411 resultados para Réfugiées--Droits--Équateur--Enquêtes
Resumo:
Exemplaire personnel de Maximilien de Robespierre. Les annotations concernent essentiellement les dispositions relatives aux pouvoirs publics et aux droits civiques. Elles ont constitué les plans de deux discours que Robespierre a prononcés devant la Constituante. Un feuillet imprimé manquant (pages recto verso 41 et 42) est remplacé par un feuillet entièrement manuscrit. A l’origine feuillet volant inséré dans l’ouvrage, il est dorénavant monté sur onglet sur la page vierge placée à cet endroit lors de la reliure ; en dépit de certaines analogies, rien ne permet cependant d’affirmer qu’il s’agit sur ces deux pages 41 et 42, de l’écriture de Robespierre.
Resumo:
Lui recommande Monsieur Chotteau : "J'estime grandement cet homme si parfaitement méritant ; c'est un lettré digne de votre protection et j'ai pour lui une amitié reconnaissante et fidèle" (9 janvier 1903). Espère recevoir chez lui ses droits échus (7 avril). Évoque sa collaboration avec Paul Ginisty, relate son travail sur "Ariane" dont le poème de Catulle Mendès est "admirable de passion, de pittoresque et de sentiments humains." (9 octobre 1904). L'informe que dans quelques jours vont commencer les répétitions générales de "Chérubin" à Monte Carlo (25 janvier 1905). Regrette enfin d'avoir raté sa visite du Nouvel An : "j'avais juré que je serai le premier à vous voir." (2 janvier 1906)
Resumo:
3 février, 7 et 8 avril 1874 : À propos des droits de "Mignon" et de "Hamlet" pour des représentations en Angleterre, à Covent Garden, et en Italie : souhaite préserver ses intérêts et prie Heugel de faire valoir ses raisons auprès d'Ambroise Thomas (NLAS-214-1/3). - 9 juin 1874 : Enrage de ne pouvoir assister aux répétitions de "L'Esclave" d'Edmond Membrée et cherche à convaincre Heugel d'en éditer la partition, certain à l'avance de son succès : "Je voudrais bien aussi compter sur un éditeur. [...] Ne croyez-vous pas qu'il y a là une affaire sérieuse?" Le remercie également pour tout ce qu'il a fait pour "Mignon" et pour l'heureuse issue de ses démarches (NLAS-214-4). - 14 novembre 1874 : Lui envoie les paroles d'un air "Jérusalem! Jérusalem!" qui "s'adapte exactement aux paroles de l'édition Schlesinger" (NLAS-214-5). - 11 décembre 1874 : L'informe qu'il a saisi hier chez lui, en son absence, une partition de "Mignon" (NLAS-214-6). Lui demande de la lui céder
Resumo:
2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.
Resumo:
13 avril : au sujet de ses droits d'auteur. - 13 mai : remerciements. - 12 juillet : L'informe s'être rendu chez lui pour procéder aux remises d'argent. Déclare être "à la veille de conclure une affaire qui [lui] permettra de faire honneur à tous ses engagements". - 17 juillet : Au sujet du "Timbre d'argent" qui ne trouve pas d'éditeur : "Je regrette pour Saint-Saëns et pour moi que ce pauvre "Timbre" ne soit pas entre les mains d'un croyant qui l'aurait certainement fait vibrer.". - 28 août : Lui adresse un article pour le "Ménestrel". - 15 septembre : Lui recommande une artiste du chant, Mademoiselle Maindron. - 12 novembre : "Je viens d'entendre le duo de Boussy chanté par Madame de Lanchâtre et sa fille. C'est tout simplement adorable". - 1er décembre : remerciements
Resumo:
23 janvier 1890. Lui donne carte blanche pour agir auprès de Michaëlis et lui racheter son reste d'exploitation. - 27 février 1890. Au sujet des droits de "Mignon" et "Hamlet" : "je voudrais bien ne pas perdre des droits assez importants actuellement en friche". - 16 mars 1890. Lui demande quelles sont les conditions de Mlle Arnoldson. - 7 avril 1890. Regrette de ne pouvoir répondre à son aimable invitation. - 20 mai 1890. Au sujet de son poème "Circé" rejeté par Léo Delibes : "Je vois venir le moment où je ne pourrai plus placer un poème d'opéra". - 2 juin 1890. Souhaite obtenir des éclaircissements au sujet de sa condamnation à payer une amende de 200 francs pour la publication de "Fleur de neige" sans la restriction accoutumée. - 19 juillet 1890. Au sujet de son poème de "Circé" qu'il souhaite mettre à disposition de Heugel
