2 resultados para Filósofos mendocinos

em Universidade Federal de Uberlândia


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This dissertation aims at showing the importance of the Nietzsche s and Spinoza s philosophy in Deleuze thought, about body, force, and potency concepts. The search starts from Deleuze texts around two authors of his inspiration, reaching understand in the plan of immanence of the relationship between concepts and the way life as ethics and political affirmation. The first goal is the concept of rhizome; propose by Deleuze in what manner to walk the ways traced by philosophers and at the same time to create self ways. The second chapter examines the body in Nietzsche as force s relations. Find to show the genesis of the force in its determination as relative quantity strong or weak, and as absolute quality active or reactive; and for other side the genesis of the force from two poles of the will to power affirmation or negation, examining the consequences for life and thought. In the third chapter explained the definitions of body in Spinoza. The body, in Spinoza, defines itself complex relation of movement and repose, velocity and slowness and by it s to affect and be affecter s power. Find to show understanding the mediums for to amplify the power of to exist or the potency of to act, in what manner ethics of to live. The fourth chapter makes one parallel between the war and the thought in the constitution of socials body and collectives agenciamientos, for understand in the fifth chapter the body as war s machine of the thought, from the relationship between nomad way life and war s machine showed in Tractate of Nomadologia. Wait like this to show the importance of the ethics and political thought than affirm the existence in the world through active force from that body s power.

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Ce travail est le résultat d’une recherche dédiée à étudier le processus philosophique de la découverte du cogitochez Descartes. Ses buts ont été : a) de préciser qu’il existe d’autres possibilités d’interprétation du cogito au-delà de celles les plus courantes et b) de montrer que, dans cette découverte, il y a un trajet qui passe nécessairement par les degrés de la sagesse. La mise en oeuvre du travail d’enquête a exigé la manipulation des sources bibliographiques primaires, constituées des principaux écrits de Descartes, avec une plus grande attention à laLettre-préface des Principes de la philosophie, aux Méditations sur la philosophie première, aux Principes de la philosophie et aux Réponses aux secondes objections. Nous avons cherché à lier ces textes traditionnels aux textes de la littérature secondaire de la modernité, prouvant ainsi la pertinence du sujet au sein du domaine de la Philosophie dans les universités brésiliennes. Pour attester nos constatations, nous nous sommes appuyés sur l’analyse linguistique de termes spécifiques au discours cartésien, en utilisant des dictionnaires de latin (langue dans laquelle a été écrite une grande partie du texte de Descartes), du français de la Renaissance et de portugais. L’argumentation s’est arrêtée dans la mise en contexte du cadre des degrés de la sagesse. Pour cela, il a été nécessaire d’expliquer les notions fondamentales de la philosophie cartésienne explicitées dans la Lettre-préface. Par exemple, le concept de philosopher qui, chez Descartes, est fortement associé à la pulsion sceptique, source commune d’inspiration pour le philosophe et pour le sceptique, étant, en outre, point de convergence entre Descartes et un autre penseur avec lequel il réalise une espèce de conversation : Montaigne. Pendant le moment du quatrième degré de la sagesse, Descartes identifie, dans la pensée de Montaigne, les traces permettant de transcender le quatrième vers le cinquième degré de la sagesse, celui-ci signifiant surtout la découverte des premières causes, des premières notions, des principes qui engendrent toute la Philosophie. La portée des premières notions ou causes, des principes est l’objectif principal du philosopher cartésien. Descartes distingue, même si de façon non explicitée, entre des notions communes et des notions primitives. Dans les deux cas, il s’agit de notions premières, néanmoins, chacun a une fonction différente au sein de la philosophie cartésienne. Les notions communes sont les règles de la raison ou les principes logiques qui confirment la découverte d’un savoir. Les notions primitives sont les principes qui engendrent le savoir. La conclusion présentée dans ce travail – la découverte du cogito passe par les quatre degrés de la sagesse, en réalisant avec excellence, dans son cinquième degré, une expérience dans laquelle il faut trouver l’instance originelle de la pensée – renforce notre constatation, ne mettant pourtant pas fin aux discussions. Puisque, dans la myriade de réflexions sur le sujet, ce n’est qu’une modeste collaboration.