Recueil de poésies, par « HENRY BAULDE » (fol. 30, 32, 35, 36, 37, 39, 40, 43, 44, 46, 47, 56, 59, 60, 61, 65, 68, 69, 70, 73, 74), « ALAIN CHARRETIER » (fol. 15), « JEHAN DAUTON » (fol. 9), « JEHAN MAROT » (fol. 29, 30), « JEHAN MOLINET » (fol. 77, 85, 90, 93, 94, 95) et « JEHAN ROBERTET » (fol. 1, 75).

Commençant par : « Estant couché soubz ung myrthe plaisant, Et maintz chasteaulx en Espaigne faisant... » et finissant par : « Sans parage ou riens n'est nect, Moulu d'un groz Moulinet. Fin de la complaincte de Grece, composée par le dict Molinet » .

Le Livre des cent ballades [par JEAN DE WERCHIN, PHILIPPE D'ARTOIS, JEAN BOUCICAUT et JEAN DE CRESEQUES], avec les réponses de « REGNAUT DE TRIE » (fol. 60), « CHAMBRILLART » (fol. 61), « monseigneur DE TOURAINE », « LYONET DE COISMES » (fol. 62), « monseigneur DE BERRY » (fol. 63), « JAQUET D'ORLIENS », « TIGNONVILLE » (fol. 64), « JEHAIN DE MALLY » (fol. 65), « YVRY », « BERTHICOURT » (fol. 66), « monseigneur DE LA TRIMOULLE » (fol. 67).

Commençant par : « Une fois pieça chevauchoie Entre Pont de Cé et Angiers... » et finissant par : « Tant seulement doit en son cuer choisir En ciel un Dieu, en terre une deesse » .

Retraites ouvrières et paysannes : texte complet de la loi du 5 avril 1910, avec les modifications qui y ont été apportées par les articles 54 à 61 de la loi de finances du 27 février 1912

[Loi. 1910-04-05]