2 resultados para sondages
em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça
Resumo:
Fritschi, Meyer und Schweizer haben vor drei Jahrzehnten in der Schweizerischen Zeitschrift für Soziologie ein elegantes Stichprobenverfahren für ein gesamtschweizerisches Sample vorgeschlagen, bei dem die Befragungspersonen mit Hilfe kommunaler Wahl- oder Einwohnerregister bestimmt werden. Ungeachtet der Vorzüge dieser Methode beruhen heute die meisten Bevölkerungsumfragen in der Schweiz aber auf Telefonregisterstichproben, die bezüglich der Abdeckung der Grundgesamtheit als problematisch anzusehen sind. Sozusagen als Wiederbelebungsversuch möchte ich deshalb hier einige Überlegungen zum Stichprobenplan von Fritschi et al. präsentieren. Die theoretischen Eigenschaften des Stichprobenplans werden besprochen und ein vereinfachtes Verfahren, die ex ante geteilte Stichprobe, wird vorgeschlagen. Mit Hilfe einer Simulationsstudie werden sodann die Vorzüge des "Berner Stichprobenplans" gegenüber einer einfachen Klumpenstichprobe illustriert.
Resumo:
Afin d'étudier l'histoire de la végétation de l'Alpe d'Essertse, des sondages ont été effectués dans le Gouillé Rion, un étang situé à 2343 m d'altitude. Les grains de pollen contenus dans le sédiment lacustre ont été analysés palynologiquement. Le diagramme pollinique montre qu'après le retrait des glaciers vers 13000 BP (Before Present), l'Alpe d'Essertse fut colonisée par une végétation alpine et une végétation d'éboulis. Entre 9500 et 3600 BP le mélèze (Larix decidua) et l'arole (Pinus cembra) formaient une forêt qui atteignait au moins 2343 m. A partir de 5000 BP la forêt s'ouvrit et la limite de la forêt commença à s'abaisser. Des buissons d'aune vert (Alnus viridis) remplacèrent peut à peu la forêt. Entre 1700 et 900 BP seulement, cette végétation apparentée aux forêts fit place aux prés et pâturages. Seul l'utilisation d'autres méthodes permet d'estimer la limite d'altitude maximale atteinte par la forêt au cours de l'holocène: pour l'Alpe d'Essertse des charbons trouvés dans le sol, ainsi que des bioséquences pédologiques suggèrent une limite de la forêt maximale entre 2400 et 2450 m d'altitude.