9 resultados para narration

em Aston University Research Archive


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

L’analyse des temps de la narration n’est pas chose nouvelle. Souvent, ce sont les narrations orales ‘de tous les jours’ qui ont préoccupé les linguistes (Labov & Waletzky 1967, Bres 1994). Mais qu’en est-il de l’usage des temps dans les narrations écrites telles qu’on les trouve dans la presse sportive? On se fondera ici sur un corpus d’articles du 1er juillet 2002, tirés de la presse francophone (parisienne, régionale, belge et algérienne) et consacrés à la finale de la Coupe du Monde de football (Labeau 2002b). A quels temps a-t-on recours pour narrer ces exploits sportifs ? Le passé simple a-t-il toujours sa place dans ce genre « épique », ou s’est-il vu supplanter par d’autres formes telles le passé composé, le présent ou l’imparfait de narration… ? (Engel 1990) Nous allons nous concentrer sur deux aspects de l’emploi des temps. D’une part, la presse sportive constitue-t-elle un sous-genre distinct ? D’autre part, des différences régionales apparaissent-elles ? Nous tenterons de voir si les approches textuelles se reflètent dans l’emploi des temps des narrations étudiées. Termes clefs Narration - presse sportive – temps - presse régionale – presse francophone - genre

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Cette étude s’intéressera à deux questions majeures : 1. Dans quel cotexte trouve-t-on ce type d’IMP ? Quelles sont les marques syntaxiques, lexicales voire pragmatiques qui régissent cet emploi ? On passera en revue les critères répertoriés dans Labeau (à paraître) et on tentera de voir si d’autres peuvent être identifiés. 2. Comment la forme est-elle traduite en anglais ? Recourt-on principalement au simple past (Chuquet, 2000), ce qui suggèrerait peut-être une perfectivisation de la forme puisque l’IMP serait perçu équivalent à des formes perfectives ? D’autres équivalences sont-elles proposées ? Compte tenu de la fréquence présumée de l’IMP en contexte narratif dans les romans policiers de Simenon, notre corpus bilingue comprendra deux Maigret: L’Affaire Saint-Fiacre (SF) et Le chien jaune (CJ). Pour tester si cet emploi est restreint au genre policier, nous prendrons en compte deux autres romans du même auteur racontant une histoire d’adultère : Le train (LT) et La chambre bleue (CB).

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Our study discusses the ability of the présent historique, a tense « plus abstrait et donc plus difficile à comprendre » [more abstract and therefore more difficult to understand] (Béguin 1998, p. 36), to replace the passé simple (PS) in historical narration. It is based on a diachronic corpus of extracts taken from history books on the French Revolution, ranging from the beginning of the 19th century to the end of the 20th century. Firstly, we justify the primacy of the passé simple for historical narrative, while considering the wider areas of tense and aspect. After a description of the corpus and a summary of the hypotheses under study, we present our quantitative results with the aim of assessing the use of the présent historique in the corpus in comparison with other tenses. Finally, we study our corpus from a qualitative perspective and we try to conclude upon our initial hypotheses. © Revue Romane.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Inspired by the idea of safe citizenship this article queries the possibilities of safety in an age of securitization. It challenges the cosmopolitan worldview and its iteration of a global cosmopolitan citizen. It champions an account of affective citizenship, narration and attends to the trauma of exile. It offers an account of exile before suggesting an institutional design premised on politicization. This design, it is argued, facilitates moments of storytelling fostering individual empowerment. This unorthodox rendering of agency allows the traumatized exile to negotiate the world as it is, not as it could be, as a potential ‘safe’ citizen.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Nous souhaitons nous pencher ici sur un emploi particulier de la périphrase en aller + infinitif qui n’a fait l’objet – à notre connaissance – que d’un article (Lansari 2010). Cet emploi « modalisant » que Lansari limite à la formule 'on va dire' mériterait d’être approfondi pour plusieurs raisons. D’une part, l’emploi n’est décrit que sur base de « vingt exemples tirés d’internet, de blogs ou de forums » (Lansari 2010: 120) alors que, de l’aveu de Lansari elle-même, l’emploi relève de l’oral. Il serait donc utile d’enrichir – quantitativement et qualitativement - le corpus et d’y intégrer des occurrences d’oral authentique. D’autre part, Lansari restreint l’emploi modalisant à la séquence 'on va dire' ; on pourrait s’interroger sur la capacité de séquences comme 'je vais dire' à remplir les mêmes fonctions discursives. Dans cet article, nous commencerons par un – forcément bref – état de la question. Après avoir présenté le corpus, nous testerons les hypothèses précédemment défendues à la lueur du corpus rassemblé: (a) Le corpus CFPP2000 issu du projet Discours sur la ville. Corpus de Français Parlé Parisien des années 2000 (disponible en ligne à http://cfpp2000.univ-paris3.fr/Corpus.html). CFPP2000 donne la parole à 41 informateurs en 28 interviews (2198 min) et a généré 96 occurrences de on va dire modalisant. (b) Le corpus CLAPI comprenant 45 heures d’interactions interrogeables en ligne à http://clapi.univ-lyon2.fr/analyse_requete_aide.php?menu=outils. On y a relevé 12 exemples de on va dire modalisant. (c) Un corpus personnel d’interviews (163min) réalisées pendant l’année académique 2009-10 auprès de cinq étudiants Erasmus français grâce au soutien d’une bourse de la Délégation Générale à la Langue Française et aux Langues de France (DGLFLF). Les entretiens avec une assistante de recherche, basés sur les thèmes suivants, étaient supposés générer l’emploi d’une variété de temps verbaux : - Récits de rêve (imparfait) - Récits biographiques (personnage historique vs autobiographie) (PC vs PS) - Narration de film vs d’épisode historique (PC/ PRES vs PS) - Présentation de projets d’avenir vs conjectures (Futur périphrastique ou simple) Le corpus contient dix-sept occurrences de on va dire générés par deux des cinq informateurs : 15 par A. et 2 par J. Notre réflexion se basera donc sur 125 occurrences orales de 'on va dire'.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

