240 resultados para Premiers rapports sexuels prénuptiaux
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Contient : 1 « Ci commence la generacion de tous les rois qui ont esté en France ». Liste enluminée des rois de France jusqu'à Louis IX ; 2 « Ci commence le prologues dou livre des croniques des roys qui ont esté en France ». Premiers mots : « A son tres chier seigneur... conte de Poitiers et de Thoulouse, cil qui est ses serjanz, ses clers et ses obeissanz, qui a ceste oevre translatée en françois... Sire, ce sachiés vous et trestuit cil qui cest escript verront... » ; 3 « Ci commence la generacion des rois de France. Il issirent du lignage Francio qui fu fiex Hector,... » ; 4 Prière ; 5 Commentaire du psaume L ; 6 Moralités ou discours sur les vertus et les vices
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Contient : I Fol. 1-28. " Expositio Boetii de Trinitate secundum fratrem T[homam]. Ab initio nativitatis mee investigabo et ponam in lucem scienciam illius. Sap. VII. Naturalis mentis humane intuitus pondere corruptibilis corporis... " ; II Fol. 29-44. Divers traités philosophiques, dont plusieurs sont probablement de saint Thomas, savoir : ; 1° Traité dont le commencement manque et dont les premiers mots conservés sont : " Quorum substantie vel nature differentes, horum et operationes differentes et quorum substantia est eadem... " ; 2° " [De generatione.] Eorum que generantur alia generantur in sublimi, alia in ymo. Ea que generantur in sublimi tria habent loca... " ; 3° " [De speculis.] Queritur de forma resultante in speculo que... lumen vel color videtur esse, queritur primo utrum sit vel non... " ; 4° " [De essentia.] Necesse est considerare primo quid essentia, quid substancia... " ; 5° ; 6° ; 7° ; III
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Contient : « Lai Nacion nostre seignor Jhesu Crist » ; « L'Aparicion, l'offrende des III. Rois » ; « La Purificacion » ; « Le parlement de traïr Nostre Seigneur devant Pylate » ; « La conversion S. Pol » ; « La chaiere seint Pere » ; « Li estriz de seint Pere et de seint Pol, encontre Simon mague devant l'empereur Noiron » ; « Le crucefiement seint Pere l'apostre et sa passion » ; « La passion S. Pol » ; « De seint Jehan l'evengelistre, comme il fu bouliz en l'uile » ; « La vie monseigneur seint Jehan l'evengelistre » ; « Conment messires seinz Jacques parla aus Juis, qant il fu revenuz de la terre de Galice en Jerusalem. » (Vie et miracles de S. Jacques) ; « La vie et li martires monseignor seint Mathi l'apostre » ; « La passion mouseignor seint Symon et monseigneur seint Jude » ; « La vie seint Bernabé l'apostre » ; « La vie monseigneur Thomas l'apostre » ; « La vie et li martires monseignor seint Berthelemiu l'apostre » ; « La vie monseignor seint March l'evangelistre » ; « La vie et li martires monseignor seint Andriu » ; « La vie monseignor seint Luc l'evengelistre » ; « La vie S. Jaque le petit » ; « Ici se definent les glorieuses vies aus beneoiz apostres nostre seigneur Jhesucrist. Et après commenceront les vies au beneoiz martirs nostre seigneur Jhesucrist » ; « La vie seint Estienne le martir » ; « La vie seint Vincent le martyr » ; « La vie et li martires monseigneur seint Jorge » ; « La vie monseigneur seint Cristoffle » ; « La vie seint Nicholas » ; « La vie monseignor seint Martin » ; « La vie seint Denis de France » ; « La vie monseigneur seint Cosme et S. Domien » ; « La vie seint Arsanne le bon abé » ; « La vie seint Syxte » ; « La vie et li martires S. Lorenz » ; « La vie monseignor seint Ypolite le martir » ; « La vie S. Lambert » ; « La vie mouseignor S. Julien » ; « La vie seint Brandam » ; « La vie S. Thomas de Cantorbiere » ; « La vie et le martire messires seinz Servestres » ; « La vie seint Jehan Baptiste » ; « La venjance de nostre seingneur Jhesu Crist » ; « La vie S. Aymon, qui fu roi, et de son martire » ; « La vie seint Thiebaut » ; « La vie S. Patrices » ; « De Balaam et Josaphat. En cel tems que les eglises et li mostier... » ; « La vie et li martires au glorieus monseigneur S. Longis » ; « La vie et li martires monseignor seint Sebastien » ; « La vie et li martires monseignor seint Hernoul, et de sainte Escalibierge sa fame, amie Deu » ; « Ci commencent les virges... L'Asumpcion nostre dame sainte Marie » ; « La vie et la passion seinte Agnés » ; « La vie et li martires de sainte Felice et de ses VII. fiulz » ; « La vie et le martire la beneurée virge S. Cretine » ; « De la veraie Croiz, conment ele fu trouvée » ; « La vie sainte Perrenele » ; « La vie madame sainte Fenicula » ; « La vie S. Cecile la virge » ; « La vie a la beneoite Magdeleine » ; « La vie Marie l'Egiptienne » ; « La vie et le martire sainte Katerine » ; « De la chandele d'Arraz » ; « La vie et li martyres madame sainte Agace la beneoite virge » ; « La vie sainte Anastaise » ; « La vie et la passion des XI. mile virges de Coulongne » ; « Il sont VIII. beneurtez. La premiere est povreié d'espire... » — Ibid. « Li premiers commencemenz de bien si est avoir poor de Dieu... »
