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F. 1-12v. Calendrier en français, à l’encre rouge et noire, où l’on remarque des formes dialectales picardes et plusieurs saints du Nord : « sainte Audegonde » (30 janvier) ; « le Candelier » (2 févr.) ; « ste Gertrude » (17 mars) ; « saint Quentin » (2 mai) ; « saint Ernoulx » [ep. Suessonensis] (16 août) ; « saint Bertin » (5 septembre) ; « saint Lambert » (17 septembre) ; « saint Franchois » (4 oct.) ; « saint Gillain » [mart. in Hannonia] (16 oct., Ghislain); « le jour st Estievene » (26 déc., rouge). Une deuxième main très cursive ajouté d’autres saints, dont « s. Amand » (6 févr.) ; « s. Waleri » (1er avril) ; « s. Fuscien » [mart. Ambianensis] (27 juin et 10 déc.) ; « s. Firmin » [mart. Ambianensis] (25 septembre) ; « s. Bavon » (1er oct.). F. 13v-17v. « ... hore sancte Crucis». F. 18v-22v. « ... hore de sancto Spiritu ».F. 23v-85. « ... hore beate marie virginis secundum usum romanum ». F. 86v-94v. Office de la Vierge, selon les temps de l’année. « ... officum beate Marie virginis quod dicitur per totum adventum ad vesperas ».F.95-115. « ... septem psalmi penitentiales cum suis litaniis et precibus ». A noter « ... sancte Lamberte... sancte Rumolde [ep. Mechlinensis]... sancte Fursee [ab. Latiniacensis] ... sancte Amande... sancte Vedaste, sancte Bavo... sancte Philiberte... santa Ursula... sancta Brigida... sancta Aldegondis, sancta Gertrudis... ».F.116v-152v. « ... vigilie mortuorum » office des morts à l’usage de Sarum-Normandie-Metz ; cf. K. Ottosen, Responsories..., p. 242 (116v-151). — « Octo versus beati Bernardi ». « Illumina oculos meos ne umquam obdormiam... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXX-XXXI (151-152v).F.153-158v. « Initium sancti evvangelii secundum Johannem... secundum Lucam... secundum Matheum... secundum Marcum ».F. 158v-166. Suffrages aux saints : « Memoria de santo Johanne Baptista... ; devota oratio... » ; — « ... de sancto Adriano » ; — « ... de sancto Sebastiano » ; — « ... de sancto Anthonio » ; — « ... de sancto Quintino » ; — « ... de sancto Nicholae » ; — « ... de sancto Andrea » ; — « ... de sancto Fiacro ».F.166v-174v. Prières à la Vierge. « ... devotissima oratio ad beatem virginem Mariam ». « O intemerata... O Johannes... » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 488-490) (166v-169v). — « Alia oratio ad beatam virginem Mariam ». « Obsecro te.... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, II, 346-347) (169v-174). Les deux prières sont rédigées à la forme masculine. — « Laus Marie virginis ». « Salve regina... » (Analecta Hymnica, L, 318-319, n° 245) (174-174v). F. 175-184v. Suffrages aux saintes : « ... de santa Barbara » ; — « ... de sancta Margareta » ; — « ... de sancta Katerina » ; — « ... de sancta Maria Magdelena » ; — « ... de sancta Appolonia » ; — « ... de sancta Venicie [Venice, forme dérivée de Véronique] » « Veni sponsa Christi... Versus. Diffusa est gratia... Oratio. Exaudi nos Deus ut sicut de beate Venicie festivitate gaudemus, ita pie devotionis erudiamur. Per.... » ; sur le culte de sainte Véronique/Venice, en particulier à Paris, voir Gr. A. RUNNALS, Le mystère de sainte Venice, Exeter, 1980 (Textes littéraires) (175-180v). — Prières diverses : « ... quinque gaudia de beata virgine Maria » « Gaude Virgo mater Christi... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, I, XXVI-XXVII) (180v-182). — « Oratio devota ad Jesum Christum ». « Ave domine Jhesu Christe verbum patris » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 412 [III]) (182-183). — « Oratio devota que dicitur ad elevationem Domini ». « Ave verum corpus Domini nostri... » (éd. Szövérffy, Die Annalen , II, 298-299) (183-184). — « Memore de saint Miquiel », en latin (184-184v).

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Aux ff. 1v, 117v et 118, copies fragmentaires d'actes (début XVIe s.).

