9 resultados para Voie lente
em Scielo Saúde Pública - SP
Resumo:
Among the emergent laser based spectrometric methods, thermal lensing and other photothermal techniques present a great potential for solving a variety of problems in the fields of chemistry, physics and biology. Their main advantages are high concentration sensitivity, sensibility to physical-chemical properties of the medium, excellent spatial resolution and noninvasive characteristics. In this article, theoretical principles, main applications and practical hints as well as fundamental limitations of these techniques will be carefully described. It is hoped that this will give the reader a clear picture of this field of investigation as well as provide to the ones who are not specialists in the area, the necessary background to understand, implement and use photothermal techniques. In the final sections the development frontiers of photothermal spectrometry will be discussed.
Resumo:
A uveíte peri e pós-operatória é o maior problema da cirurgia para extração de catarata no cão, sendo considerada o fator mais importante para o sucesso cirúrgico, imediato e tardio. Diversos protocolos pré e pós-operatórios utilizando agentes anti-inflamatórios esteroidais e não-esteroidais têm sido empregados na tentativa de controle da uveíte cirurgicamente induzida. O objetivo do presente estudo foi avaliar a reação inflamatória pós-operatória, clinicamente e por meio da pressão intraocular (PIO), após a cirurgia de facoemulsificação para extração de catarata em cães, com e sem implante de lente intraocular (LIO) em piggyback. Empregaram-se, 25 cães portadores de catarata, subdivididos em dois grupos: G1 (com implante de LIO), G2 (sem implante de LIO). A técnica cirúrgica adotada foi a facoemulsificação bimanual unilateral. Avaliações clínicas e mensurações da PIO foram aferidas antes do procedimento cirúrgico (0) e nos tempos 3, 7, 14, 21, 28 e 60 dias após o ato cirúrgico. Cães do grupo G1 apresentaram sinais clínicos de uveíte visivelmente mais intensos, relativamente aos do G2. Entretanto, a PIO não demonstrou diferença significativa entre os dois grupos analisados, nem entre os olhos operados e os contralaterais. A utilização de duas LIOs humanas em piggyback no cão é exequível, porém suscita mais inflamação e complicações no pós-operatório.
Resumo:
INTRODUÇÃO: Descrever os achados fundoscópicos em pacientes com AIDS e neurotoxoplasmose em fase ativa. MÉTODOS: Foi desenvolvido estudo prospectivo tipo série de casos incluindo 70 pacientes, de ambos os sexos, com idade variando de 20 a 63 anos, internados nas enfermarias de três hospitais públicos da Cidade do Recife, Pernambuco, com diagnósticos de AIDS e neurotoxoplasmose firmados segundo os critérios do Centers for Disease Control and Prevention (1992), no período de janeiro a outubro de 2008. Os pacientes se caracterizavam por: primeiro episódio de neurotoxoplasmose (65; 92,9%) ou recidiva (5; 7,1%); desconhecimento de ter AIDS (23; 32,9%), contagem média de linfócitos T CD4 de 139,8 ± 3,04 células/mm3 e carga viral média igual a 137.080 ± 39.380 cópias/mL. Todos foram submetidos a exame oftalmológico, consistindo de: inspeção ocular; aferição da acuidade visual; investigação da função muscular extrínseca ocular e fundoscopia, empregando oftalmoscópio indireto binocular (modelo OHN 3.5 (Eyetec®) e lente externa de 20 dioptrias (Volk®). RESULTADOS: Os achados consistiram em: exsudatos algodonosos retinianos (8,6%), constricção arteriolar difusa leve (8,6%); lesões de retinocoroidite cicatricial, características de toxoplasmose ocular (5,7%), atrofia do epitélio pigmentar retiniano (2,9%), descolamento da retina (2,9%), aumento de escavação papilar (1,4%), degeneração periférica retiniana (1,4%), macroaneurisma (1,4%), papiledema bilateral (1,4%), tração vítreo-retiniana (1,4%). CONCLUSÕES: Pacientes com AIDS e neurotoxoplasmose podem apresentar alterações fundoscópicas características da toxoplasmose ocular, na forma ativa ou cicatricial, relacionadas ao HIV ou, ainda, a outras doenças oportunistas ou sistêmicas, podendo ser de grande auxílio num tratamento integral do paciente por uma equipe multiprofissional.
