184 resultados para Élongation de la traduction
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[Mille et une nuits (français). Adaptation. 1911]
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Contient : Forme abrégée desdits statuts, précédée (fol. 107 v°) de « la declaracion des rubriques et chapitres des establissemens qui s'ensuivent », et (fol. 108 r°) d'une ordonnance de PIERRE D'AUBUSSON, relative à cette forme de statuts, datée de Rhodes, le 5 août 1493 ; Résumé pour les prieurs et châtelain d'Emposte desdits statuts
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Contient : « La table d'émeraude, de Hermès trismégiste, père des philosophes », en 13 chapitres ; « La Tourbe des philosophes, ou l'assemblée des disciples de Pitagore, appelée le Code de vérité » ; « Le livre de Nicolas FLAMEL, contenent l'esplication des figures hiéroglifiques qu'il a fait mettre au cimetière des SS. Innocens, à Paris » ; « Le livre de la philosophie naturelle des métaux, de messire BERNARD, comte de la Marche trévisanne » [BERNARD LE TREVISAN] ; autre exemplaire, ms. français 14797, page 70 ; « Opuscule de la philosophie naturelle des métaux, composé par D. ZACHAIRE, gentilhomme de Guyenne » ; même traité que celui qui est contenu dans le ms. français 1089, fol. 2-43, sous le nom de « D. ZECAIRE, philosophe guienoys » ; imprimé en 1574, etc., sous le nom de D. ZACAIRE ; « Traicté du Ciel terrestre, de VENCESLAS LAVINIUS, de Moravie : Il y a un seul esprit corporel que la nature ... » ; « Philalèthe, ou l'entrée ouverte du palais fermé du Roy. Praeface. Je suis un philosophe, qui ne me nommeray point... », en 35 chapitres, suivi (fol. 103 v° ) de « Remarques sur la traduction de Philalèthe » ; cf. mss. français 19955, fol. 1, et 19981, fol. 1 ; « Vente et distribution de remèdes spécifiques à diverses maladies que l'on dit estre incurables », prospectus du « sieur Demours, apoticaire, artiste et botaniste, établi depuis trente ans dans la ville de Marseille » [probablement le possesseur du volume ; son nom se lit dans la marge inférieure des feuillets 9, 16 et 81], s. l. n. d. [après 1715], petit in-4° de 8 pages, imprimé ; « Table ou liste des termes de l'art et des anciens mots qui se trouvent dans les traités de ce volume : Acier des philosophes-vulgaire » ; deux exemplaires, dont le second est incomplet
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Contient : 1° « Epigrammes grecz et latins, avec la traduction françoise, sur les anciennes armoisies et sang naturel de Me Jacques Thiboust, escuyer, seigneur de Quantilly, notaire et secretaire du roy, de la couronne et maison de France, et esleu en Berry », par ; « LOYS THIBOUST » ; « MARC HYEROSME LULYER, de Paris » ; « JEHAN STAMPLE, escollier natif d'Orleans » ; « FRANÇOIS DUARIN » ; « JEHAN MILON, d'Arlenc, en Auvergne » ; « FRANÇOYS BALDUIN » ; « CHARLES GIRARD » ; « LOYS RONSSARD, de Chartres » ; « JEHAN TAILLANDIER, de Berry » ; « JEHAN MYRON » ; « CLEMENT MAROT » ; « THOMAS BONNIER, de Bourbonnois » ; 2° « Oraison à l'arbre de la croix » ; 3° « Oraison à Dieu » ; 4° « D'un courtisan ancien, homme docte et digne de sa patrie » ; 5° Pièces en vers et en prose, par ; « MAURICE HULIN » ; « LA ROYNE DE NAVARRE » ; « Le roy » [FRANÇOIS Ier] ; « BROD OU BRODEAU » ; « PAPILLON » ; « LA MAISON NEUF » ; « ST GELAYS » ; « BEMBUS » ; « JA. THIBOUST » ; « JAQUES GASSOT » ; « Le chancellier POYET » ; « JA. GODARD » ; « DE SAC... » ou « DE SACY » ; « SAINCT BRISSON » ; « Le recepveur de Sens, ME... » ; « LE JOUVRE » ; « MARTIN FRADET » ; « BERTHELEMY DE MONTMIRAL » ; Le « cardinal DE TOURNON » ; « C. MAROT » ; Le « cardinal DE LORRAINE » ; « Ge BOUCH... » ; « G. DE SA... » ; « CHAPPUIS » ; « Le seigneur DE LAVAU » ; « P. DUCHIE » ; « DE ST FLORENT » ; « BONAVENTURE DE PEREY » ; « GEORGE CHASTELLAIN » ; « CASTEL » ; « J. MILON » ; 6° « Le Chevalier deliberé », par « messire GEORGES CHASTELLAIN » ; 7° « Traductions latines et françoises de l'epigramme grec faict et composé par maistre Loïs THIBOUST,... sur le blason des armoisies des Thiboustz »
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Contient : 1° « Discours contre la rhetorique ou art de bien dire », par « LA PUJADE » ; 2° « Traduction de l'oraison de CICERON à Cesar pour Dejotaro, par M. SIROU » ; 3° « Le Bachelier Erophille », par « CRAMAIL » ; 4° « Requeste presentée au roy sur le droit annuel par ses officiers de finance », par « M. HOBIER » ; 5° Discours de « Vetruria » à « Coriolanus », traduit [de TITE LIVE] ; 6° « Requeste presentée au roy par la noblesse de Normandie » ; 7° « Epistre de Canacé à Macarée », imitation d'Ovide par « M. SENZE » ; 8° « Harangue d'un grand cappitaine à son roy », par le même ; 9° « Lettre de Clytie au soleil » ; 10° « Lettre d'Alcide à Elize » ; 11° « Traductions, epistres de PLINE le Jeune » ; 12° « De M. DE BASSOMPIERRE à M. le legat », écrite par « M. de Malleville » ; 13° « Traduction de la harangue d'Annibal à Scipion » [de TITE LIVE] ; 14° « Lettre de THEOPHILLE à monsieur de Candalle » ; 15° « De M. NAU, Me des comptes, à la chambre » ; 16° « Lettre de Melite à Daphnis », par « M. AMY » ; 17° « De LIPSE à M. de Montpensier. De la traduction de M. HOBIER » ; 18° « De PLINE à Paulinus. De la traduction du mesme »
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PORSON (Richard). papiers