In Old and Middle French (12th-16th centuries), va ["goes"] + inf was used in narrations in the past. A similar usage seems to have reappeared and be spreading today. However, the old construction combined with past Tenses whereas the new one is found only with forms anchored in present and future. We argue that the conTemporary construction derives not from the old one, but from a metanarrative construction. On the basis of its future in Terpretation, va + inf aids the organization of the narration, announcing subsequent events through a hypernymic process. The periphrasis thus approaches a narrative value by projecting the time of events onto that of narration. With the disappearance of all deictic markers, the go-periphrases are no longer hypernyms: they appear on the same temporal line of events as the neighboring situations and are understood as fully completed. © John Benjamins Publishing Company.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

This article is linked to my major study on the Poetik des Extremen by classifying the monstrous works of Marianne Fritz among a genealogy of extremist writing in German-speaking literature. Her literary project Festung, which represents in all likelihood the most extensive ‘novel’ in Western literary history, is first analysed by looking at the exponential growth of its components from a paperback of 108 pages to the not yet completed novel Naturgemäß, which will most probably comprise 15 volumes, mostly of A4 size and a length that should be equivalent to over 20,000 standard pages. In parallel to the quantitative explosion of form, the article also explores the transgression of traditional narration and Fritz’s typographical innovations of text presentation. Using reproductions of the late facsimile volumes, an exemplary ‘close reading’ of one page from Naturgemäß II is undertaken to demonstrate the enormous density of Festung. Finally, the article seeks to differentiate Fritz’s opus magnum from other out-sized works of literature by focussing on the specific interconnection between the quantitative and stylistic explosion of the form of the novel, which makes it incomparable to the major works of writers such as Robert Musil or Arno Schmidt.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis plus d’un siècle, les linguistes débattent de la disparition du passé simple. Le PS est un paradigme moribond pour les uns, une forme d’emploi toujours restreint ou encore en voie de spécialisation pour d’autres. La discussion sur le devenir du PS ne prend cependant son sens que sous un éclairage diachronique. Le présent article examine donc les emplois du PS au travers de l’histoire de la langue française. Si le PS a perdu une fonction depuis l’ancien français et est sorti de l’oral spontané, il n’en jouit pas moins d’une place privilégiée dans certains contextes (narration) et cotextes (3èmes personnes). Le tiroir semble même avoir récemment investi de nouvelles formes d’expression, comme le storytelling en mercatique. L'étude conclut en suggérant des pistes de recherche pour évaluer la position réelle du PS en français contemporain.