5 resultados para Espagnol (Langue)--oyelles

em Aston University Research Archive


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Quels sont les rapports entre une culture et une langue? Les Francophones de France et du Québec partagent-ils la même culture? On peut répondre à ces questions en étudiant les discours sur l'autre. L'analyse des discours publics sur la langue de l'autre permet de démontrer des divergences entre les deux groupes. Elles comprennent la valeur relative accordée à chaque variété, l'importance qu'y prend la formalité et la façon qu'on y a de conduire la conversation. Ces différences sont solidaires des stéréotypes sur l'arrogance des uns et la simplicité des autres.

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Given the diversity of uses of the French imparfait, there is no unanimity about the nature – or even the existence – of a semantic invariant that may characterize it. The present article aims on the one hand at recapitulating the attempted temporal, aspectual and discursive descriptions of the imparfait found in contemporary research. A personal description of that tense based on the concepts of time, aspect and Aktionsart is then proposed ; it is thought such description may account for that tense multiplicity of uses. On the other hand, because of the necessity of a dialogue between theoretical and applied linguistics, this article will also consider the potential contribution of the suggested invariant to the teaching of French as a foreign language.

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De nombreuses langues du monde grammaticalisent les formes lexicales itive (aller) et ventive (venir) en auxiliaires temporels. Si ce fait a été abondamment décrit dans des langues particulières, on ne dispose pas d’une étude contrastive des deux tours, ce que nous proposons d’entreprendre dans la présente communication, sur quelques langues, A partir des premiers constats suivants : - la forme itive est plus fréquemment grammaticalisée que la forme ventive : en anglais p. ex. seul go est grammaticalisé ; - si le plus souvent l’itif s’est grammaticalisé dans l’expression de l’imminence-ultériorité (le train va partir) et le ventif dans celle de la récence (le train vient de partir), ce n’est pas toujours le cas : en catalan, anar + inf. est un prétérit (el tren va marchar : ‘le train est parti’), et actualise donc le procès non comme ultérieur mais comme antérieur ; - certaines langues, comme le français, ont développé sur ces auxiliaires, outre les effets de sens temporel d’imminence-ultériorité pour l’itif et de récence pour le ventif, un effet de sens d’extraordinaire, qui peut être signifié aussi bien par l’un que par l’autre tour (il va pas / vient pas me dire) - l’imminence-ultériorité sur l’itif et la récence sur le ventif souffrent des restrictions temporelles, plus accusées pour le premier : en francais p. ex., aller, dans cet effet de sens, se conjugue aux seuls présent et imparfait (le train va / allait / * irait / *est allé partir) ; venir admet en plus le futur et le conditionnel (le train vient/ venait/viendra/ viendrait/ *est venu de partir). On se propose (i) d’expliciter les différents éléments de l’asymétrie dans la grammaticalisation des deux formes itive et ventive dans les langues retenues (anglais, catalan, espagnol, français, italien, portugais), et (ii) de formuler une hypothèse explicative de ces faits hétérogènes.

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Cet article explicite les différentes structures syntaxiques périphrastiques construites sur aller et sur venir. A partir de celles-ci sera exposée – de façon contrastive– la pluralité des effets de sens repérables en discours, plus précisément ceux déjà suffisamment stabilisés pour accéder à leur conscientisation, à leur (éventuelle) mention dans les grammaires, et à leur description par les linguistes. Lorsque c’est possible, les tours périphrastiques seront suivis d’une équivalence par un autre temps verbal, qui permet, parfois mais pas toujours, de bien distinguer lesdits effets de sens. Dans un second temps, on proposera pour chacune des deux formes une explicitation de sa valeur en langue, qui soit à même de rendre compte du pluriel des effets de sens produits en discours. Chacun des tours répertoriés mérite évidemment un développement bien plus conséquent que ce que nous lui accordons dans les cadres de cet article. On ne traitera pas ici notamment des restrictions sur l’aspect et les temps verbaux, l’agentivité du sujet, le type de procès qui suit l’auxiliaire, la négation. L’analyse sera conduite sur le français, avec quelques aperçus sur les autres langues romanes.