562 resultados para Delprato, S. -- Correspondance
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23 janvier 1890. Lui donne carte blanche pour agir auprès de Michaëlis et lui racheter son reste d'exploitation. - 27 février 1890. Au sujet des droits de "Mignon" et "Hamlet" : "je voudrais bien ne pas perdre des droits assez importants actuellement en friche". - 16 mars 1890. Lui demande quelles sont les conditions de Mlle Arnoldson. - 7 avril 1890. Regrette de ne pouvoir répondre à son aimable invitation. - 20 mai 1890. Au sujet de son poème "Circé" rejeté par Léo Delibes : "Je vois venir le moment où je ne pourrai plus placer un poème d'opéra". - 2 juin 1890. Souhaite obtenir des éclaircissements au sujet de sa condamnation à payer une amende de 200 francs pour la publication de "Fleur de neige" sans la restriction accoutumée. - 19 juillet 1890. Au sujet de son poème de "Circé" qu'il souhaite mettre à disposition de Heugel
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9 mai 1891. Le prie d'envoyer 300 francs à son fils Pierre. - 30 juin 1891. Le prie de donner 200 francs à sa fille. - 29 juillet 1891. Lui demande 300 francs d'avance. - 16 août 1891. Au sujet de "Néron" qui pourrait être repris sur la scène du théâtre de Nice. Evoque la distribution qui paraît la plus adéquate et ses relations avec le compositeur Antoine Rubinstein. Barbier voit dans cette reprise un avantage, celui de "mettre enfin la pièce au point, ce qu'[il n'a] pu encore faire, avec la diable de collaboration fantaisiste et vagabonde de Rubinstein.". - 20 août 1891. Au sujet de "Néron" et de la distribution la plus convenable : "Ce qui me séduit le plus, c'est la possibilité de parfaire l'ouvrage et d'en donner enfin une version définitive et dont je sois content". - 23 août 1891. Au sujet de "Néron". S'incline devant les choix de son éditeur et le met en garde sur le compositeur : "Avec son génie (car il en a), c'est un homme à rater tous les succès du monde! Son art l'aveugle et lui masque les nécessités du théâtre". - 12 septembre 1891. Au sujet de "Néron" et des hésitations d'Eugène Bertrand à monter la pièce. Le directeur de théâtre préfèrerait monter "Paul et Virginie". - 15 septembre 1891. Lui renvoie son "traité" signé de "Paul et Virginie" et lui demande une avance
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14 février 1896. Lui demande des avances pour tenir ses engagements. - 20 octobre 1896. Remercie "Le Menestrel" pour son compte rendu favorable de "Clarisse Harlowe", mais exprime toute son amertume à l'encontre des compositeurs : "Ils sont encore plus bêtes que les directeurs! Ils ne comprenaient déjà plus rien à la musique. Ils arrivent à ne plus rien comprendre à leur langue maternelle". - Lieu restitué d'après le cachet de la poste : "Paris. Montparnasse. 20 OCT 96"
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23 janvier 1897. Au sujet de ses droits d'auteurs. - 26 mars 1897. Demande une avance. - 1er avril 1897. A bien reçu son avance pour le mois de mai et redemande encore de l'argent à son éditeur. - 24 mai 1897. Demande à nouveau de l'argent. - 31 juillet 1897. Conteste une dette de 1700 francs qu'il aurait contractée avec Heugel. Lui demande de vérifier dans ses livres de caisse. - 29 octobre 1897. Papier bordé de noir. L'informe qu'il prononcera quelques mots à l'occasion de l'inauguration du monument d'Antonin Mercié
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12 novembre 1898. Le remercie de la bonne grâce qu'il a mise à lui rendre service. - 1er décembre 1898. Lui demande 500 francs. - 3 décembre 1898. Au sujet de l'argent qu'il doit à Heugel. - Papier bordé de noir
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2 juin 1899. Epuisé et fatigué, il sollicite Heugel en lui demandant une avance de1000 francs. - 7 juin 1899. Regrette que les relations avec Heugel s'enveniment : "Non, il ne fallait pas la caisse d'un Rotschild pour me les donner, il fallait simplement vous souvenir des centaines de mille francs que j'ai fait gagner au "Menestrel" ; mais vous avez la mémoire plus courte que votre cher père. Le spectacle de ma misère manquerait apparemment aux joies de votre fortune!..." Elude la question des dettes de son fils Pierre : "Quant à la dette de Pierre, permettez-moi de vous répéter une fois de plus qu'elle ne me regarde pas. Comment ne lui avez-vous pas donné un travail qui vous eut amplement remboursé?". - 14 juillet 1899. "Le relevé des comptes définitifs que me donne Chevalier prouve que je ne me trompais pas". - Papier bordé de noir
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18 janvier 1900. Solde son compte avec le "Ménestrel". - Papier à en-tête : "Au Ménestrel, 2 bis rue Vivienne. Paris". - 5 mars 1900. Au sujet de ses affaires avec Heugel : "Votre oncle m'a accoutumé à ne plus voir en lui qu'un éditeur. J'aime mieux m'en tenir là . Où l'humiliation commence, l'amitié est de trop." L'informe que le règlement qu'ils ont arrangé ne lui convient plus et demande un versement d'argent tous les mois. - Carte bordée de noir
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Rendez-vous divers, demandes d'argent.
