86 resultados para FRANCÉS
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Acquis le 10 juillet 1818 de M. Chaulay de Tonnerre, pour le prix de 15 francs; cf. B.n.F., département des Manuscrits, Archives Modernes 492bis, registre des acquisitions du département des Manuscrits 1806-1820, f. 243 "Anonymi authoris de imagine mundi. Vener. Bedae de elementis et de rerum natura. Un vol. in 4° minori, en parch. XIVe s."; — note du XVIIIe s. de"Joseph Antonius Saxius bibliothecae Ambrosianae praefectus" (85v)
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Rend compte des différentes auditions de chanteurs qu'il a menées et va mener avant sa prise de fonction de directeur de l'Opéra. Fait ainsi l'éloge des capacités de Zélie Trebelli et de Christine Nilsson qu'il va entendre dans "Faust", "son meilleur rôle dit-on". Se montre plus réservé sur son rôle dans "Les Huguenots". N'a pas encore entendu Victor Maurel, mais l'audition est imminente. Evoque le protégé d'Heugel, Jacques Roudil, qui a des prétentions exorbitantes : "Il me demande 10000 francs par mois, deux mois de congés et un engagement de trois années, sans résiliation après la première : c'est fou!" Relate également le concert de Julian Gayarre qui a une jolie voix, mais qui doit "perdre son accent, ceci est capital". Lui indique enfin qu'il a signé le contrat de Pédro Gailhard. - Remercie également son ami pour "l'exhumation de la ballade serbe dans le Figaro"
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Accuse réception de sa belle partition et lui demande pourquoi la dédicace porte d'autres noms que le sien. Lui demande s'il doit remercier Nidar et Coppée. Dit que le bal a bien réussi, la recette a dépassé 54 000 francs. Remercie son ami pour ce que dit le "Ménestrel" du jour
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2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.
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30 janvier 1884 : Lui demande de remettre son billet à la fin du mois suivant. - 18 mars 1884 : Lui demande une avance de 1000 francs pour "Loreley"
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Année très difficile : les déceptions s'enchaînent, les projets n'aboutissent pas, son fils Pierre a contracté des dettes auprès de la maison Heugel et Barbier lui-même, endetté jusqu'au cou, implore l'aide d'Heugel qui lui fournit une grosse avance. - 8 juin 1892. Lui demande "trois mois de plus, c'est-à-dire 300 francs". Evoque les répétitions de "Sylvia" et les performances de Rosita Mauri. - 10 septembre 1892. "Je ne m'étendrai pas sur mes malheurs. Mon année (...) se termine par un joli déficit. Si mes amis ne me ravitaillent pas, je ne sais trop à quel saint je vais me vouer.". - 12 septembre 1892. Le rappelle à sa bonne promesse qui consiste à verser 50 francs à son fils chaque mois pendant un an.. - 12 octobre 1892. Lui demande de rectifier une note inexacte publiée par quelques journaux au sujet de "L'Espionne" de Théodore Dubois
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23 janvier 1890. Lui donne carte blanche pour agir auprès de Michaëlis et lui racheter son reste d'exploitation. - 27 février 1890. Au sujet des droits de "Mignon" et "Hamlet" : "je voudrais bien ne pas perdre des droits assez importants actuellement en friche". - 16 mars 1890. Lui demande quelles sont les conditions de Mlle Arnoldson. - 7 avril 1890. Regrette de ne pouvoir répondre à son aimable invitation. - 20 mai 1890. Au sujet de son poème "Circé" rejeté par Léo Delibes : "Je vois venir le moment où je ne pourrai plus placer un poème d'opéra". - 2 juin 1890. Souhaite obtenir des éclaircissements au sujet de sa condamnation à payer une amende de 200 francs pour la publication de "Fleur de neige" sans la restriction accoutumée. - 19 juillet 1890. Au sujet de son poème de "Circé" qu'il souhaite mettre à disposition de Heugel
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9 mai 1891. Le prie d'envoyer 300 francs à son fils Pierre. - 30 juin 1891. Le prie de donner 200 francs à sa fille. - 29 juillet 1891. Lui demande 300 francs d'avance. - 16 août 1891. Au sujet de "Néron" qui pourrait être repris sur la scène du théâtre de Nice. Evoque la distribution qui paraît la plus adéquate et ses relations avec le compositeur Antoine Rubinstein. Barbier voit dans cette reprise un avantage, celui de "mettre enfin la pièce au point, ce qu'[il n'a] pu encore faire, avec la diable de collaboration fantaisiste et vagabonde de Rubinstein.". - 20 août 1891. Au sujet de "Néron" et de la distribution la plus convenable : "Ce qui me séduit le plus, c'est la possibilité de parfaire l'ouvrage et d'en donner enfin une version définitive et dont je sois content". - 23 août 1891. Au sujet de "Néron". S'incline devant les choix de son éditeur et le met en garde sur le compositeur : "Avec son génie (car il en a), c'est un homme à rater tous les succès du monde! Son art l'aveugle et lui masque les nécessités du théâtre". - 12 septembre 1891. Au sujet de "Néron" et des hésitations d'Eugène Bertrand à monter la pièce. Le directeur de théâtre préfèrerait monter "Paul et Virginie". - 15 septembre 1891. Lui renvoie son "traité" signé de "Paul et Virginie" et lui demande une avance
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23 janvier 1897. Au sujet de ses droits d'auteurs. - 26 mars 1897. Demande une avance. - 1er avril 1897. A bien reçu son avance pour le mois de mai et redemande encore de l'argent à son éditeur. - 24 mai 1897. Demande à nouveau de l'argent. - 31 juillet 1897. Conteste une dette de 1700 francs qu'il aurait contractée avec Heugel. Lui demande de vérifier dans ses livres de caisse. - 29 octobre 1897. Papier bordé de noir. L'informe qu'il prononcera quelques mots à l'occasion de l'inauguration du monument d'Antonin Mercié
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12 novembre 1898. Le remercie de la bonne grâce qu'il a mise à lui rendre service. - 1er décembre 1898. Lui demande 500 francs. - 3 décembre 1898. Au sujet de l'argent qu'il doit à Heugel. - Papier bordé de noir
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2 juin 1899. Epuisé et fatigué, il sollicite Heugel en lui demandant une avance de1000 francs. - 7 juin 1899. Regrette que les relations avec Heugel s'enveniment : "Non, il ne fallait pas la caisse d'un Rotschild pour me les donner, il fallait simplement vous souvenir des centaines de mille francs que j'ai fait gagner au "Menestrel" ; mais vous avez la mémoire plus courte que votre cher père. Le spectacle de ma misère manquerait apparemment aux joies de votre fortune!..." Elude la question des dettes de son fils Pierre : "Quant à la dette de Pierre, permettez-moi de vous répéter une fois de plus qu'elle ne me regarde pas. Comment ne lui avez-vous pas donné un travail qui vous eut amplement remboursé?". - 14 juillet 1899. "Le relevé des comptes définitifs que me donne Chevalier prouve que je ne me trompais pas". - Papier bordé de noir