81 resultados para 149-900
Resumo:
Foi conduzido um ensaio numa plantação comercial de café de variedade Mundo Novo de 9 anos de idade, com uma população de 1904 covas/ha, destinada a avaliar a quantidade de biomassa e de nutrientes removidas por diferentes tipos de poda: recepa a 0,40m; decote a 1,00, 1,50 e 2,00 m; decote a 1,50m com esqueletamento. A análise do material e dos dados permitiu tirar-se as seguintes conclusões: (1) a biomassa removida pela poda foi maior na recepa (24,3 t de matéria fresca e 11,9 de matéria seca) e no decote a 1,00 m (20,6 e 10,1 t, respectivamente); seguia-se o decote a 1,50 m com esqueletamento que deu 19,4 e 8,3 t de matéria fresca e seca por hectare; os pesos da matéria fresca e seca correspondentes aos decotes a 1,50 m e 2,00 m foram: 12,1 e 5,4; 5,6 e 2,5 t/ha; (2) a relação existente entre a altura de poda e quantidade de fitomassa removida é descrita por equações de regressão simples; (3) as quantidades de nutrientes removidas são proporcionais as quantidades de material podado sendo as seguintes de acordo com a ordem dos tratamentos dado, em kg/ha: N - 320, 294, 162, 80 e 261; P - 18, 15, 10, 44 e 16; K - 286, 266, 168, 78 e 273; Ca - 149, 139, 63, 33 e 101: Mg - 30, 33, 16, 8 e 26; S - 10, 7,6, 3 e 10; as quantidades de micronutrientes removidas foram, em g/ha: B - 306, 337, 163, 83 e 268; Cu - 229, 219, 121, 51 e 191; Fe - 2783, 2328, 1367, 544 e 2,088; Mn - 437, 779, 264, 142 e 412; Zn - 174, 152, 74, 28 e 121; (3) foram derivadas equações de regressão simples que relacionam quantidade extraídas e altura da poda; (4) a reciclagem de fitomassa contribui com economia substancial de fertilizantes para a nova vegetação. Cerca de dois terços e três quartos de nutrientes, entretanto, estão contidos no material lenhoso de caules e ramos o que deve fazer que a sua disponibilidade seja mais lenta.
Resumo:
O conhecimento científico sobre a associação de Thysanoptera com plantas nativas ou cultivadas na região Neotropical é praticamente inexistente. Este trabalho objetivou identificar as espécies de tripes e as plantas por eles visitadas ou utilizadas como hospedeiras em uma unidade de conservação, o Parque Estadual de Itapuã (30°22'S 51°02'W), Viamão, Rio Grande do Sul, Brasil. Entre junho de 1999 e maio de 2001, ramos (n=1.274), flores (n=774) e touceiras de gramíneas (n=596) foram sistematicamente amostradas em 20 pontos em quatro transectos estandardizados. O total de 72 espécies de plantas pertencentes a 26 famílias foram identificadas, 60 das quais foram registradas como hospedeiras. Do total de 9.602 espécimes de tripes, 4.900 (50%) foram registrados em flores, 3.764 (39%) em ramos e 938 (10%) nas touceiras de gramíneas. Para 6.533 dos espécimes (4.480 imaturos e 2.053 adultos), foi possível identificar a planta na qual foram coletados. De uma riqueza total de 61 espécies de tripes, 35 foram registradas em flores, 36 em ramos e 14 em touceiras de gramíneas. As espécies de tripes mais abundantes e as plantas que apresentaram a mais alta diversidade de tripes são comentadas.