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Contient : Vie de Bertrand Du Guesclin, incomplète des 40 premiers chapitres. « [Et plus furent Anglois que François n'estoient trois fois, mais la] bataille aloient redoubtant. B. ordonna ses batailles. ; « ... Et de vie à trespassement ala le bon roy Charles, qui tant fut saiges, ou moys de septembre ensuyvant, après son bon connestable, en l'an mil CCCIIIIxx ans de la Resurrection Nostre Seigneur Jhesucrist, qui les ames de eulx vueille recevoir en sa gloire perdurable. Amen. Et sic est finis. Deo gratias. Finis » ; Vers sur Bertrand Du Guesclin. « Cy après ensuyvent les armes lesquelles portoit monseigneur B. Duguesclin. — L'escu d'argent à ung aigle de sable, Ou à deux testes et ung rouge baston, Portoit le preux, le gentil connestable... » ; «... Cy est la fin du livre de messire Bertran Duguesc[l]in, lequel a traicté par avant de ces faiz et vaillances, et a esté acomply le tiers jour d'octobre mil IIIIe soixante » ; « Roman de Parthenay » ou de Lusignan, ou de Mélusine, en vers, par COULDRETTE ; « Cy après ensuyvent les hystoires de Raymond, conte de Poitiers, et de Mellusigne, sa femme, et de leurs enfans, cy après, come il aparaistra plus aplain » ; « Le philozophe fut bien sage, Qui dist en la première page, De la noble métaphisique... » ; «... Toute l'ouvraige sera faitte, Adonc se taira Couldrette » ; Prière pour la famille de Lusignan, en vers : « O glorieuse Trinité, Incomprenable [deité], Troys personnes en Unité... » ; «... Après noustre jour derrenier, Pardurable félicité. Amen. Et sic est finis. Deo gratias. Priez tous Dieu pour l'escripvain, Qui a escript cestuy romain »
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Contient : Notes de la même main que le corps du volume ; Signatures de possesseurs du volume : « Gérad Gilbert » ? « Roussell. Estienne Roussell »
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Contient : 1 Chronique en prose des ducs de Normandie, depuis Rollon jusqu'à Henri III, roi d'Angleterre ; 2 « Memoire du fait et destruction du royaulme d'Angleterre » ; 3 Partie d'une continuation de la chronique de Normandie, depuis le mois de juin 1414 jusqu'à la mort de Charles VI, texte publié par M. Hellot à Rouen en 1881, dans son édition des Chroniques de Normandie (p. 15-70). Premiers mots : « En l'an mil IIIIC. et XIIII, au mois de juing, vindrent en France... ». Derniers mots : «... veu son noble sang et lignage. Dieu face mercy à l'ame de luy. Amen. Explicit hoc opus »
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L'ouvrage commence (fol. 13) par : « Comme après le trespas de très haulte et très puissante princesse madame Anne de France... » et finit (fol. 258) par : «... le langaige mal aorné cueilly de ma nativite beaujoloyse, qui en fera l'excuse. Finis. Quant ce sera ». Il est précédé (fol. 1-10) premièrement d'une dédicace à « maistre Gilbert Bayart, conseiller du roy nostre sire, notaire et secretaire de ses finances », secondement, d'une autre dédicace à « hault et puissant seigneur messire Anne de Montmorency, chevalier de l'ordre du roy, seigneur dudit lieu, premier baron de l'Isle de France, mareschal et grant maistre », datée de Lyon, ce premier jour de janvier l'an mil cinq cens trente et ung » et suivies d'un prologue, dont les premiers mots sont : « Pour ce que depuys l'an mil troys cens cinquante... ». En différents endroits sont des corrections ou additions. Aux fol. 261-263 est une lettre de l'auteur à « François de Herville, notaire et secretaire du roy... commissaire des morte-payes de Guyenne », son frère, dans laquelle il lui annonce l'envoi de son ouvrage, et lui demande de le revoir, pour après le présenter à Gilbert Bayart. La fin du volume (fol. 265-284) est remplie par deux listes des évêchés et archevêchés du royaume, l'une pour la cotisation du clergé, l'autre pour la cotisation de la noblesse dans la contribution destinée à payer la rançon du roi François Ier et le « recouvrement » des dauphin et duc d'Orléans, ses enfants, prisonniers en Espagne. Sébastien Moreau, qui avait été chargé de la levée des décimes du clergé en Limousin, se proposait d'indiquer les sommes auxquelles les différents évêchés avaient été texés et les sommes reçues. Aucun chiffre n'y a malheureusement été mis. On a ajouté en tête du ms. (fol. A et B) une note, écrite au XVIIIe siècle, sur l'intérêt que présente cet ouvrage.