Resumo:
Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
Resumo:
Os autores estudando culturas de 11 e 12 meses de Leptospira icterohaemorrhagiae, mantidas em meio de Schüffner modificado por Verwoort, observaram em microscópio eletrônico, corpos de leptospira com zonas de condensação do citoplasma assumindo aspecto granular Figs. 1, 3, 4, 9, 7, 12. Nas Figs. 6 e 7 vemos com nitidez um dêsses grânulos desmembrando-se do corpo da leptospira e cuja imagem é semelhante a outros grânulos esparsos. O número dessas formações é variável, parecendo depender de muitas causas. A deformação do corpo da leptospira parece depender da perda de consistência da membrana em virtude de alteração da sua permeabilidade, fenomenos que deve preceder á formação dos grânulos. Notamos também nas mesmas condições de experiência, como na Fig. 3, que os referidos grânulos tem dois aspectos diferentes: um é o que já referimos de forma irregular e opaco como se fôsse uma imagem de cromatina condensada e outro aspecto é também de forma irregular, porém, transparente como se houvesse esvaziado seu conteúdo primitivo, Figs. 5, 7 e 13. Na fig. 12, observamos o esvaziamento de uma forma destas o retraimento do seu conteúdo em outra, observação facilitada com auxílio de lente. A fig. 2 revela um aspecto frqüente encontrado em trabalhos desta natureza como no de CZEKALWSKI, J. W. e EAVES, G., isto é: formação de um grânulo com posterior segmentação do mesmo. Finalmente a Fig. 11 nos mostra grânulos com a mesma densidade que os fragmentos dos corpos da leptospira. Como dissemos acima, a cultura contendo material com êste aspecto foi inoculada em cobaias cuja hemocultura nos forneceu de novo o germe reisolado, o que faz admitir constituirem êsses grânulos uma fase no ciclo vital da leptospira ou então elemento capazer de manter condições e fatôres necessários à continuidade da espécie.
Resumo:
Descreve-se a composição da córnea do ôlho de Triatoma infestans, chegando-se aos seguintes resultados: 1 - A faceta de um omatídeo consta de uma lente quitinosa central, incluída dentro de um prima hexagonal cuticular que, em virtude da sua construção, contribui decisivamente para o isolamento ótico da lente. 2 - A lente é formada (1) pela epicutícula superficial, muito fina, (2) pela exocutícula quase homogênea e (3) pela endocutícula lamelada. A exocutícula apresenta-se em forma de uma lente coletora, sem qualquer pigmento. A endocutícula, também sem pigmentos, compõe-se de numerosas (50 a 80) lamelas cuticulares, em forma de cones encaixados, um no outro, de modo que as extremidades dos cones se encontram no eixo ótico da lente. A lente corresponde à um cristal monaxial. 3 - A córnea é a continuação da cutícula da cabeça; as camadas desta, compostas de tiras quitinosas, coladas por proteínas entre si, desintegram0se em numerosas lamelas. 4 - As propriedades óticas das lentes correspondem às de um cilindro de lentes no sentido de EXNER (1891). 5 - Os omatídeos centrais do ôlho são homocêntrico, os periféricos heterocêntricos com eixo ótico curvado.
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi avaliar a exatidão do cálculo da obstrução do horizonte, a partir de um modelo digital de elevação (MDE), em diferentes situações topográficas. O material utilizado incluiu um MDE disponível para a região da Serra Gaúcha, RS, receptores GPS, câmera digital, lente grande‑angular e os programas Idrisi, Arcview/ArcGIS e Solar Analyst. Foram adquiridas fotografias hemisféricas, e coletadas as coordenadas de 16 locais na área de estudo. As coordenadas e o MDE foram utilizados para calcular a obstrução do horizonte com uso do algoritmo Solar Analyst. Foram comparadas a fração aberta do céu calculada e a obtida pelas fotografias hemisféricas. O coeficiente de determinação foi de 0,8428, tendo-se observado superestimativa média de 5,53% da fração aberta do céu. Os erros são atribuídos principalmente à obstrução pela vegetação, que não pode ser identificada pelo MDE. A obstrução do horizonte, causada pelo relevo na Serra Gaúcha, pode ser calculada satisfatoriamente pelo Solar Analyst, a partir de um MDE interpolado de cartas topográficas na escala 1:50.000.
