4 resultados para Football -- Équipes nationales -- France
em Aston University Research Archive
Resumo:
Cet article repose sur une étude de la presse de lEstablishment en France, en Allemagne et au Royaume-Uni, au cours de la guerre des Balkans en 1999. Les sources sont la Frankfurter Allgemeine Zeitung, Le Monde et le Financial Times. Lobjectif est de voir en quoi la manière de rapporter les événements révèle des priorités politiques des diverses élites qui lisent ces journaux, ainsi que de leur perception de lordre international. Le résultat des travaux indique lexistence dun certain degré de synchronisation dans la façon dont la presse a concentré lattention de lopinion publique ; il indique aussi quil existe des différences sensibles entre ces journaux français, allemand et britannique, en termes de contenu et de perspectives. Malgré lexistence dun discours transnational, la sphère publique européenne demeure fragmentée. This article is based on a study of the press in France, Germany and the United Kingdom, during the Balkans war in 1999. The sources are the Frankfurter Allgemeine Zeitung, Le Monde and the Financial Times. The objectve is to see how report events reveal the priorities of the various political elites who read these newspapers, as well as their perception of international lordre. The outcome of the study indicates some degree of synchronization in the way the press has focused mindfulness of public opinion and that it also indicates there are significant differences between the French newspapers, German and British, in terms of content and perspectives. Despite the existence of a transnational speech, the European public sphere remains fragmented.
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Berceau du football en Afrique, l’Afrique du Sud a largement contribué à son internationalisation. L’article décrypte la formalisation et la structuration du football sud-africain autour de réseaux politiques et industriels de l’empire victorien. À la fin du XIXe siècle, cinq ans avant même la création officielle de la FIFA, les équipes africaines sont les toutes premières à traverser les mers pour jouer en Europe et en Amérique du Sud. Ces tournées constituent les prémices du football planétaire. As the birthplace of African football, South Africa has greatly helped to give it an international dimension. This paper interprets the way in which South African football was formalised and structured around the political and industrial networks of the Victorian Empire. At the end of the 19th century, five years even before the FIFA was officially created, African teams were the first to go overseas to play in Europe and South America. These tours were the first steps towards the sport’s global dimension.
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In September 1899 an association football team from Bloemfontein in the Orange Free State, South Africa, arrived in the United Kingdom. The team comprised 16 black South Africans who played under the auspices of the whites-only Orange Free State Football Association and was the first ever South African football team to tour abroad. In a four-month tour the team played 49 matches against opposition in England, France, Ireland, Scotland and Wales. A small but growing body of work focuses on black sport and football in particular and the 1899 tour is referred to in passing in a few publications, although none have attempted to uncover details of the team or the matches that were played in Europe. This article attempts to do this by drawing on a range of sources in South Africa and the United Kingdom and argues the case for the significance of this team for football history in general and South African sports history in particular.
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La France est présente dans le Pacifique Sud depuis le milieu du XIXème siècle, mais ce n’est qu’à partir des années 1970 que ses relations avec les États de la région ont connu de grands bouleversements. Le territoire ainsi que la stratégie nucléaire, facteurs de puissance pour la France, sont devenus les fondements de la contestation régionale, exprimée par l’opposition au développement des activités nucléaires en Polynésie française et par le soutien au mouvement indépendantiste kanak en Nouvelle-Calédonie. Cependant au-delà d’une apparente cohésion, cette contestation a révélé des enjeux régionaux divers voire diviseurs notamment parmi les jeunes États mélanésiens. Un rapprochement s’est pourtant opéré à partir de 1989 entre les États du Pacifique Sud et la France. Celle-ci a développé deux types d’actions, les unes relevant de politiques essentiellement nationales ou territoriales, les autres de politique extérieure, et toutes généralement conduites ou initiées par de fortes personnalités politiques. Les États du Pacifique Sud ont accueilli ces initiatives de façon d’autant plus positive que certains se sont retrouvés confrontés aux aléas de leur relativement récente indépendance. La présence française semble désormais devenue un atout pour le Pacifique Sud.