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Contient : 1 « Lictera quod gentes in obsequiis regis exeuntes pedagia vel costumas pro eorum victualibus non solvant ». Acte de PHILIPPE LE LONG. Paris, 10 janvier 1317. En latin ; 2 « Ordinacio super utilitate defectuum factorum in actione personali ». En latin ; 3 « Ordinacio super modo procedendi contra refformatores per regnum destinatos ». De 1325 à 1348. En français ; 4 « Ordinacio super falsa costuma vocata Hallebie ». Acte de CHARLES LE BEL. Mars 1325-1326. En français ; 5 Acte de PHILIPPE LE BEL, concernant un privilège accordé aux religieux du Mont Saint-Eloi par le roi saint Louis. En latin ; 6 « Ordinacio super regalia regis ». Acte inachevé de PHILIPPE VI, concernant le procès pendant « pour cause de la prebende de Chartres » entre « Me Estienne Rogier, d'une part, et Me Guillaume de S. Germain, presbtre, d'autre part ». Après 1334. En français ; 7-9 Actes de PHILIPPE VI de Valois ; 7 « Super convencionibus marcharum » concessarum « inter reges Francorum et Arragonum ». Contient un acte en latin du roi d'Aragon ALPHONSE IV, du mois de novembre 1332, et est daté du 22 août 1335. En français ; 8 « Idem ut supra ». Contient un acte en latin de PHILIPPE LE BEL, daté de Poissy, le 26 avril 1313. Paris, 17 octobre 1335. En latin ; 9 « Quid subditi regis Aragonum dicunt quod conventiones inter reges Francie et Arragonie infringebantur sub colore cujusdam statuti hic subscripti. Et sunt hic inserti tenores statuti et convencionum, querimonia et declaratio ». Paris, 28 octobre 1335. Cet acte en contient un de PHILIPPE VI, daté de Poissy, 6 novembre 1333, un de PHILIPPE LE BEL, daté de Poissy, 26 avril 1313, un de PHILIPPE VI, du 12 février 1333-1334. Tous ces actes sont en latin ; 10 Lettre du roi JEAN au roi d'Aragon Pierre IV. 10 août 1355. En latin ; 11-13 Actes en français de PHILIPPE VI de Valois ; 11 « Gracia facta gentibus de Calesio ». Amiens, 7 septembre 1347 ; 12 « La copie des lectres sur l'ordonnance des dons ». Chantecoc, 11 mai 1333 ; 13 « Lictera ad idem ». Brives, 27 décembre 1335 ; 14-19 Actes du roi JEAN ; 14 En faveur de Jacques Darten, chevalier, conseiller au parlement de Paris. Le roi l'exempte des péages et autres impôts qui auraient dû être perçus à l'entrée de Paris sur les objets de consommation à l'usage dudit Darten. 28 mars. Sans date d'année. En latin ; 15 Au sujet du testament laissé par Gilles de Senneville, physicien dudit roi. 2 janvier 1355-1356. En latin ; 16 « De renunciacione appellacionum ». 24 novembre 1354. En latin ; 17 « Mandatum regis ad causam canonicatus et prebende sancti Urbani Trecensis, quos rex contulerat Jacobo Cousin, et dux » Normanniae « contulerat Petro de Auxerio, quod prior sit pocior... Datum apud Chanteaus, die XXII decembris » 1361. En latin ; 18 « Mandatum clausum ad idem ». Dijon, 27 décembre 1360. En français ; 19 « Ordinacio facta Ambianis per regem Johannem super facto gentium armorum, refformatorum, Lombardorum, usurariorum et Judeorum ». Amiens, 5 décembre 1363. En français ; 20 « Revocatio domaniorum, facta per regem ». Acte de CHARLES V. Paris, 24 juillet 1364. En français ; 21 « Ordinaciones facte Remis per regem JOHANNEM de Judeis, de Lombardis, de refformatoribus et aliis officiariis regis. Reims, 21 octobre 1363. En français ; 22 « Bulla » papae CLEMENTIS VI, « quod non possit promulgari in regno Francie sentencia interdicti » ; 23 « Tractatus inter regem » Carolum V et Johannem IV de Monteforti, « ducem Britannie ». Acte de JEAN IV DE MONTFORT, duc DE BRETAGNE. « Donné en nostre ville de Guerande, le Xe jour du mois d'avril, l'an de grace mil CCC. et IIIIXX ». En français ; 24-25 Acte de CHARLES VI ; 24 Il accorde aux conseillers du parlement de Paris, de la chambre des enquêtes et des requêtes du palais et aux « greffiers d'icelles », et aussi à ses avocat