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Ce ms. a appartenu à la bibliothèque du chapitre de Notre-Dame de Paris, dont il porte les deux ex-libris suivants: " Tercium volumen biblie ecclie. par. continens..." (fin XIIIe s., contreplat sup.) et "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris" (XVIIe s., verso f. de garde sup.). Les anciens ex-libris de la fin du XIIIe s. des mss. lat. 16752 et 16753 ont été tracés par la même main. Notre-Dame.

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Ce ms. a été légué au chapitre de Notre-Dame par Pierre du Jardin, prêtre du diocèse de Limoges et chapelain de Notre-Dame de Paris, mort en 1431, comme l'indique la note au f. 251v: "Venerabilis et discretus vir deffunctus dominus Petrus de Orto, alias dictus Mallerat, presbiter Lemovicensis diocesis, quondam cappellanus hujus venerabilis eccelesie Parisiensis, qui obiit anno M° CCCC° XXXI° die XXIII° mensis aprilis, legavit per suum testamentum supra dicte ecclesie hunc presentem librum..." (XVe s.). Au f. 1 figure l'ex-libris "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris" (XVIIe s.). Notre-Dame.

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Ex-libris "S. Cornelii Compend. Congr. S. Mauri" suivi du chiffre 13, XVIIe s., f. 1. Compiègne.

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Rédaction du traité De regimine principum achevée en 1279 (cf. P. Glorieux, Répertoire des maîtres en théologie de Paris au XIIIe s., Paris, 1934, n°400, p. 297)."

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F. 1, tables.F. 1v-2, tableau des actions et commentaires.F. 3-68v. Justinianus, Institutiones. "In nomine domini nostri Jhesu Christi Imperator Caesar Flavius Justinianus Alemanicus Gotichus...Imperatoria majestate non solum armis...-... alioquin diligentior eorum scientia vobis ex latioribus digestorum sive pandectarum libris deo propitio adventura est... Domini Justiniani liber explicit Institutionum seu Elementotum."F. 69-72v. Justinianus, Authenticum (Nov. 1 et Nov. 2, début du chap. II). "In nomine domini nostri Jesus Christi librorum Authenticorum seu Constitutionum Novellarum incipit collatio, id est de heredibus et falcidia. Imperator Justinianus Johannis... Hoccupatis nobis circa totius rei publice...-... Nam si non filio forte, sed alicui extra[neo]..." (incomplet).Au bas du f. 72v, mention effacée illisible : "Ex [...]niadus [...]dit quod f[..]ler..."

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Ce manuscrit a appartenu à maître Guérin, neveu de Gérard, un chanoine victorin, qui en fit don à la bibliothèque de l' Abbaye de Saint-Victor de Parisselon la mention au f. 324 : "Iste liber est sancti Victoris parisiensis. Quicumque eum furatus fuerit vel celaverit vel scriptulum istum deleverit, anathema sit. Quem dedit nobis magister Guerinus nepos fratris Girardi quondam decani balvacelis canonici nostri qui obiit anno Christi 1281 sepultus in claustro sancti Victoris ante capitulum". (qui obiit...ante capitulum d'une autre main). L'ex-libris et le blason de l'abbaye figurent au f. 2v. Table de Claude Grandrue au f. Bv. Une mention au f. A ("Hic liber est domus probationis parisiensis dono datus a R.P. Priore et cateris canonicis sancti Victoris Parisiensis, anno domini 1636 die 10 septembris") semble indiquer que ce manuscrit serait probablement entré dans les collections de la bibliothèque du noviciat des jésuites en 1636. Il aurait ensuite été restitué à la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Victor, selon Gilbert Ouy (Les manuscrits de l'abbaye de Saint-Victor, t. 2, p. 12) grâce au bibliothécaire Boüet de La Noue à la fin du XVIIe siècle.

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En tête du volume (f. 3-5), pièce de vers adressée à Louis XI à l'occasion de la fondation de l'ordre de Saint-Michel. — Au f. 3, miniature, représentant St Michel apparaissant à Louis XI ; autre miniature figurant St Michel combattant un dragon, au f. 6.

