[Lettre autographe signée de Nicolas Arteiboucheff à Charles Malherbe, Saint-Petersbourg, 7 juillet 1900]

"J'ai l'honneur de vous transmettre mon manuscrit "fragment d'une valse pour piano", ainsi que ma photographie."

La Passion et Résurrection de nostre saulveur et redempteur Jhesucrist, ainsi qu'elle fut juée en Valenchiennes, en le an 1547, par grace demaistre Nicaise Chamart, seigneur de Alsembergue, alors prevost de la ville... ».

Texte composite, pour lequel on a surtout fait usage de la Passion de Greban, révisée et amplifiée par Jean Michel. — A la suite du texte sont des notes sur l'organisation de la représentation, les acteurs et la recette. Nombreuses figures peintes. A la fin (fol. 297), la mention : « Hubert Cailleau, painctre, a painct les histoires sur checume journée de ce libvre, comme aussy il fut joueur audiet mistere... Il donna aussy le portraict du hourdement du teatre avec Jacques des Moelles, comme il se veid en ce present livre. — Point ne mord Mort. Cailleau. »

Musée rétrospectif de la classe 14, cartes et appareils de géographie et de cosmographie, topographie, à l'Exposition universelle internationale de 1900, à Paris. Rapport du comité d'installation. [Signé : Henri Sarriau.]

Comprend : Introduction

[2 lettres de Marianne Nicot-Vauchelet à Jules Massenet, [entre 1900 et 1912]]

f.1-3 : datés d'après le contenu des lettres

[Lettre de Georges Leygues à Jules Massenet, 1900] (photocopie)

Papier à en-tête du Cabinet du Ministre de l'Instruction publique et des Beaux-arts

« Oppinion sur la différence des droiz et prééminences de spiritualité et temporalité, » que « au commandement de très hault et très excellent prince Charles, par la grace de Dieu Ve roy de France de ce nom, maistre Raoul de Praelles translata de latin en françoys ».

Contient : Table du Nombre d'or pour les années 1458-1476

« Le livre de la taille des dis mile livres deuz au Roy nostre sires pour la chevalerie le roy de Navarre, son ainzné filz, assise en la meson Estienne Barbete,... l'an de grace mil trois cenz et troize ».

Publié par Buchon en 1827, à la suite de la Chronique de Godefroy de Paris.