et procureur en parlement, « que de l'imposicion et du quatreiesme du creu de leurs... heritaiges et vendu à detail et en gros sans marchandise et sans fraude, ilz soient franz, quictes et exempts doresenavant sans ce que on leurs en puisse aucune chose demander ». Paris, 14 mars 1397-1398. En français ; 25 Il déclare avoir mandé au chancelier Arnaud de Corbie de tenir « requestes generalles » et « en icelles » donner et faire « graces et remissions de tous cas » ; et il ordonne au parlement d'entériner lesd. graces et remissions ainsi prononcées. Paris, 13 mars 1401-1402. En français ; 26 Acte de PHILIPPE VI DE VALOIS, du 10 juillet 1336. S'adressant au bailli d'Amiens, il lui mande d'empêcher l'évêque d'Amiens de citer devant lui les bourgeois d'Amiens qui s'étaient rendus coupables d'adultères et de les condamner à des amendes. En latin ; 27-29 Actes de CHARLES VI ; 27 Ordonnance concernant les « cités, villes, chasteaulz et forteresses qui sont assises oultre la rivière de Loyre, et aussi... celles qui sont assises sur la mer et à six lieues prez en... Normandie, et semblablement... celles de... Picardie oultre la rivière de Soine (sic), et... toutes les autres qui sont en la frontière » du « royaume, en toutes les marches de l'empire », pour qu'il y soit diligemment fait « guet et garde de jour et de nuyt par les habitants des lieux ». Rouen, 22 octobre 1399. En français ; 28 « Lictera quod curia provideat reparacionibus ecclesiarum et edifficiorum ». Paris, 29 janvier 1414-1415. En latin ; 29 « Lictera signifficacionis, quod gentes parlamenti quicte sunt a decimis pape ». Paris, 15 juillet 1411. En latin ; 30 HENRI DE SAVOISY, doyen de Langres et receveur général de la décime imposée par le concile de l'église gallicane tenu naguères à Paris, s'adressant au receveur particulier de ladite décime dans le diocèse de Châlons, lui mande de surseoir la perception de la décime due par Me Jacque Bajulard, conseiller du roi en sa cour du parlement, jusqu'à nouvel ordre, les conseillers du parlement prétendant être exempts de ladite décime. Paris, 3 août 1412. En latin ; 31 Acte de CHARLES V : « Quod primogenitus regis in XIIII° anno censeatur major et pubes ad infrascripta ». Au Bois de Vincennes, au mois d'août 1374. En latin ; 32 « L'ordonnance faicte sur le grand scel du roy ». Acte de PHILIPPE LE LONG. Au mois de février 1320-1321. En français ; 33-34 Actes de CHARLES V, dauphin et roi ; 33 « Quod pro quibuscumque licteris regis non remictantur cause coram rege, nec differantur arresta ». Paris, 22 juillet 136. ». En latin ; 34 « Contra pedagiarios... Pronunciatum fuit die IXa maii millesimo CCCmo LXVI° ». En latin ; 35 « Decretalis » ; 36-37 Acte de CHARLES VI ; 36 Ordonnance concernant les débiteurs poursuivis pour leurs dettes. « Se aucun appelle de l'execucion de aucunes desd. lectres où il chiet garnison de main, en cas d'opposicion... le sergent ou autre executeur, qui sera commis à faire lad. execucion, ne surseira point de proceder en icelle, mais y procedera et pourra proceder et ne differera point aud. appel, jusques à ce que l'obligié aura garnye nostre main souffisamment, selon l'usaige et coustume du païs, de la somme pour laquelle sera requise ou commencée execucion contre luy ». Paris, 21 novembre 1384. En français ; 37 « Ordonnance sur le fait de la visitacion du domaine du roy et comme le roy succède aux bastards et autres gens aubains et espaves decedés sans hoirs naturelz ». Paris, 5 septembre 1386. En français ; 38 Acte de « JEHAN, filz du roy DE FRANCE, duc DE BERRY et d'Auvergne, et conte de Poictiers », confirmant les lettres par lesquelles son frère CHARLES V octroie « que il, ses hoirs, successeurs aians cause joïssent et usent paisiblement et perpetuellement à tousjours mès des domaines, justices, noblesses, seigneuries et aultres droiz des... duchés de