61 resultados para 571.1 Animali (Classificare qui la Fisiologia comparata)
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Contient : 1 Premiers mots de la vie : « Ci commence li prologues en la vie monseigneur saint Loys, jadis roi de France. [G]loire, loenge et enneur soient rendues en humble reverence et ententive devocion à Dieu, nostre pere souverain de lumiere... Li premiers chapitres est de sa sainte norriture en enfance. Li tres gloriex sainz Loys, jadis rois de France, ot pere qui fu tres bons crestiens et rois de France, qui ot non Loys,... » ; derniers mots : «... trespassa de cest siecle à Nostre Seigneur, l'endemain de la feste du benoiet apostre saint Bertelemi, en l'an de grace M. IIC. LX. et X., entour l'eure de nonne, en laquele li filz Dieu, Jhesu Crist, morut en la croix, por la vie du monde ; auquel toute loenge est, enneur et gloire par les siecles pardurables. Amen » ; 2 Premiers mots de la relation des miracles : « Ici commence li prologues des miracles saint Loys. Comme li tres benoiez saint Loys, jadis nobles rois de France, en usant des petiz cours de ceste vie vesquist encore plus vraiement que il n'eust vescu, li benoiez fiuz Dieu... Ici... commencent les miracles de monseigneur Loys, desquels li premiers miracles est tels : Marote la fille Fressent d'Arraz, femme Symon Flandrin, bourgois de S. Denis en France... en 1 jour de mardi de quareme prenant, l'an mil IIC. IIIIXX. I... » ; derniers mots : «... Ci finent les miracles du benoiet S. Loys, approvez par l'eglise de Romme, et commence sa canonization. En cele maniere li tres benoiez sainz Loys resplendi et reluit en ce monde... qui estoit enseveliz en l'eglise de monseigneur S. Denis en France, fist eslever et translater, et metre en une chasse ennorablement, sur le grant autel de ladite eglise, à l'essaucement du benoiet saint et à la loenge de Dieu tout puissant, à qui soit enneur et gloire el siecle des siecles. Amen »
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F. I. Fragments d'un temporal d'hiver. Extraits d'Isaïe, LV, LVI, LX-LXII : « Omnes sitientes... », « Surge illuminare... », « Gaudens gaudebo... » F. 1-7. Le premier cahier contenant des homélies liées à la fête de l'Ascension, provient certainement d'un homéliaire d'été : sermons sur Matth., XIX, 21 et VIII, 5 (f. 1-2) ; sermons de s. Augustin et de s. Léon sur l'Ascension (f. 3-7). F. 8-224. Partie primitive du manuscrit : temporal d'hiver suivi de la fête de s. André. — Vers sibyllins (Carmen de die Judicii) (40) ; — Oratio Jeremiae (214v)F. 218v, début du sanctoral (9 leçons).
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Acquis le 10 juillet 1847 de M. Joanne, pour le prix de 100 francs; cf. B.n.F., département des Manuscrits, registre des acquisitions 1833-1848, n° 4528 "Sel. Giraldi Hyberniae historia; 8° vélin vers 1300"; — note du XIXe s. "Ce précieux manuscrit écrit en 1290 a appartenu à Mr. l'abbé Le Prince, savant modeste de Dijon qui a refusé un évêché afin de ne point se séparer de son vieux ami Mr. Deschamps curé de la paroisse St.-Michel de Dijon. Mr. l'abbé Le Prince tenait beaucoup à ce curieux manuscrit parce que c'était un héritage de père en fils dans sa famille, et qu'un de ses anêtre l'avait rapporté de l'Irlande où il avait fait la guerre en 1690; la tradition rapporte même que ce manuscrit a appartenu à Jacques II. Quoiqu'il en soit, en 1815 un riche Irlandais a offert 500 fr. de ce manuscrit à Mr. l'abbé Le Prince qui n'a pas voulu s'en dessaisir (...) étant passé des mains des héritiers de Mr. l'abbé Le Prince en celle d'un amateur, celui-ci consentirait aujourd'hui à s'en défaire s'il en trouvait un prix avantageux" (A); — ex-libris effacé du XVIe-XVIIe s. "Dareyer" (1), et note de la même écriture"I A C" (1 et 27.)
