18 resultados para Gestes
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Cette chronique, dont le texte est en prose, est précédée d'un prologue en vers et est suivie d'un épilogue également en vers. Premier vers du prologue : « Considerant par les escriptz anticques... » Dernier vers de l'épilogue : « A tous esfors ». Le texte en prose débute par : « Jaçoit ce que plusieurs historiograffes et croniqueurs à plain volume ayent... » ; il se termine par : « ... et au parsus sur les urgens affaires du royaulme deuement advisé ».
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[De gestis Ludovici Caesaris (français). 1824]
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Le titre est au fol. 4, où la chronique commence par : « Comment Troie la grant fut fondée et destruite. Troie la grant et le royaume qui tant furent... » ; elle finit (fol. 79) par : « ... Devant Troies vint le roy Charles de France, le mercredi VIe jour de juillet mil CCCC XXIX, et là mist siege de toutes pars... muraille laquelle il commanda faire ses bombardes getter ». Une table incomplète occupe les feuillets 1-3 ; il manque, en effet, en tête, un feuillet qui devait en contenir le commencement.
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En tête de cette chronique est une table, qui occupe les feuillets 1 à 5. Puis vient (fol. 6) une espèce de prologue en vers intitulé : « L'exorde de ce present livre » dont le premier vers est : « Affin que tous les faictz de nostre temps ... ». Le texte en prose débute (fol. 7) par : « La descripcion des oeuvres recommandables et commemorables gestes de très cristien roy de France Loys doziesme de ce nom, redigée en escript et mise en lumière par moy frère Jehan d'Auton, de l'ordre Sainct Benoist, historiographe du roy nostred. souverain seigneur. Après avoir par volumes abregez ostencion faicte des actes gallicanes et ultransmontaines choses encommancées à la fin de l'an mille quatre cens quatre vingts dix huyt et icelles continuées ... » et finit (fol. 230) par : « ... et puys très devotement celebra la joyeuse feste de Pasques, sur laquelle mectray paille à mon escript, jucques à temps, en faisant fin au recit de ce present historial volume contenant les faictz de France de l'an mille cincq cens et ung continuant jucques à l'an mille cincq cens et six ».
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Commençant par : « Tout aussi comme se en moy estimoye science avoir et faconde de povoir souffire, descripre et revoquer à lumiere tous les fais vertueux... » et finissant par : «... Cy finent les Croniques des Bretons, contenant les gestes d'iceux depuis la venue de Brutus, nepveu de Eneas, jusques au temps du roy Cadwaladreth, qui regna l'an.V.C.IIII. XX. et.VIII.. ans apres l'Incarnacion Nostre Seigneur, selon la sentence de Galfroy Monemutensis, qui ce livre composa en latin par le commandement de tres noble et puissant prince Henry, roy d'Angleterre » .
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Ficino (Marsiglio). Livre de la vie saine, Livre de la vie longue, trad. par Jehan Beaufilz (1542, n. s.)
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Recueil de poésies sur différentes personnalités du temps d'Henri IV. Voici quelques-uns des titres ou des noms qu'on y relève : « Prosopopée en forme d'épitaphe » sur la mort de Gabrielle d'Estrées (fol. 2) ; « pasquin contre Charlotte Du Tillet, 1599 » (fol. 4 v°) ; « sur un Orphée que M. de Gondi fist venir d'Italie » (fol. 10) ; « les faicts et gestes de la Raverie, courtisane... par Me Guillaume, reveus et corrigés... par Angoulevent [Nicolas Joubert, cf. Dreux Du Radier, Récréations historiques, t. I (1768), p. 36], en l'an 1602 » (fol. 12) ; « responce à ce qui fut faict contre Mme la Marquise de Verneuil » (fol. 16) ; « les souspirs du révolté Biron » et « stances » en sa faveur (fol. 21 v° et 24 v°) ; « pasquin en l'année 1602 » (fol. 25 v°) ; « apocalipse de Pasquil », cf. ms. français 883, fol. 66 (fol. 30) ; « tombeaux » (fol. 34) ; « vision d'Aristarque » (fol. 42 v°) ; « ode à Monseigneur de Rosni, grand maistre de l'artillerie, 1601 » (fol. 45 v°), etc.