Berry et d'Auvergne, de la conté de Poictiers, de Cholet, de Melle » audit duc appartenant, moyennant les réserves exprimées dans lesdites lettres de Charles V transcrites dans ledit acte. Ces lettres sont datées de Paris le 3 mars 1374-1375, l'acte du duc de Berry est du même mois. En français ; 39 « Ordinacio quod nullus in partibus occitanis et juris scripti ab interlocutoriis aut gravaminibus pro » differenda « solucione debitorum regiorum et jurium fiscalium, nisi tales sint interlocutorie vel gravamina, quod in diffinitiva reparari nequeant, nec eciam a debitorum ipsorum execucionibus nisi prius manu munita » audiatur « appellans ». Acte de CHARLES VI. Paris, 24 février 1391-1392. En latin ; 40-41 Actes de PHILLIPPE IV, dit LE BEL ; 40 Il accorde à Jean, duc de Bretagne, que ses sujets de Bretagne ne pourront être ajournés devant le parlement de Paris, « fours tant seulement en cas d'appel de deffault de droit ou de faulz et mauvaiz jugemens ou en autres cas appartenans » à la « souveraineté royal ». Février 1296-1297. Le duc de Bretagne est qualifié comte dans cet acte, qui est en français ; 41 « Aliud privilegium pro duce Britannie ». S'adressant aux baillis de Tours et de Coutances, il leur mande que les appellations des sujets bretons du duc de Bretagne ne seront reçues au parlement de Paris que dans le cas où ils seraient défendeurs. 1302-1303, le mardi avant l'Annonciation, c'est-à-dire le 19 mars. En latin ; 42 Acte de PHILIPPE V, dit LE LONG. Traduction en latin du texte français de l'acte de Philippe IV mentionné sous l'article 40. Paris, janvier 1316-1317 ; 43-47 Actes de CHARLES VI ; 43 « Ordinatio super sacramento confessionis dande et ministrande judicatis seu condempnatis ad mortem ». Paris, 11 février 1396-1397. En français ; 44 « Lictera quod nullus de patria juris scripti admictatur de cetero ad appellandum pro adherentibus aut adherere volentibus... nec ei per cancellariam nostram inhibitorie lictere concedantur, nisi prius constiterit appellacioni sic interposite adherentes vel adherere volentes infra decem dies adhesisse ». Paris, 1399. En latin ; 45 Le roi, s'adressant aux « generaulz conseilliers à Paris sur le fait des aides ordonnées pour la guerre », leur mande expressément qu'ils fassent « tenir quictes et paisibles de l'imposicion et du IIIIme du creu de leurs heritaiges vendu à détail et en gros sans marchandise et sans fraude », les conseillers, les gens de son parlement à Paris, de la chambre des enquêtes et des requêtes du palais et les greffiers de ces cours et aussi les avocat et procureur du roi au parlement. En français. Paris, 12 août 1400 ; 46 « Lectres notables sur le faict des finances » et de la « justice des aydes » ; touchant le domaine, les eaux et forêts, les monnaies, le parlement, la chambre des comptes, les maîtres des requêtes de l'hôtel, les secretaires des conseils, le grand conseil, reduisant le nombre des offices et introduisant l'élection pour les offices du parlement. Paris, 7 janvier 1400-1401. En français ; 47 Il ordonne « que tous ceulz qui ont esté pourveuz à prelatures ou autres dignités et ausquelz aucuns benefices ont esté conferés par les ordinaires » durant le temps de la soustraction du royaume à l'obéissance du pape, « supposé que lesd. prelatures, dignités ou benefices feussent paravant reservés à court de Romme, demeurent paisiblement en possession et saisine de leurs prelatures, dignités et benefices, et qu'ilz en joïssent sans empeschemens quezlconques et qu'ilz ne soient contrains à paier au pape ou à ses collecteurs ou commis... aucune finance », et ainsi soit-il de ceux qui ont été pourvus avant ladite soustraction ou depuis la restitution de l'obéissance au pape. Paris, 19 décembre 1403. En français ; 48-51 Actes de PHILIPPE VI ; 48 « Lictera » de tutore sive curatore dando ad litem pendentem inter heredes comitis de « Dampno Martino, ex parte una, et heredes Johannis « de Tria, ex altera, racione castri de Monciaco ». 