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Contient : Instructions au sieur de Fresne-Forget [Espagne] (f. 1), — au sieur de La Clyelle [Italie] (f. 6 v), — au même [Italie] (f. 65), — au sieur Du Belloy [Languedoc] (f. 8 v), — au sieur Giron [Languedoc] (f. 9 v), — au vicomte de Turenne [Allemagne] (f. 21), — au sieur de La Verrière [Suisse] (f. 38), — au sieur de La Borde [Guyenne] (f. 40), — au sieur de Lambert, « s'en retournant à Bourdeaulx, vers monsieur le mareschal de Mattignon » (f. 42 v), — à monsieur de La Fin [Lyonnais] (f. 46), — à monsieur de Nevers [Italie] (f. 71), — au sieur d'Halincourt [Rome], 1600 (f. 97), — à monsieur de La Rochepot [Espagne], 1600 (f. 103), — au baron Du Tour [Angleterre], 1605 (f. 112), — à monsieur de Bullion [Piémont], 1609 (f. 121), — à Aubéry-Dumaurier [Hollande], 1617 (f. 128 v), — à monsieur de Boissise [Hollande], 1618 (f. 130), — à monsieur Ancel [Allemagne], 1612 (f. 139 v), — à monsieur de Vaucelas [Espagne], 1609 (f. 155 v), — à Bertrand d'Échaus, évêque de Bayonne (f. 159), — et à monsieur de Caumartin [Suisse], 1604 (f. 160 v) ; Pièces concernant les relations de Henri IV avec l'Italie, lettres du Roi au Pape, à divers cardinaux, etc
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Contient : « Mémoires et généalogie de la maison d'Albret... » [par Auguste GALLAND ; cf. mss. français 16779, fol. 100, et 16794, fol. 1] ; « Mémoires et généalogie de la maison d'Armagnac, justifiez par tiltres depuis l'an 1224 jusques à présent » [cf. mss. franç. 16779, fol. 146, et 16794, fol. 35] ; « Généalogie des seigneurs d'Albret, dressée sur tiltres par monsieur DOYENNARD » [Arnaud D'OIHENART ; cf. ms. français 16794, fol. 87] ; « Tiltres et mémoires de la maison de Caumont » [cf. mss. français 16779, fol. 212, et 16789, fol. 77] ; « Mémoires de la maison de Longueville » [cf. ms. français 16779, fol. 242] ; « Estat des biens du roy Henry IIIIe, lors de son advènement à la Couronne, avec origine et suite des princes de Béarn » ; « Généalogie des comtes de Foix, qui est transcrite dans l'histoire des comtes de Thoulouse » [cf. ms. français 18663, fol. 179 v° ] ; « Observations sur la généalogie des vicomtes de Béarn, dressée par monsieur DOYENNART » [Arnaud D'OIHENART ; cf. ms. français 18663, fol. 245] ; « Généalogie des anciens vicomtes de Lautrec, descendans des comtes de Thoulouze », par Arnaud D'OIHENART [cf. ms. français 18663, fol. 256] ; « Généalogie de la maison de Foix-Rabat » [cf. ms. français 18663, fol. 294] ; « Histoire généalogique de la maison de Bourbon, et autres qui sont entrées dans icelle, dressée sur les originaux par messire Jean-Jacques DE MESMES, seigneur DE ROISSY... » [cf. mss. français 16779, fol. 2, 23978, fol. 1, et 23979, fol. 1] ; Tableau généalogique de la maison d'Albret ; Tableau généalogique des maisons de Castillon, l'Escung, Andouins et d'Aydie