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Même ornementation, mêmes armoiries que dans le ms. français 5094. Le texte de ce ms., qui offre en plusieurs endroits des lacunes que nous indiquerons dans un instant, donne au feuillet 5 v° une strophe de 8 vers qui n'existe pas dans les exemplaires précédents : « Ensemble furent si bien d'accord Qu'ilz engendrèrent un fils de grant noblesse, Nommé Jehan, dit conte de Monfort, Après la mort de la noble duchesse, Et quatre filles qui en grant leesse Furent toutes colloquées haultement, Car de France, la royalle haultesse, Fut descendue la noble Yollant » . Quant aux lacunes, en voici l'énumération : Fol. 31. Ce feuillet est mutilé de la marge droite, de sorte qu'il ne donne pas les deux écussons coloriés qui accompagnent dans les autres mss. la notice relative à Étampes et à Hue Le Maire, sieur de Chaillou. — Entre les feuillets 33 et 34 est une lacune qui correspond aux 4 vers relatifs à N.-D. des Champs, au départ du corps de la reine de l'église N.-D. des Champs, le 14 février 1514, jusqu'aux premières lignes du sermon prononcé à St-Denis par M. Parvy, confesseur de la reine, le 16 février 1514, là où l'orateur donne l'origine de l'hermine qui figure dans les armes de Bretagne, soit en tout une lacune de 18 pages. — Au revers du feuillet 42 devrait être une miniature représentant la « chapelle royalle ardant » en l'église des Carmes, à Nantes, où fut déposé le coeur d'Anne de Bretagne. Cette miniature n'a pas été exécutée, et la place est restée en blanc. Après cette miniature existent dans les autres mss. 20 vers qui ne figurent pas dans le présent ms. — Entre les feuillets 44 et 45 manquent 31 lignes, soit la valeur d'une page et 6 lignes, qui commencent par l'épitaphe de François II, duc de Bretagne : « Si dedans gist le corps du duc Françoys, deuxe de ce nom, lequel regna trente deux... », et finissent par la description du coeur d'or contenant le coeur d'Anne de Bretagne, dont la portraiture, qui existe dans les mss. précédents, manque dans celui-ci. — Les 38 lignes qui forment la fin de notre relation dans les mss. précédents, manquent dans celui-ci, qui s'arrête avec la phrase : « Ainsy finirent iceulx services, mais les pleurs, criz et lamentacions auront longue durée. Prions Dieu pour elle, celluy qui son ame a créé ».

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Contient : Notes sur l'abbaye de Fontaines les Blanches. Au feuillet 15 r° dessin à l'encre des armoiries de ladite abbaye ; Notes sur l'abbaye de La Guiche ; Notes sur l'abbaye de Lepvroux ; Note sur l'abbaye du Landais ; Notes sur Moulin, sous Lepvroux ; Note sur Buzançois ; Notes sur l'abbaye de Marmoutiers ; Notes sur l'abbaye de Pontlevoy. Au feuillet 127, « cachet de Pontlevoy ». Au feuillet 130 r°, dessin à l'encre des armes de Pontlevoy. Le feuillet 131 est occupé par une lettre autographe signée : « GIRARDEAU », datée de Pontlevoy, 14 mars 1678, et adressée à l'abbé Bégon. Les feuillets 132-133 sont occupés par une lettre autographe signée : « Fr. MARTIN FILANE, m. b. », datée de Pontlevoy, 7 mai 1678, et adressée à M. l'abbé Bégon. Au fol. 138-139, lettre incomplète datée de Monteaux, 1er juillet 1678. Au fol. 144-145, lettre autographe signée : « P. GIRARDEAU » et datée de Blois, 29 avril 1678, à l'abbé Bégon ; Notes sur l'abbaye de S. Calais ; Notes sur l'abbaye de S. Laumer. Au feuillet 203, dessin à l'encre intitulé : « Main de justice, non sine causa ». Aux feuillets 208, 208 bis et 209, dessins à l'encre représentant les armoiries de l'abbaye de S. Lomer et des « tombeaux de l'eglise de S. Laumer de Blois », savoir : « armes de M. l'abbé de Morvilliers » ; armes de « Guy Pot, chambellan de Charles VIII » ; « armes de Mr de La Vieuville, evesque de Rennes et abbé de S. Lomer ; armes de « monseigneur le cardinal de Sourdy, archevesque de Bourdeaux, abbé de S. Lomer » ; « armes de Mr Fouquet de La Varenne, abbé de S. Lomer, qui fit retablir et recouvrir l'eglise de S. Laumer, l'an 1610 » ; Lettre autographe, signée : « B. CAMUSAT » et datée de Paris, 8 janvier 1681. A l'abbé Bégon ; Armes de la ville de Vendôme, dessinées à l'encre ; Note sur S. Dyé, envoyée à l'abbé Bégon, avec, à la fin, quelques lignes autographes, signées : « POIRIER, presbtre, curé de St Dyé », et datées de S. Dyé, le 7 juillet 1679 ; Lettre autographe signée : « GAIGNAISON, curé de Thenay », et datée de Thenay le 25 août 1678. A l'abbé Bégon ; Note sur la paroisse de Centenay, écrite par le « prieur curé de Centenay », qui signe : « HONYER » ; Note sur la « paroisse de Fleuré », par le curé de Fleuré ; Note sur S. Claude de Diray, écrite par le curé dudit lieu qui signe : « VACHER, curé de S. Claude de Diray », 3 juillet 1682. A l'abbé Bégon ; Lettre autographe signée : « GRYMAULDI,... à monsieur, monsieur Begon, conseiller et secretaire du roy, maison et couronne de France, à Paris... A Blois, ce IX apvril 1653 » ; Lettre autographe datée : « Au Mans, le 28 aoust 1680, et signée : « ETTE. chan. ind. de St Pierre ». A l'abbé Begon ; Note sur la paroisse de Monts, envoyée à l'abbé Bégon par le curé de cette paroisse, dans une lettre dont la signature est mutilée ; Note sur la paroisse de Chambon par le curé de Chambon, qui a signé : « BLE » ; Lettre autographe de l'abbé Bégon à son père. Elle est datée de Paris, 28 juin 1662. La signature, si toutefois ladite lettre était signée, a été enlevée par une mutilation du feuillet 398

