7 resultados para Étude cas-témoin pairé
em Scielo Saúde Pública - SP
Resumo:
A pair matched case/control study was conducted from January 1991 to 30 June 1992 in order to define clinical and laboratory findings associated with DMAC infection in AIDS patients. Since DMAC infection is usually associated with advanced immunodeficiency, and therefore also with other opportunistic illnesses, in addition to the number of CD4+ lymphocytes, cases and controls were matched using the following criteria: date of AIDS diagnosis and antiretroviral therapy, number and severity of associated opportunistic infections and, whenever possible, type of Pneumocystis carinii prophylaxis, age and gender, in this order of relevance. Cases (defined as patients presenting at least one positive culture for MAC at a normally sterile site) and controls presented CD4+ lymphocyte counts below 50 cel/mm3. A significantly higher prevalence of general, digestive and respiratory signs, increased LDH levels, low hemoglobin levels and CD4+ cell counts were recorded for cases when compared to controls. Increases in gGT and alkaline phosphatase levels seen in cases were also recorded for controls. In conclusion, the strategy we used for selecting controls allowed us to detect laboratory findings associated to DMAC infection not found in other advanced immunossupressed AIDS patients without DMAC.
Resumo:
Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
Resumo:
L'étude des modifications de la coagulation sanguine à l'aide de la technique BRAZIL-VELLARD, réalisée chez 25 malades atteints de formes diverses, mortelles, graves, et bénignes, entre le lléme et le XIIIéme jour de maladie, et chez 12 convalescents, a permis d'arriver aux conclusions suivantes: 1º. Les variations du pouvoir coagulant du serum sont très irrégulières et peu différentes des celles observées chez de sujets normaux. 2º. La coagulabilité du plasma, dès le IIème jour de la maladie, présente une diminution marquée, constante chez tous les malades, atteignant son chiffre le plus bas entre le VIIème et le IXème jour et revenant progressivement á la normale pendant la convalescence. 3º. Cette diminution de la coagulabilité est due principalement á l'apparition de grandes quantités d'antithrombines dans la circulation; la diminution du fibrinogène observée dans quelques cas, est toujours peu accusée. 4º. La diminution de la coagulabilité du plasma, qui n'a jusqu'ici été observée avec cette intensité que dans la fièvre jaune, peut être d'un certain secours pour le diagnostic précoce de cette affection; elle n'a jamais été vérifiée chez des malades atteints d'autres affections fébriles. 5º. Au point de vue du pronostic, la diminution précoce et très accentuée de la coagulabilité est un symptôme grave, indiquant une lésion profonde de la cellule hépatique. 6º. Dans la fièvre jaune expérimentale du Macacus rhesus, les altérations de la coagulation sanguine sont de même nature, mais paraissent plus tardives et moins accusées que chez l'homme.
Resumo:
Os autores referem inicialmente que os ciliados da capivara (Hydrochoerus capibara L.) são conhecidos pelos estudos de MARQUES DA CUNHA & MUNIZ bem como de FLÁVIO DA FONSECA. Fazem o estudo em material recentemente colhido em viagem ao Brasil e agradecem às pessoas que facilitaram êstes estudos. Dizem das técnicas usadas na coleta e estudo do material. Trabalhando o material colecionado em uma capivara sacrificada em Ribeirão Prêto estudam os representantes da família Cycloposthidae. Dividem as espécies do gênero Cycloposthium em três secções: a primeira com C. hydrochoeri Cunha, 1915; a segunda com C. minutum Cunha & Muniz, 1927; C. lenticularis sp. n. e C. elongatum sp. n.; a terceira com C. caudatum Cunha & Muniz, 1927 e C. compressum Cunha 1915 incluidas em novo subgênero: Diplolophus. Estudam pormenorisadamente C. hydrochoeri fazendo numerosas observações da morfologia em exemplares de preparação total, bem como em cortes. Na segunda secção dão a diagnose das 3 espécies nela incluídas, das quais duas novas para a ciência: C. lenticularis, com corpo quase tão largo como longo, 40 a 60 μ de comprimento por 40 a 45 μ de largura e processos caudais muito curtos ora acuminados ora arredondados. C. elongatum, de tamanho relativamente grande, medindo de comprimetno 160 a 200 μ por 60 a 90 μ de largura. Para a terceira secção estabelecem um novo subgênero - Diplolophus - com D.(D.) compressum e D.(D.) caudatum. O subgênero é caracterisado, principalmente, por serem os cirros adorais distribuídos em duas espirais: uma interna e outra mais externa. Finalisando o trabalho fazem comentários sôbre os componentes da família Cycloposthidae.