2 resultados para Subordinação Adverbial

em Aston University Research Archive


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Les interrogatives partielles peuvent être marquées par un mot en QU en position initiale de la phrase. Cette position est analysée dans différents cadres génératifs comme mettant en jeu le mouvement du mot QU depuis une position intraprédicative. Ce mouvement serait démontré par le fait qu’il peut être interrompu par différents opérateurs, dont la négation. Cette interruption distinguerait le mouvement des arguments et des non-arguments: les QU sous-catégorisés pourraient passer par-dessus la négation parce que leur prédicat licencie leur trace. Cela prédit que comment, combien, où, pourquoi et quand ne peuvent pas introduire de questions négatives (?* Comment ne lui a-t-il pas parlé?), ce que pourraient qui, que, quoi (À qui n’a-t-il pas parlé?). C’est cette prédiction que teste ce travail qui considère le mot QU comment avec des propositions interrogatives niées. Il se fonde sur le recensement des attestations dans Frantext pour le 20ème siècle, parmi lesquelles prédominent les questions rhétoriques (Comment ne pas perdre la tête?). L’identification de ces dernières face aux interrogations réelles demande des critères que formule ce travail. La raison pour laquelle les questions rhétoriques rendent possible les séquences considérées est envisagée, et sont considérées une hypothèse syntaxique sur un prédicat sous-jacent et une hypothèse interprétative sur le rôle des présuppositions. L’intervention des présuppositions reflète la définition même de la question rhétorique, et suggère que la putative impossibilité des questions négatives avec un QU adverbial tiendrait à des facteurs d’informativité.

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This article attempts to repair the neglect of the qualitative uses of some and to suggest an explanation which could cover the full range of usage with this determiner - both quantitative and qualitative - showing how a single underlying meaning, modulated by contextual and pragmatic factors, can give rise to the wide variety of messages expressed by some in actual usage. Both the treatment of some as an existential quantifier and the scalar model which views some as evoking a less-than-expected quantity on a pragmatic scale are shown to be incapable of handling the qualitative uses of this determiner. An original analysis of some and the interaction of its meaning with the defining features of the qualitative uses is proposed, extending the discussion as well to the role of focus and the adverbial modifier quite. The crucial semantic feature of some for the explanation of its capacity to express qualitative readings is argued to be non-identification of a referent assumed to be particular. Under the appropriate conditions, this notion can give rise to qualitative denigration (implying it is not even worth the bother to identify the referent) or qualitative appreciation (implying the referent to be so outstanding that it defies identification). The explanation put forward is also shown to cover some's use as an approximator, thereby enhancing its plausibility even further. © Cambridge University Press 2012.