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Contient : Gravure du sceau des cordeliers de Blois ; Signature de « Scipion Begon » ; Signature du curé de S. Sauveur de Blois en 1680 ; Pièce imprimée contenant un arrêt du conseil d'État, daté de Paris le 5 juillet 1657, sur une requête de Philippe de France, duc d'Orléans et comte de Blois, contre Me Claude Baudouin, traitant, au bas duquel on lit, après la formule imprimée : « Collationné à l'original par moy, conseiller secretaire du roy et de ses finances », la signature manuscrite « BEGON » avec paraphe ; Lettre autographe signée : « MOREAU, presbtre, curé de S. Laurent de Montoire », et adressée le 11 fevrier 1680 à l'abbé Bégon ; Lettre autogr. signée : « AUDEBERT », concernant l'hôpital général de Blois. Postérieure au mois de mai 1659 ; Dessin à l'encre représentant un château. Ce dessin est signé : « F. Anseaume » et est daté « 1680 » ; Lettre autogr. signée : « THORIN ». Elle est adressée à l'abbé Bégon, sousdoyen de S. Sauveur de Blois, et est datée de Chartres le 28 mars 1678 ; « Arrest de la cour de parlement contre les religieuses... de Saincte Veronique de Blois. 29 mars 1649. Pièce imprimée ; Armoiries gravées ; Lettre autogr. signée : « CLAIRE TERESE DE JESUS, religieuse carmelite indigne », à M. l'abbé Bégon ; Deux sceaux, plaqués en cire rouge, du couvent des Ursulines de Blois. Ces sceaux portent au centre un lis et autour de ce lis la légende : « De saincte Ursule de Blois » ; Lettre autogr. signée du R. P. « PATRICE GASTINEAU », datée de Blois, 21 mars 1678, et adressée à l'abbé Bégon ; Armoiries dessinées à l'encre de « Thibault, comte de Blois » ; Processions de Blois ; « Liste des paroisses du bailliage de Blois » ; « Nombre des feus de l'eslection » de Blois en l' « année 1639 » ; Armoiries dessinées à l'encre. Au-dessous on lit : « Raoul » ; Liste des paroisses de l'élection de Blois ; Esquisse à l'encre des armes de « Gaston, duc d'Orléans, comte de Blois » ; Lettre autographe signée : « C. HUGUES METURAS, curé de Monteaux », à l'abbé Bégon ; Lettre autographe signée : « GIRARDEAU, presbtre, curé de Tour », à l'abbé Bégon. Tour, 27 novembre 1680 ; Paroisses qui dépendent de l'archidiaconé de Vendôme ; Gravure représentant la couronne d'épines et au milieu de cette couronne les mots : Jésus Maria. Six têtes d'anges la contemplent ; Liste des 93 paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « MORIN, chanoine ». Vendôme, 11 décembre 1682. A l'abbé Bégon ; Archidiaconé de Vendôme. Liste des prieurés et chapelles ; Paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « FRANÇOIS DEGYNES », à l'abbé Bégon. Vendôme, 29 août 1680 ; Lettre autographe sans signature. A l'abbé Bégon. « A Faix, ce 17 novembre 1676 » ; « Armes de Vierzon », dessinées à l'encre ; Lettre autographe signée : « Fr. Antoine d'Orléans, capucin, gardien indigne » du couvent de Vendôme. A l'abbé Bégon. Orléans, 9 mai 1618 ; « Marquisat de Vatan »