1330. En latin ; 49 « De erroribus proponendis contra arresta curie parlamenti ». 1331 ou 1342. En latin ; 50 Formule concernant la compétence des sergents royaux. S. D. En latin ; 51 « Lictera de non dando officia antequam de facto vacent ». En français. Poncourt, 9 juillet 1341 ; 52 Acte de PHILIPPE V LE LONG. Les gens de son hôtel sont exempts du péage et des autres impôts pour les vivres qu'ils font venir pour leur usage. Paris, 10 janvier 1317-1318. En latin ; 53-55 Actes de PHILIPPE VI DE VALOIS ; 53 « Ordinatio super regalia regis ». Vincennes, octobre 1334. En français ; 54 « Ordinaciones regis facte super redditibus solvendis ob causam mutacionis pecunie seu monete ». Paris, 27 janvier 1347-1348. En français ; 55 « Ordonnance que les sergens ramenans la complaincte sur le lieu fairont resaisir reaulment et de faict, avant que recevoir l'opposant à opposition ». 1347, « post festum beati Martini yemalis ». En latin ; 56 Acte de CHARLES V : « Ordinaciones requestarum ». Paris, novembre 1364 ; 57 « Extractum ordinacionum super juridicione connestabularii, marescallorum, magistrorum hospicii, magistrorum requestarum, admiraldi, magistri balistariorum et magistrorum aquarum et forestarum ». Extrait d'une ordonnance du roi JEAN, du 28 décembre 1355, par HUGUES AUBRIOT, garde de la prévôté de Paris, à la requête de « messire Freslin, marquis de Saluches et seigneur de Montjay », extrait fait le mardi 12 février 1380-1381. En français ; 58 Acte de CHARLES VI : « Nove ordinaciones facte super refformacione ecclesiastici regiminis ». Paris, en l'hôtel St-Paul, le 6 octobre 1385. En latin ; 59 Acte de LOUIS X LE HUTIN, par lequel étant à Vincennes, au mois de décembre 1314, il vidime un acte de PHILIPPE LE BEL du 9 mai 1302, « touchant la jurisdiction ecclesiastique ». En latin ; 60 Deux articles d'une ordonnance de PHILIPPE LE BEL, du 26 février 1305, le premier sur de nouveaux péages, le second sur une nouvelle levée de décimes imposée par les prélats et autres personnes ecclésiastiques, contre laquelle il ordonne au sénéchal de Toulouse de défendre les consuls et les villes. En latin ; 61 Lettres de LOUIS LE HUTIN, adressées aux baillis d'Amiens, de Vermandois, de Senlis, et provoquées par les supplications de l'évêque de Beauvais, Jean de Marigny, pour leur rappeler son ordonnance donnée à Vincennes au mois de décembre 1315, « pro libertate ecclesiastica », les six ordonnances de Philippe le Bel, dont il donne les premiers mots, et une autre ordonnance de lui-même ; 62-65 Actes de CHARLES VI ; 62 Lettre au bailli d'Amiens, sur la plainte de Jean de Boissi, évêque d'Amiens, au sujet d'un cri fait « au siège de Grantvillier », que l'évêque regardait comme portant atteinte à sa juridiction. Paris, 7 mars 1404-1405. En français ; 63 Ordonnance qui prescrit au prévôt de Paris et aux baillis et sénéchaux, ce qu'ils doivent faire pour mettre en bon état les biens dépendants des bénéfices », pour mettre en sûreté les effets de succession des évêques et des autres bénéficiers. Paris, en l'hôtel St-Paul, 6 octobre 1385. En latin ; 64 Ordonnance touchant l'aliénation du domaine. Paris, 28 février 1401-2. En français ; 65 Fin d'un acte du 7 mars 1404-1405. En français ; 66 « Extraict des registres de parlement » touchant « la cause d'entre le conte de Brayne, d'une part, et l'evesque de Terouane, d'autre... Fait en parlement, le mardi 24e jour de may » 1463. En français
Resumo:
Contient : 1 Petite chronique allant de 1284 à 1451, c'est-à-dire du mariage de Philippe le Bel, fils aîné de Philippe le Hardi, avec Jeanne, fille de Henri Ier, roi de Navarre, et reine de Navarre elle-même depuis 1274, à la prise de La Réole par Charles VII et au siège de Libourne. Premiers mots : « L'an M.CC.LIII (sic) lo rey de Fransa, rey de Nabarra... ». Derniers mots : « ... que guabarra no pode ma regar » ; 2 « In nomine sancte Trinitatis et Filii, Spiritus Sancti. Amen. Incipiunt consuetudines aprobate per nobiles circumspectos viros, tam doctores quam alios probos homines civitatis Burdegale. Per so quar plusors crims e malefeitz ha hom feit sa en arrey à Bordeu... ». Derniers mots : « ... paguar nulha res que aya affermat. Finito libro sit laus et gloria Christo. Qui escripsit escribat, semper cum Domino vivat. Deo gracias. L'an M.CCCCC e XXXVIII furen feitas aquestas costumas. Consuetudo legitima aprobata de jure est tenenda ». En provençal ; 3 Commencement d'une table des chapitres des établissements et coutumes en usage à Bordeaux. Premiers mots : « Assi comensan los establimens, costumas de Bordeu, acostumat en Bordeu... ». Derniers mots : « ... Item nota que lo borgues de Liborna a. t. previlegi... Item entendas que nulli no sia obligat am carta o istrument » ; 4 « Hii sunt usus, consuetudines, franchise, ordinationes, privilegia et libertates quos et quas consules Brageyriaci pro se et Universitate dicti loci, pro communi utilitate reipublice ejusdem loci, petunt et supplicant confirmari per magnifficum virum dominum comitem Petragaricensem, Brageyriaci dominum. Primo, quod servientes statuantur certi et eorum nomina, et in curia domini publice scripta inveniantur... ». Date du préambule : 17 novembre 1334. A la fin on lit : « ... Et nos Rogerius Bernardi, comes Petragoricensis et Brageriaci dominus, recognoscentes omnia premissa et singula fore vera, sigillum nostrum presentibus literis seu presenti instrumento publico apposuimus in fidem et testimonium omnium premissorum ». A la suite certificat de collation, daté du 4 mars 1505-1506. En latin. Fol. 45 à 89) ; 5 Accord passé entre Regnauld, seigneur de Pont, damoiseau de Bergerac, et les syndics de Bergerac, lequel accord est confirmé par CHARLES LE BEL et Vidimé par ÉDOUARD, prince de Galles. S. d. En latin ; 6 « La costuma de Vasades ». Premiers mots : « Assi comensa en lo nom de Nostre Senhor Dieu Jhesu Crist loquau es senhor sobiran sobre totas causas... ». Derniers mots : « ... per ladicha costuma general de Vasades ». A la suite on lit tracés au vermillon les mots « Anno Domini millesimo CCCCmo octuagesimo nono dieque mensis octobris XXVIIa hee presentes consuetudines fuere per me subscriptum Deo favente patrate. Benedictus Deus, qui vitam sine termino, intercedente sanctissima virginum virgine, donet mihi ei quoque facienti scribi, in agonia mortis. Amen. Fe. Delauppe » ; 7 « Asso son de las costumas de Bazades »
Resumo:
Contient : « Differens entre les maisons de France et de Bourgogne, pour les duché de Bourgogne, conté de Bourgogne, conté de Mascon et conté d'Auxerre ». Premiers mots : « La duché de Bourgogne. Au commencement de ce petit traicté est mon intention de monstrer à qui selon droict appartient la duché de Bourgongne (sic), les contez de Bourgongne, de Mascon et d'Auxerre. La duché de Bourgongne est ici escripte et à qui de droict elle appartient. Sur la question qui est entre le duc d'Austruche (sic) et madame la duchesse sa femme, d'une part, et le roy de France tres crestien nostre souverain seigneur Loys XIe de ce nom d'aultre part... ». Derniers mots : «... oudict cas de la duché de Bourgoigne (sic) par les raisons dessus touchées madicte dame d'Autriche n'est pas capable d'en estre heritière. Copie »
Resumo:
Contient : 1 « Comment le pont d'Avignon fust commensé myraculeusement ». Lettre ; 2 « Pax inter archiepiscopum et capitulum Lugdunenses ex una, et cives ex altera... Actum anno Incarnationis Dominice milesimo ducentesimo octavo mense septembrii ». En latin ; 3 Note sur « ung lac bien profond et appoissonné », qui était autrefois « entre le chasteau » de « Pierrescise et les murailles de la ville » ; A la suite, lavis représentant les deux sceaux de la ville de Lyon : «... sigillum secretum universitatis communitatis Lugduni » ; 4 « Des anciennes pompes funeralles ». Premiers mots : « La vanité supersticieuse des payens ydolastres... ». Derniers mots : « ... il fit graver et entailler des navires » ; 5 Epitaphes et autres curiosités, en latin et en français ; a « Epitaphium Lucrecie : Collatinus Tarquinius dulcissimae conjugi et incomparabili Lucrecie, pudicie decori... » ; b « Rome. D. M. » Epitaphium Euphrosinae. Premier vers : « Quid sibi vult queris tellus congesta viator... » ; c « Aliud Rome. D. M. ». Premier vers : « Hic jacet exiguis Dionisia flebilis annis... » ; d « Rome, et est declaracio epitaphii ejusdem nobilis mulieris de greco in latinum ». Epitaphium Somoneae. Premiers vers : « Ego que cantu eram Syrenis suavior, ego que apud Bachum,... » ; e « Aliud Rome ». Epitaphium ejusdem (?) Somoneae. Premier vers : « Tu qui secura procedis mente parumper... » ; f « Epitaphium Lucrecie nuper repertum in episcopatu Viterbiensy. D. M. S. : Collatinus Tarquinus (sic) dulcissime conjugi et imparabili (sic)... » ; g « Mundus ». Épitaphe en vers ; h Épigramme en vers français. « Rondeau : Vielle mule du temps passé... » ; i Autre épigramme sur la prise de Brescia. « Rondeau : Regina celi letare. Alleluia, car Bresse est prise, Et Venise un chascun desprise. Elle entend très mal son carré... » ; j Autre épigramme contre la république de Venise. « Rondeau : Veniciens de maulvaiz cresme... » ; k « Rondeau : Royalle dame, triomphe des humains... » ; l « Ce que j'ey leu en ung roc au piet de la tour du far près la coloingne en qualité que l'on dit une des bonnes d'Ercules, que fit ediffier ledict Ercules pour sa memoire : Marti Aug... » ; m « Signum Karoli, gloriosi regis, in Ynsulle Barbare, anno ab Incarnacionis (sic) Dominy (sic) DCCCC LXXV » ; n « Le signet du roy Clovis, premier roy crestien » ; o « Le signet du roy Lothaire » ; p « Le signet du roy Pyppin » ; 6 « Des anticquytés de Nostre Dame de l'Isle, près Lion » ; 7 « De anticalia Lugduni ». Recueil d'extraits d'auteurs anciens concernant Lyon (Senèque, Suétone, Ptolemée, Juvénal, Eusèbe, Tacite), et d'inscriptions ou d'épitaphes qui se lisent à Lyon. En latin ; 8 Extrait en latin concernant la tarasque, monstre en forme de dragon, qui autrefois infestait la contrée située le long du Rhône, entre Arles et Avignon, dans les environs de Tarascon, et qui fut dompté par sainte Marthe. En tête on lit : « Je Pierre Sala ey pris se qui s'ensuit sus l'original d'un très ancien livre, qui est en l'eglise de Tarascon, et ce fut environ l'an 1505 ». A cet extrait est joint un portrait de la tarasque, dessiné à la plume ; 9 Extraits, en latin et en français, concernant le squelette du géant « Briart », trouvé le 5 novembre 1456 en la baronnie de Crussol, près S. Peray, « au ruisseau Mederie ». Un de ces extraits est une « epistre » en vers « faicte par monseigneur de MAILLE, en françois, suyvant le latin » qui la précède, « le roy Loys XI estant à séjour à Vallence ». Ces extraits sont précédés d'une peinture donnant une idée de l'endroit où fut trouvé le géant Briart, et dudit géant, peinture qui remplit le revers du feuillet 48, au droit duquel est dessiné le portrait de la tarasque ci-dessus énoncé ; 10 « L'epitre de Senecque à Lucille, du feu qui brulla Lion, qui pour lors estoit sus le mont de Fourvières, et se fut environ 50 ans avant la nativité Nostre Seigneur ». Traduction ; 11 Inscriptions latines à S. Michel auprès d'Aina y et « en l'Anticaille » ; 12 « Des ars qui sont partie à Lyon, partie dehors, près Sainct Hyrinier, Chappono, en plusieurs aultres lieux ». Premiers mots : « Lesdictz ars sont appellées (sic) par le peuple rudde et barbare ars des Sarazins... ». Derniers mots : « ... à l'archediacre de Saluces, etc. »