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Contient : 1 « Comment le pont d'Avignon fust commensé myraculeusement ». Lettre ; 2 « Pax inter archiepiscopum et capitulum Lugdunenses ex una, et cives ex altera... Actum anno Incarnationis Dominice milesimo ducentesimo octavo mense septembrii ». En latin ; 3 Note sur « ung lac bien profond et appoissonné », qui était autrefois « entre le chasteau » de « Pierrescise et les murailles de la ville » ; A la suite, lavis représentant les deux sceaux de la ville de Lyon : «... sigillum secretum universitatis communitatis Lugduni » ; 4 « Des anciennes pompes funeralles ». Premiers mots : « La vanité supersticieuse des payens ydolastres... ». Derniers mots : « ... il fit graver et entailler des navires » ; 5 Epitaphes et autres curiosités, en latin et en français ; a « Epitaphium Lucrecie : Collatinus Tarquinius dulcissimae conjugi et incomparabili Lucrecie, pudicie decori... » ; b « Rome. D. M. » Epitaphium Euphrosinae. Premier vers : « Quid sibi vult queris tellus congesta viator... » ; c « Aliud Rome. D. M. ». Premier vers : « Hic jacet exiguis Dionisia flebilis annis... » ; d « Rome, et est declaracio epitaphii ejusdem nobilis mulieris de greco in latinum ». Epitaphium Somoneae. Premiers vers : « Ego que cantu eram Syrenis suavior, ego que apud Bachum,... » ; e « Aliud Rome ». Epitaphium ejusdem (?) Somoneae. Premier vers : « Tu qui secura procedis mente parumper... » ; f « Epitaphium Lucrecie nuper repertum in episcopatu Viterbiensy. D. M. S. : Collatinus Tarquinus (sic) dulcissime conjugi et imparabili (sic)... » ; g « Mundus ». Épitaphe en vers ; h Épigramme en vers français. « Rondeau : Vielle mule du temps passé... » ; i Autre épigramme sur la prise de Brescia. « Rondeau : Regina celi letare. Alleluia, car Bresse est prise, Et Venise un chascun desprise. Elle entend très mal son carré... » ; j Autre épigramme contre la république de Venise. « Rondeau : Veniciens de maulvaiz cresme... » ; k « Rondeau : Royalle dame, triomphe des humains... » ; l « Ce que j'ey leu en ung roc au piet de la tour du far près la coloingne en qualité que l'on dit une des bonnes d'Ercules, que fit ediffier ledict Ercules pour sa memoire : Marti Aug... » ; m « Signum Karoli, gloriosi regis, in Ynsulle Barbare, anno ab Incarnacionis (sic) Dominy (sic) DCCCC LXXV » ; n « Le signet du roy Clovis, premier roy crestien » ; o « Le signet du roy Lothaire » ; p « Le signet du roy Pyppin » ; 6 « Des anticquytés de Nostre Dame de l'Isle, près Lion » ; 7 « De anticalia Lugduni ». Recueil d'extraits d'auteurs anciens concernant Lyon (Senèque, Suétone, Ptolemée, Juvénal, Eusèbe, Tacite), et d'inscriptions ou d'épitaphes qui se lisent à Lyon. En latin ; 8 Extrait en latin concernant la tarasque, monstre en forme de dragon, qui autrefois infestait la contrée située le long du Rhône, entre Arles et Avignon, dans les environs de Tarascon, et qui fut dompté par sainte Marthe. En tête on lit : « Je Pierre Sala ey pris se qui s'ensuit sus l'original d'un très ancien livre, qui est en l'eglise de Tarascon, et ce fut environ l'an 1505 ». A cet extrait est joint un portrait de la tarasque, dessiné à la plume ; 9 Extraits, en latin et en français, concernant le squelette du géant « Briart », trouvé le 5 novembre 1456 en la baronnie de Crussol, près S. Peray, « au ruisseau Mederie ». Un de ces extraits est une « epistre » en vers « faicte par monseigneur de MAILLE, en françois, suyvant le latin » qui la précède, « le roy Loys XI estant à séjour à Vallence ». Ces extraits sont précédés d'une peinture donnant une idée de l'endroit où fut trouvé le géant Briart, et dudit géant, peinture qui remplit le revers du feuillet 48, au droit duquel est dessiné le portrait de la