Resumo:
Nous avons travaillé à Bello Horizonte, Etat de Minas, avec le venin de 4 espèces de Scorpions: Tityus bahiensis (C. L. KOCK, 1836). Tityus serrulatus (LUTZ-MELLO, 1922). Tityus dorsomaculatus (LUTZ MELLO, 1922). Bothriurus (espèce em étude), sur un total de 13.640 individus. Nous avons essayé et observe laction du venin sur 97 espèces differentes dêtres vivants depuis les chlamydozoaires jusquà l«Homo sapiens». Nous avons cherché à déterminer une unité toxique «plus précise, plus régulierè». Les étalons dits «unité vésicule», «unité morsure» sont inconstants et sans rigueur. Tout au plus, peuvent ils server à létude de laction générale du venin, et cela meme, dans certains cas seulement. Nous avons employé la pesée pour determiner lunité toxique. Ce qui est important pour qui étudie ces sujets ce nest pás lê nombre de vésicules, mais bien la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent. La balance, pour notre travail, est um moyen indicateur de bien plus grande précision que la «vésicule» ou la «morsure». Nous sommes parvenus à prouver quil existe une relation constante entre le poid brut des vésicules et la quantité de venin humide ou desséché quelles contiennent dans leur intérieur. Donc em pesant les vésicules, nous pesons indirectement le venin. Peu nous importe quil y ait 10 ou 100 vésicules. Il nous importe seulement de savoir combien elles pèsent, et de déterminer par ce fait, la quantité proportionnelle de vain pur. La technique générale est la suivante: Nous pesons um certain nombre de vésicules. Nous triturons ensuite, dans um mortier stérilisé et nous emulsionnons, par laddition consécutive deau distillée, stérilisée. Nous filtrons lémulsion sur le papier filtre employé em chimie, préalablement taré et desséché dans une atmosphere de chlorure de calcium. Après le filtrage on sèche à nouveau les papiers filtre employés d'abord à l'étuve et ensuite dans la même atmosphère de chlorure de calcium. Nous pesons plusieurs fois et on obtient la moyenne de ces pesées. On soustrait de cette dernière pesée le taux des substances non venimeuses, glandulaires, également dissoutes et calculées à 23 du poids brut et celles retenues par les papiers,-on obtient ainsi la moyenne réelle du venin pur contenu dans les vésicules utilisèés. Une simple divisiôn suffit pour fixer la moyenne de chacune. Ces données ont été vérifiées par les expériences faites avec du venin pur, largement obtenu dans notre Laboratoire. Nous avons trouvé de la sorte pour une vésicule de Tityus serrulatus: 0,gr.000,386 de T. bahiensis: 0,gr.001.261.24 de venin pur ce qui donne. 7/15,96 pour la 1ère. 1/8,36 pour la 2ème du poids sec de chaque vésicule. Le poids sec, pour une moyenne obtenue de 1.000 vésicules, fut de 0,gr.008,236 pour Tityus bahiensis. Maximum 0,gr.011. Minimum 0,gr.004.4 pour chacun. Pour Tityus serrulatus, en 1.049 vésicules le poids fut de 0,gr.006,08. Maximum 0,gr.014.03. Minimum 0,gr.003,1 pour chacun. C'est pour cette raison que l'unité-vésicule est incertaine. 2 poules A et B.; l'une, A, pesant 2 K.030 gr. reçoit dans une veinè, une émulsion en sèrum physiologique à 8,50/%, stérilisé, de 19 vésicules totales de Tityus serrulatus, et présence de légers phénomènes toxiques. L'autre, B, pesant 2 K.320 gr. meurt avec tous les phénomènes classiques de l'empoisonnement, par l'injection endoveineuse del'émulsion de 16 vésicules totales de venin de Tityus serrulatus! Les premières 19 vésicules pesaient 0,gr.58; les 16 derniéres-84 milligrammes. Les premières contenaient 0,gr.003. 634 et les secondes 0,gr.005.263 de venin pur! La moyenne obtenue de 6346 scorpions, (entre T. bahiensis et T. serrulatus) nous a fourni pour chacun: 0,gr.000,131,53 de venin pur, par piqûre. Si l'on spécifie: Pour 5.197 T. bahiensis. La moyenne pour une piqûre est 0,gr.000.106.15. Pour 1.149 T. serrulatus, la moyenne pour une piqûre est.......0,gr.000.246.30. La quantité a varié, selon les individus, de 0,gr.000.035.71, à 0,gr.000.436.01 de venin pur, pour une piqûre. D'après ce qui vient d'étre dit, on peut voir combien la quantité de venin éjaculé varie, chaque fois, chez les scorpions. L'unité-piqûre ne peut done pas ètre utiliseé pour des expériences dèlicates. Le mieux est de se servir de venin pur, et c'est ce que nous avons fait pour les expériences minutieuses. Quand on n'en possède pas, on peut établir pour chaque série des expériences à tenter-la dose minima mortelle en poids (grammes et fractions) de vésicules. D'après les bases ici consignées, et avec une trés petite erreur, on peut calculer la quantité de venin pur de cette dóse. Ce calcul est d'ailleurs dispensable. On peut s'en rapporter simplement au poids sec des vésicules totales et dire que la D. m. m. est de tant de milligr. secs. Comme le venin se conserve mal dans les vésicules, il faut, dans ce procédé, doser la D. m. m. toutes les fois que l'on veut procéder á une sériê d'expériences. Le venin desséché rappelle, d'après le temps de conservations au Laboratoire, celui de Crotatus terrificus et celui des Lachesis (quand il est vieux). Il est retenu au passage en partie, par les bougies Berkfeld et Chamberland. La conservation en état de dessication est la meilleure. Ainsi gardé, à l'abri de la lumierè, aux approches de 0,gr., pendant 8 mois, il perd à peine 1,2 à 1,4 de sa valeur primitive. L'echauffement à 100 gr. trouble une dissolution de venin dans l'eau distilleé; sans atteindre toutefois son pouvoir toxique, quand on l'injecte par la voie intra-cérébrale. Nous avons fait l'experience par 11 voies diverses. Sur des animaux sensibles, nous n'avons pas obtenu de phénomènes toxiques, apparemment, par les voies suivantes: 1) buccale; 2) gastrique; 3) rectale; 4) chambre oculaire antérieure; 5) cornéenne; 6) trachéenne; 7) meningée {sur; intra; 8) simple contact, bien que direct, avec le systemè nerveux central. La gravité des phènomènes décroît suivant l'échelle ci-dessous: 1) intra-cérébrale...