Resumo:
23 janvier 1897. Au sujet de ses droits d'auteurs. - 26 mars 1897. Demande une avance. - 1er avril 1897. A bien reçu son avance pour le mois de mai et redemande encore de l'argent à son éditeur. - 24 mai 1897. Demande à nouveau de l'argent. - 31 juillet 1897. Conteste une dette de 1700 francs qu'il aurait contractée avec Heugel. Lui demande de vérifier dans ses livres de caisse. - 29 octobre 1897. Papier bordé de noir. L'informe qu'il prononcera quelques mots à l'occasion de l'inauguration du monument d'Antonin Mercié
Resumo:
1er juillet [1861] : Promet un article sur la distribution des récompenses des Salons et des Concours où il rappellera le nom et les oeuvres de Gustave Doré dont il a "le talent en grande estime" : "Le concours de sculpture a été très fort ; le nombre de médailles est trop restreint, et les Grands Prix de Rome toujours favorisés". Evoque aussi le nom de Charles Garnier : "Le "Sujet d'Opéra" de Garnier a obtenu la première médaille d'architecture. Décision tout exceptionnelle et très flatteuse car l'oeuvre ne faisait point partie, à proprement parler, de l'Exposition d'Architecture" (NLAS-212-1). - Février 1865 : Réclame un droit de réponse à un article de Blaze de Bury paru dans le "Ménestrel". La lettre contient également la réponse de Heugel datée du 3 février 1865 dans laquelle l'éditeur lui demande d'adoucir ses propos (NLAS-212-9). - 30 juillet 1866 : Echanges et négociations au sujet de la publication de "Tobie" de Fromental Halévy. Est vexé que l'éditeur ne voie pas dans cette parution une bonne affaire et rappelle qu'il a donné au "Ménestrel" "à titre purement gratuit" un travail important sur l'oeuvre de son frère, alors que tant d'autres collègues sont très bien payés pour fournir des notices sur des compositeurs auxquelles il reproche "un esprit de dénigrement à l'égard de [s]on cher frère". Tente de rendre justice à son frère : "Je ne puis cependant m'empêcher de remarquer, quand j'entre chez vous, qu'à côté des bustes ou portraits de Meyerbeer, de Rossini, d'Auber, qui décorent vos magasins, je ne vois pas une seule image du grand maître qui fut leur égal" (NLAS-212-11). - 2 août 1866 : Le remercie pour le témoignage personnel de ses sentiments à l'égard de son "cher et regretté frère" : "cette justice que vous lui avez toujours rendue me dédommage amplement des torts que peuvent avoir envers sa mémoire plusieurs écrivains qui ont coopéré avec moi au monument que vous élevez à la gloire de nos grands maîtres français et étrangers" (NLAS-212-12). - 25 avril 1867 : au sujet des droits d'auteur de "Tobie" (NLAS-212-16). - 7 mai 1873 : Se dit heureux que son article convienne au directeur du "Ménestrel". Évoque "Carmen" de Bizet : "Ludovic [Halévy] et Meilhac sont à l'oeuvre et achèvent un poème où l'ami Bizet aura toute occasion de déployer son talent" (NLAS-212-17). - 16 juin 1875 : Le remercie pour son article consacré à "[leur] cher et infortuné Bizet" : "Impossible de rendre un hommage plus complet et en meilleurs termes à une existence si courte et si bien remplie" (NLAS-212-19). - 22 juin 1875 : Au sujet d'un opéra inachevé de Bizet, "Le Cid" : "La seule personne qui pourrait vous donner des renseignements que vous désirez sur l'opéra laissé inachevé par Bizet [...] serait sa jeune et malheureuse veuve, ma pauvre nièce Geneviève, mais elle est dans un tel état de prostration, d'accablement et d'inconsolable affliction qu'il est encore impossible de l'interroger sur un sujet si douloureux pour elle et qui raviverait de si poignants souvenirs" (NLAS-212-20). - Contient aussi 2 LAS de sa belle-soeur Léonie Halévy au sujet de sa fondation "Le Pain à bon marché" (NLAS-212-22/23)
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 59719
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 59720
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 59721