tarasque ci-dessus énoncé ; 10 « L'epitre de Senecque à Lucille, du feu qui brulla Lion, qui pour lors estoit sus le mont de Fourvières, et se fut environ 50 ans avant la nativité Nostre Seigneur ». Traduction ; 11 Inscriptions latines à S. Michel auprès d'Aina y et « en l'Anticaille » ; 12 « Des ars qui sont partie à Lyon, partie dehors, près Sainct Hyrinier, Chappono, en plusieurs aultres lieux ». Premiers mots : « Lesdictz ars sont appellées (sic) par le peuple rudde et barbare ars des Sarazins... ». Derniers mots : « ... à l'archediacre de Saluces, etc. »
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Ce titre est suivi de quatre vers latins que voici : « Ecce recente toga venio, liber undique mundus, Promere quos reges Francia celsa tulit ; Tempora, gesta, locos, sortem, preludia, famam, Ex multis lecta codice claudo brevi » . Au-dessous de ces vers on lit, semble-t-il, Gaguinettus », comme si l'auteur du présent abrégé, se comparant à Gaguin, voulait signifier par ce diminutif « Gaguinettus », qu'il est un petit Gaguin, un abrégé de Gaguin. Puis vient une devise : « Pour esperer mieulx prosperer ». Sur le feuillet 3 v°, en face du feuillet 4 r°, qui contient le titre ci-dessus énoncé, est tracée à l'encre l'image d'une dame ayant un dragon à ses pieds. Elle tient de la main droite un écusson, aux armes de France, et de la gauche un autre écusson où sont représentées 3 tortues, deux en chef et une en pointe. Les feuillets 5-7 sont occupés par une dédicace de l'auteur « Audebrand, advocat d'Aulge et de Honnefleu... à très prudent et ingenieux homme Michelot Feré, grand architecteur du Havre de Grace ». Cette dedicace est datée « de Honnefleu, ce derrain jour de l'an 1518 ». Après la dédicace qui précède, terminée par la devise : « Par esperer mieulx prosperer », s'ouvre le « prologue du present livre », où l'auteur énumère ses autorités : Bérose, Manéthon, Métasthènes, Josèphe, Diodore, Pline, Robert Frescher, Robert Gaguin, Jean Lemaire de Belges. (Fol. 8-10). Le traité intitulé : Les Antiquités de Gaule commence (fol. 11) par : « Ante aquarum cladem... Or dit Berose que devant le deluge... » et finit (fol. 138) par : «... la fondation du Havre de Grace, que le roi François Ier a faict pour la protection de son royaulme... au cap de Caulx ». L'auteur attribue l'honneur d'avoir conduit les travaux à « monseigneur de Chillon, vis-admiral de France et capitaine de Honnefleu », et l'exécution à Michelot Feré, « homme... plain d'ingenieuse solercie, grand maistre et architecteur de l'oeuvre ». Il termine par le souhait que la construction du Havre soit menée à bonne fin, «... priant à Dieu donner au bon roy et à ses amys par esperer bien prosperer ». Puis il ajoute, ledit traité étant divisé en six livres : « La fin du VIe livre des Antiquités de Gaulle et consequemment de tout nostre petit labeur sur la 4e lignée des roys de France, selon la tradition de Gaguin ». Reliure du XVIe siècle en cuir estampé. Sur le premier plat, autour de la Vierge et de S. Jean, au pied de la croix on lit : « Christus filius Dei, vivis miserere nobis ». Sous la croix deux anges soutiennent un écu contenant l'agneau nimbé et portant la croix, surmonté de trois fleurs de lis. Le second plat représente la Pentecôte. Légende : « Veni, sancte spiritus, reple tuorum corda ».