Resumo:
Os objetivos deste trabalho foram: (1) registrar as vantagens e desvantagens de cinco metodologias utilizadas para avaliar a cobertura do dossel (interpretação de ecounidades, densiômetro esférico, fotografia hemisférica com lente de 8 mm e fotografia digital com lente de 32 mm) e a quantidade de luz que o atravessa (luxímetro e fotografia hemisférica com lente de 8 mm); e (2) comparar a estrutura do dossel de um reflorestamento e de um fragmento de Floresta Estacional Semidecídual no norte do Paraná. A classificação em ecounidades é uma metodologia rápida e barata, mas com baixa reprodutibilidade. O densiômetro produz medidas rápidas e confiáveis, e o luxímetro e a fotografia com lente de 32 mm forneceram dados com pouca precisão, pois são sensíveis a pequenas variações do dossel, e a fotografia com lente de 8 mm é uma metodologia rápida e de alta precisão, mas apresenta alto custo. Analisando-se a estrutura do dossel, não houve diferenças significativas entre o densiômetro e a fotografia em 8 mm em nenhum dos dois ambientes; a fotografia em 32 mm apresentou resultados diferentes, com grande variação nas médias, indicando alta sensibilidade a pequenas alterações no dossel. Na avaliação da quantidade de luz que penetra no sub-bosque, o luxímetro e a lente de 8 mm foram diferentes. Todas as metodologias apresentaram diferenças entre a floresta madura e o reflorestamento.
Resumo:
OBJETIVO: verificar se alta freqüência de coitos vaginais e o uso de duchas higiênicas interferem com a microbiota vaginal. MÉTODOS: noventa e sete mulheres atendidas em centro de saúde localizado em zona de prostituição na cidade de Campinas foram avaliadas em estudo prospectivo de corte transversal. A anamnese determinou as freqüências de coitos vaginais e do uso de duchas higiênicas nas 44 profissionais do sexo e nas 53 não-profissionais do sexo estudadas. O conteúdo vaginal foi coletado com swab estéril de Dacron, da parede vaginal direita, e disposto em duas lâminas de vidro. A microbiota vaginal foi estudada em microscopia óptica com lente de imersão em esfregaço corado pela técnica de Gram. Os dados foram analisados pelo teste exato de Fisher. As mulheres profissionais e não profissionais do sexo apresentaram, respectivamente, média de idade de 24,9 (± 6,4) e 31,5 (± 9,7) anos, hábito de fumar em 52,2 e 24,5%, prática do uso de lubrificantes vaginais em 56,8 e 0% e prática de uso de condom em 100 e 41,5% dos casos respectivamente. RESULTADOS: apenas 1,8% das mulheres do grupo controle tinham sete ou mais relações sexuais por semana, em evidente contraste com as profissionais do sexo (97,7%). Não houve diferenças significativas quanto à raça, escolaridade e paridade. A vaginose bacteriana e a flora vaginal anormal foram mais observadas nas profissionais do sexo do que no grupo controle (p=0,02 e 0,001) e associou-se à alta freqüência (sete ou mais vezes) de coitos vaginais semanais (p=0,04 e 0,001). O diagnóstico de vaginose citolítica foi mais freqüente nas mulheres não-profissionais do sexo (p=0,04) e com menor freqüência de relações sexuais (p=0,04). O uso de duchas higiênicas foi mais comum nas profissionais do sexo (p=0,002). Entretanto, esta prática não esteve associada aos distúrbios da microbiota vaginal e nem à presença de vulvovagintes. CONCLUSÕES: profissionais do sexo com sete ou mais relações sexuais semanais apresentaram maior freqüência de vaginose bacteriana e alterações da flora vaginal. O hábito de duchas vaginais não interferiu com o ecossistema vaginal das mulheres estudadas.