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Lui recommande une jeune chanteuse, Madame Montbios, "qui a une voix magnifique, qui a beaucoup travaillé et qui a la folie du théâtre". - Comprend également la lettre d'introduction remise par la jeune femme
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Lui fait part de l'incendie qui a ravagé le Théâtre des Arts de Rouen et la bibliothèque musicale de la ville. Sollicite l'expertise du bibliothécaire de l'Opéra pour évaluer le prix des œuvres perdues. - La lettre adressée au directeur de l'Opéra a été transmise à Charles Nuitter mais la liste des partitions jointe à la lettre est absente. - Armes de la ville et papier à en-tête: "Mairie de Rouen. Cabinet du Maire". - La lettre est accompagnée d'une note de Jules Delahaye, secrétaire général de l'Opéra, à l'attention de Nuitter
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Variante(s) de titre : Salon de la Correspondance pour les sciences et les arts
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1er juillet [1861] : Promet un article sur la distribution des récompenses des Salons et des Concours où il rappellera le nom et les oeuvres de Gustave Doré dont il a "le talent en grande estime" : "Le concours de sculpture a été très fort ; le nombre de médailles est trop restreint, et les Grands Prix de Rome toujours favorisés". Evoque aussi le nom de Charles Garnier : "Le "Sujet d'Opéra" de Garnier a obtenu la première médaille d'architecture. Décision tout exceptionnelle et très flatteuse car l'oeuvre ne faisait point partie, à proprement parler, de l'Exposition d'Architecture" (NLAS-212-1). - Février 1865 : Réclame un droit de réponse à un article de Blaze de Bury paru dans le "Ménestrel". La lettre contient également la réponse de Heugel datée du 3 février 1865 dans laquelle l'éditeur lui demande d'adoucir ses propos (NLAS-212-9). - 30 juillet 1866 : Echanges et négociations au sujet de la publication de "Tobie" de Fromental Halévy. Est vexé que l'éditeur ne voie pas dans cette parution une bonne affaire et rappelle qu'il a donné au "Ménestrel" "à titre purement gratuit" un travail important sur l'oeuvre de son frère, alors que tant d'autres collègues sont très bien payés pour fournir des notices sur des compositeurs auxquelles il reproche "un esprit de dénigrement à l'égard de [s]on cher frère". Tente de rendre justice à son frère : "Je ne puis cependant m'empêcher de remarquer, quand j'entre chez vous, qu'à côté des bustes ou portraits de Meyerbeer, de Rossini, d'Auber, qui décorent vos magasins, je ne vois pas une seule image du grand maître qui fut leur égal" (NLAS-212-11). - 2 août 1866 : Le remercie pour le témoignage personnel de ses sentiments à l'égard de son "cher et regretté frère" : "cette justice que vous lui avez toujours rendue me dédommage amplement des torts que peuvent avoir envers sa mémoire plusieurs écrivains qui ont coopéré avec moi au monument que vous élevez à la gloire de nos grands maîtres français et étrangers" (NLAS-212-12). - 25 avril 1867 : au sujet des droits d'auteur de "Tobie" (NLAS-212-16). - 7 mai 1873 : Se dit heureux que son article convienne au directeur du "Ménestrel". Évoque "Carmen" de Bizet : "Ludovic [Halévy] et Meilhac sont à l'oeuvre et achèvent un poème où l'ami Bizet aura toute occasion de déployer son talent" (NLAS-212-17). - 16 juin 1875 : Le remercie pour son article consacré à "[leur] cher et infortuné Bizet" : "Impossible de rendre un hommage plus complet et en meilleurs termes à une existence si courte et si bien remplie" (NLAS-212-19). - 22 juin 1875 : Au sujet d'un opéra inachevé de Bizet, "Le Cid" : "La seule personne qui pourrait vous donner des renseignements que vous désirez sur l'opéra laissé inachevé par Bizet [...] serait sa jeune et malheureuse veuve, ma pauvre nièce Geneviève, mais elle est dans un tel état de prostration, d'accablement et d'inconsolable affliction qu'il est encore impossible de l'interroger sur un sujet si douloureux pour elle et qui raviverait de si poignants souvenirs" (NLAS-212-20). - Contient aussi 2 LAS de sa belle-soeur Léonie Halévy au sujet de sa fondation "Le Pain à bon marché" (NLAS-212-22/23)
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Titre original : The life and letters of Madame Bonaparte
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Collection : Le Corrispondenze letterarie, scientifiche ed erudite dal Rinascimento all'età moderna ; 1, 2, 5,6