345 resultados para Picton, Thomas, Sir, 1758-1815.


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Dit qu'il est toujours aussi prompt à engager Julian Gayarre pour créer le rôle de Paolo dans "Françoise de Rimini" et que Gayarre est également d'accord, mais seule "la date fatale du 31 mars, époque à laquelle Gayarre nous quittera forcément" pose problème. Prie son ami de le dire à Ambroise Thomas. - Le rôle de Paolo a finalement été créé par Sellier le 14 avril 1882

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Demande à son ami de ne pas encore annoncer les débuts de Mlle Griswald, dont il est très content : "la précipitation serait mauvaise". Prévient Ambroise Thomas "de continuer ses bons soins à Mlle Griswald"

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Dit à son ami de venir "causer encore" de la répétition. Il faut s'entendre avec M. Arban. "J'ai vu dans le "Figaro" le récit de votre dîner. J'ignorais qu'il fût donné en l'honneur du cher maître Ambroise Thomas; sinon bien que souffrant depuis un mois et obligé de ménager mes forces, je m'y serais rendu"

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Souhaite reprendre "Hamlet" dès le retour de Mademoiselle Grisvald et demande à Heugel de faire le nécessaire pour qu'Ambroise Thomas prenne rendez-vous avec Jean Lassalle

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Lui communique les dates des bals. Prie son ami de venir causer avec lui avant d'écire à Johann Strauss. Se dit très heureux des remerciements d'Ambroise Thomas

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Mention de date : 2 février, mais sans millésime. Compte-tenu du très grand nombre de représentations de "Mignon" qui ont eu lieu à partir de 1866, il est impossible de dater avec plus de précison cette lettre. - Hannah Vaucorbeil est la belle-soeur d'Auguste-Emmanuel Vaucorbeil, directeur de l'Opéra. - Sollicite une loge à l'Opéra-Comique pour voir "Mignon" d'Ambroise Thomas

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3 février, 7 et 8 avril 1874 : À propos des droits de "Mignon" et de "Hamlet" pour des représentations en Angleterre, à Covent Garden, et en Italie : souhaite préserver ses intérêts et prie Heugel de faire valoir ses raisons auprès d'Ambroise Thomas (NLAS-214-1/3). - 9 juin 1874 : Enrage de ne pouvoir assister aux répétitions de "L'Esclave" d'Edmond Membrée et cherche à convaincre Heugel d'en éditer la partition, certain à l'avance de son succès : "Je voudrais bien aussi compter sur un éditeur. [...] Ne croyez-vous pas qu'il y a là une affaire sérieuse?" Le remercie également pour tout ce qu'il a fait pour "Mignon" et pour l'heureuse issue de ses démarches (NLAS-214-4). - 14 novembre 1874 : Lui envoie les paroles d'un air "Jérusalem! Jérusalem!" qui "s'adapte exactement aux paroles de l'édition Schlesinger" (NLAS-214-5). - 11 décembre 1874 : L'informe qu'il a saisi hier chez lui, en son absence, une partition de "Mignon" (NLAS-214-6). Lui demande de la lui céder

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Au sujet de "Françoise de Rimini" et de Madame Adler-Devriès

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3 août : Évoque ses malheurs et sollicite Heugel : "Tandis que vous vous promenez sur les grèves, je me promène de plus en plus sur l'étang de la mélasse. [...] Ayez foi en moi , je vous prie, et donnez-moi quelque chose sur l'avenir".. - 2 décembre : Réagit à un article du "Ménestrel" consacré à Ambroise Thomas et déplore la position subalterne dans laquelle la presse tient les librettistes. - Papier à en-tête : "Au Ménestrel, 2 bis, rue Vivienne, Paris.

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2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.

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Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d')