3 resultados para Stück (Johann Wilhelm), de Zürich. inscription dans des albums (1583)

em Scielo Saúde Pública - SP


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Le 19 juillet 1928 l'auteur trouva près de Natal, capitale de l'État de Rio Grande do Norte, a 5º 47' au sud de l'équateur, un nouveau Dendrocephalus qui portera le nom ornatus, dû a ses appendices caudales teints d'écarlate brillant. La femelle (Pl.1) atteint 12 mm. de longueur e contient des oeufs noirs dans sa cavité d'incubation. Le mâle, beaucoup plus robuste, atteint 16 mm. et montre, outre les caracteres sexuels, une modification extrémement compliquée des deuxièmes antennes (qui dans la planche II sont vues devant les premières). L'espèce est plus petite que les deux autres décrites de l'Amérique du Sud et se distingue facilement par les antennes du mâle. Elle fut trouvée au bord de la route dans une flaque large et profonde d'eau de pluie argileuse. Les exemplares rapportés moururent en quelques jours et la mare, lors d'une seconde visite, fut trouvé sèche. L'autre espèce, observée en 9. 7. 28 dans un étang naturel tout-près de la capitale, avait déjà été observée á Matto Grosso et en Paraguay et déterminée comme Cyclestheria hislopi BAIRD. THIELE pense que les individus de l'Amérique du Sud, pour cause de quelques petites différences, pour-raient nien former une autre espèce qu'il propose d'appeler sarsiana, mais la comparaison des desseins et descriptions avec mes exemplaires ne parait pas soutenir cette idée. Tout-de-mème la répartition connue de cette espèce est extrêmement curieuse et peut-être unique en zoologie. Elle a été signalée à Nagpur (Hindoustan), Ceylon, Queensland (Australie), Célèbes, Afrique orientale et Sansibar; seulement le premier lieu se trouve bien au nord de l'équateur, mais encore dans la zone tropicale, comme toutes les autres localités. L'explication de cette extension sur les deux mondes est tout ce qu'il a de plus difficile, puisque entre les localisations il n'y a pas seulement d'énormes distances sur terre (que l'on pourrait expliquer par un défaut d'observations), mais des espaces tres étendus, occupés par la mer. L'intervention de l'homme ne saurait expliquer ces faits et le transport par les oiseaux aquatiques ne pourrait être qu'un fait tout-a-fait excepcionnel pour les grands trajets océaniques. Le recours aux terres hypothétiques, qui formaient des ponts intercontinentaux dans des périodes géologiques extrêmement reculées, recontre des objections évidentes. En tous les cas on ne peut qu'admirer la constance avec laquelle le type de l'espèce s'est maintenu durant d'innombrales générations et a travers de telles distances quand les autres phyllopodes ont formé non seulement des variétés, mais même un grand nombre de genre et de familles.

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Sur 410 B. glabrata infestées par 1 miracidium de S. mansoni, 300 ont été placées dans des boîtes aérées, sur de la terre humide, et soumises à 6 semaines de dessiccation progressive. Au terme de l'expérience, il y avait 71 survivantes (23.66%), dont 9 positives. Les 110 autres planorbes ont cosntitué le lot témein, avec 106 survivantes (96.36%) à la première semaine d'apparition des cercaires. L'étude hebdomadaire des émissions cercariennes a montré des variations périodiques pour les deux sexes, une plus grande production de certaines femelles chez les témoins, mais une production de cercaires mâles ou femelles semblable chez les mollusques ayant subi l'anhydrobiose. Le faible nombre de ces dernies n'a pas permis une étude comparée significative de la survie des porteurs de formes larvaires mâles et femelles. La durée du développement du parasite chez son hôte ne semble pas modifiée si l'on tient compte de la phase d'estivation.

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Les auteurs ont soumis à 6 semaines d'anhydrobiose 1200 Biomphalaria adultes, saines, ou parasitées par 8 ± 2 miracidiums de Schistosoma mansoni depois 3 ou 12 jours, ou émettant des cercaires. Les planorbes étaient placées individuellement sur, ou dans de la terre humide, dans des boîtes closes ou aérées. La survie a été nulle chez les planorbes saines, infestées, ou déjà positives, placées dans les boîtes closes. Chez les mollusques placés dans les boîtes aérées, elle a été de 44% chez les témoins sains, et de 40,6% pour l'emsemble des infestées depuis 3 et 12 jours, avec chez ces derniers une meilleure survie lorsqu'ils étaient en surface. N n'est pas apparu de différence entre les infestations de 3 jours et de 12 jours. La mortalité et la production cercarienne sont infériéures à celles de planorbes infestées et gardées en eau. L'analyse des émissions montre une production des cercaires mâles siginificativement inférieure à celle des cercaires femelles ou mâles et femelles. Chez toutes les B. glabrata positives, les auteurs ont observé des variations périodiques dans la production des cercaires, quel que soit le sexe de celles-ci. De plus, chez les mollusques préalablement soumis à dessiccation, il existe de nombreus arrêts ou pauses dans l'émission des larves.