Resumo:
Os autores procuraram verificar a influência dos granulos de HEINZ no desenvolvimento de leucocitóse após injeção de acetilfenilhidrazina em animais. Injetaram dóses elevadas (70 mg. p.q.c.) em animais de grande pórte e em seguida no 5.° dia retiraram por sangria á branco o sangue do animal, hemolisaram e lavaram os granulos assim obtidos com solução fisiológica. O material conseguido por esta fórma foi injetado em cão de pequeno pórte, para obter-se uma alta concentração na circulação. Os resultados foram os seguintes: Cão 353. No dia 0 contava 8.900 leucocitos por mm3. Injetamos na veia 50 cm3 de soro fisiológico contendo granulos. No dia seguinte apresentava 20.000 leucocitos por mm3. Injetamos 80 cm3 na mesma via de solução de granulos, havendo o número de leucocitos caido para 16.800 por mm3. No 6. ° dia da prova o número de leucocitos retornava ao valor normal. Cão 350. No dia 0 leucocitose de 16.000 leucocitos por mm3. Injeção de 35 cm3 de solução de granulos elevou-a para 35.800 por mm3. Nova injeção no dia 2 apos o número de leucocitos haver descido para 23.000 por mm3 elevou-se para 31.000. No 6. ° dia, da mesma fórma que na experiência anterior, o número de leucocitos mostrou-se próximo a cifra do dia 0. Quando o número e normal, o aumento, após injeção dos granulos de HEINZ, e cerca de 3 vezes aquele número, ao contrário, quando inicialmente a cifra é elevada o aumento de leucocitos é unicamente de 1.2 vezes.
Resumo:
1) Depois de 2 anos de observação após o tratamento com penicilina em doses baixas, verificou-e que de 30 pacientes tratados com lesões boubáticas primo-secundárias, 13 mantinham-se curados clínica e sorològicamente. Quatro pacientes continuavam com cura clínica, mas com R. Wa. positiva. Os 13 doentes acima citados ofereceram as seguintes médias: Média das idades [...] 9 anos. Média da duração do tratamento [...] 30 dias. Média das doses totais de penicilina [...] 45.000 unidades. Média dos intervalos da injeções [...] 6/6 horas. Entretanto, doses variando de 72.000 a 200.000 unidades, em tratamento de 1 a 4 dias fracassaram. A distribuição dos 30 tratados segundo a duração do tratamento, mostra que os resultados mais favoráveis foram obtidos com os tratamento mais longos. A distribuição segundo a dose, demonstra o mesmo para aquelas compreendidas entre 21.000 e 50.000 unidades. A distribuição em grupos etários, revela o mesmo para aquele de 1 a 8 anos e finalmente a distribuição segundo a frequencia das injeções, indica o mesmo para o grupo de 8/8 a 12/12 horas. Êste último fato, justificou a abolição das aplicações noturnas. Os resultados mais favoráveis nas idades mais baixas, demonstraram, seja insuficiência das dosagens, seja u'a maior resistência ao tratamento por parte dos casos de mais longa duração. 2) Depois de 2 anos de observação após o tratamento com penicilina em doses baixas, de 6 pacientes com lesões boubáticas terciáras, 5 continuavam curados clínica e sorològicamente. O doente restante continuava com cura clínica, mas com R. Wa. positiva. Êste doente fôra superinoculado experimentalmente e não recebera tratamento em seguida, havendo probabilidade de a experiência ter concorrido para a permanência da sorologia positiva. A duração do tratamento variou de 1 mês e 27 dias a 8 meses e 22 dias e as doses totais de penicilina de 164.000 a 586.000 unidades. 3) Depois de 2 anos de observação após tratamento com néo-arsfenamina, de 4 boubáticos com lesões terciárias, apenas 2 continuavam curados clínica e sorològicamente. Os outros 2, não apresentavam sinais de doença mas continuavam com a R. Wa positiva. A duração do tratamento variou de 1 mês e 15 dias a 14 meses e a dosagem do medicamento de 2.10 grs. a 17.10 gr. 4) Depois de um ou dois anos de observação após o tratamento com penicilina isolada por via oral, 3 pacientes com lesões primo-secundárias, foram encontrados com recidiva clínica e sorológica. A duração do tratamento foi de 10 dias com a dosagem total de 100.000 unidade, os pacientes tendo 5, 8 e 10 anos respectivamente. Em quatro outros doentes, de 10 a 17 anos tratados durante 10 dias, com 150.000 unidades de penicilina associadas a citrato de sódio, os tratamentos foram considerados <
Resumo:
