelier Guillaume Juvénal des Ursins et de sa femme Geneviève Héron, 4 janv. 1478 (73) ; — Transaction amiable passée entre les héritiers de Jacques Juvénal des Ursins, patriarche d'Antioche et évêque de Poitiers, s. d., minute (75) ; — Acte de vente à Jean Jallon, marchand à Tours, par le procureur de Jean Juvénal des Ursins, seigneur de Traînel, de biens provenant de la succession du chancelier Guillaume, Tours, 31 déc. 1478, copie authentique (76) ; — « Inventaire des lettres et tiltres de l'acquest fait par... Pierre Doriole,... chancecelier de France, et dame Charlote de Bar, sa femme, de la maison, court, boucherie, jardin..., que Guion Coeffart, ou nom et comme procureur de noble seigneur Jehan Juvenel des Ursins..., a vendu à mondit seigneur le chancelier..., fait cedit inventaire par nous Guillaume Barbotin et Jehan Pavin, clercs, notaires jurez des contractz royaulx de ceste ville de Tours », 16 janv. 1478, orig. (78) ; — Lettre de [Nicolas] Camusat à [P. Dupuy], au sujet de la famille des Ursins, s. d., autogr. (84) ; Lettres de Henri III, portant nouvelle érection et création d'un conservateur des privilèges royaux en l'Université d'Angers, avec droit de juridiction, Chenonceaux, mai 1577 (85) ; — Lettres de François Ier, concernant les ouvrages de Ramus contre Aristote, Paris, 10 mars 1543, de la main de Laurent Bouchel (87) ; — Note sur le baptême du fils du dauphin Henri de Valois [plus tard François II], 10 fév. 1543, par L. Bouchel (88) ; — Mémoire sur les deniers payés comptant aux rois de France, 1525-1633 (89) ; et lettres de Henri IV et du chancelier Philippe Hurault de Cheverny, au sujet d'un de ces versements, camp devant Laon, 14 juillet 1594 (93) ; — Notes sur divers mots et expressions : « Ad staplum Regis, estal, mallus, placitum, conventus, missi, marchiones, comites, vassi, pares », de la main de Peiresc (96) ; — Notes diverses de P. Dupuy (107), entre autres sur le déchiffrement des alphabets secrets (113) ; Minute d'une lettre latine de Jean-Antoine de Baïf au Pape [Grégoire XIII], autogr. (114) ; — Armes de Strasbourg (115) ; — Blasons des gentilshommes de la sénéchaussée de Beaucaire, tirés des sceaux d'un acte du Trésor des chartes, daté du 6 kal. aug. 1303 ; dessins (116) ; — Blasons coloriés (118-120) ; — Lettres du dauphin Charles [plus tard Charles VII], portant anoblissement de Jean Vaché, bourgeois de Saint-Marcellin en Dauphiné, Melunsur-Yèvre, 4 oct. 1420, parchemin, copie (122) ; — Requête adressée au Roi par Pierre Turquant, marchand de Châtellerault, orig. XVIe s. (123) ; — Note de P. Dupuy sur la part prise à la Ligue par la famille Hennequin (124) ; — Mémoire sur la construction du cadran solaire, de la main de N. Pithou (125) ; — Extraits d'Artémidore, par Ange Politien, Fiesole, 12 sept. 1483, autogr. [anc. feuillets 249 et 250 du ms. grec 3069] (129-130) ; « Illustrissimi domini de Brèves [François Savary] libri arabici, persici et turcici ms. celebriores » (131) ; — « Libri manuscripti bibliothecae ecclesiae Beatae Mariae Carnotensis » (133) ; — « Memoriale librorum Montis Rivi » (139) ; « Histoire au vray de la prévosté d'Orléans, et les jugements contre les imposteurs », 1533, de la main de Laurent Bouchel (142) ; — « Procès-verbal de l'ordre tenu, depuis le 23e febvrier jusqu'au 24e avril 1611, en l'instruction du procès faict à Louis Gauffridy, prebstre, convaincu de sorcellerie, magie et rapt de la personne de Madeleine de La Palu », Aix, fév. 1611 (148) ; — « Depposition d'un prebstre de Marseille..., recognu pour prince des magiciens par des pères Capucins... » (172) ; — « Jugement rendu en Lorraine contre André des Bordes. pour prétendu crime de magie », château de Condé, 28 janv. 1625 (178) ; — Pièce de procédure contre Jean Ralbon, dit Saldetarde, détenu au château de Condé sous l'accusation de magie et sortilège, vers 1635 (180) ; — Décret de Don Andres Pacheco, inquisiteur général d'Espagne, contre la secte des « Alumbrados », 1623, en espagnol (181) ; — Lette du sieur de Villiers à un moine, sur « un point qui regarde les exorcismes », Sens, 6 mars 1635, autogr. (187) ; etc.
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Daniel (Jehan), dit maistre Mîtou. Pronostication nouvelle (1533)
Resumo:
Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.
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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.
Resumo:
Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.