Transmission of Chagas disease is realized through contamination of ocular conjunctiva, mucosa or skin with infected dejections eliminated by the insect vectors of Schizotrypanum cruzi (Triatoma infestans, Panstrongylus megistus and Rhodnius prolixus). The triatomid bugs live in holes and craks in the walls, in beds, behind trunks, etc. Found in primitive mud huts covered with thatched roofs, and so the human dwellers have many chances to contract the disease, reinfections being reasonably more to expect than a single inoculation. Experimental work reproducing those natural conditions is welcomed as some important features in the pathologic picture of the disease such as the extensive myocardial fibrosis seen in chronic cases are still incompletely known. Microscopic changes were studied in the heart muscle of seven Cebus monkeys infected by S. cruzi. This animal survives the acute stage of the disease and so is particularly suited to experiments of long duration in which several inoculations of S. cruzi are performed. Three different strains of S. cruzi isolated from acute cases of Chagas' disease were employed. One monkey was injected in the skin with infected blood and necropsied after 252 days. Two monkeys were three times, and one, eight times infected in skin, one of them with contaminated blood, and two with contaminated blood and dejections from infected bugs. The necropsies were performed after 35, 95 and 149 days. One monkey was three times inoculated through the intact ocular conjunctiva (one time with infected blood, two times with dejections from infected bugs), and one time through the wounded buccal mucosa, and necropsied after 134 days. Another monkey was six times inoculated, four times through the intact ocular conjunctiva (one time with contaminated blood, three times with dejections from infected bugs) and two times injected in the skin with infected blood, and necropsied after 157 days. Finally, another monkey was nine times inoculated, four times through the intact ocular conjunctiva (one time with infected blood, and three times with dejections from infected bugs), and five times injected in the skin (four times with contaminated blood, and one time with dejections from infected bugs), and necropsied after 233 days. The microscopic picture was uniform presenting, however, considerable individual variations, and was represented by diffuse interstitial myocarditis, frequently more (marked in the right ventricle base of the heart), accompanied by lymphatic stasis. The infiltration consists of macrophages, plasma cells and lymphocytes, the cellular reaction having sometimes a perivascular distribution, involving the auriculo-ventricular system of conduction, endocardium, epicardium and cardiac sympathetic gangliae. The loss of cardiac muscle fibers was always minimal. Leishmanial forms of S. cruzi in myocardial fibers are scanty and, in two cases, absent. Fatty necrosis in the epicardium was noted in two cases. Obliterative changes of medium-sized branches of coronary arteries (hypersensitivity reaction?) and multiple infarcts of the myocardium was found in one instance. The diffuse myocarditis induced by S. cruzi in several species of monkeys of the genus Cebus observed after 233 days (several inoculations) and 252 days (single inoculation) is not associated with disseminated fibrosis such as is reported in chronic cases of Chagas' disease. Definite capacity of reversion is another characteristic of the interstitial myocarditis observed in the series of Cebus monkeys here studied. The impression was gained that repeated inoculation with S. cruzi may influence the myocardial changes differently according to the period between the reinoculations. A short period after the first inoculation is followed by more marked changes, while long periods are accompanied by slight changes, which suggests an active immunisation produced by the first inoculation. More data are required, however before a definite statement is made on this subject considering that individual variations, the natural capacity of reversion of the interstitial myocarditis and the employement of more than a species of Cebus monkeys probably exerts influence also in the results here reported.