20 resultados para marchandisation de la culture

em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça


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Jonathan Z. Smith est l’un des plus remarquables historiens des religions de l’ère contemporaine. En pratiquant un comparatisme inattendu entre des religions très différentes dans le temps et l’espace, cet Américain original a suscité de nouvelles manières de comprendre les mythes et les rites. A ses yeux, la religion sert à décrire des relations que des hommes entretiennent avec des acteurs surhumains dont la culture postule l’existence. En ce sens, il n’existe pas de religion pure et originelle, mais des sociétés qui reprennent à leurs comptes des représentations de mythes qui elles-mêmes en relisent de plus anciennes. Avec cet ouvrage qui reprend six articles majeurs écrits entre 1974 et 2004, le public français a enfin accès direct à Jonathan Z. Smith sur des points décisifs de sa pensée. Un entretien biographique passionnant les ponctue, dans lequel l’auteur évoque notamment le passé et l’avenir de sa discipline.

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Kurztext Gegenwärtig leben über 732 000 Schweizer Bürgerinnen und Bürger im Ausland, mehr als jede zehnte Person mit Schweizer Pass. Die Beiträge gehen den Fragen nach, inwiefern die erst seit dem 20. Jahrhundert so bezeichneten «Auslandschweizer» als wirtschaftliche «Brückenköpfe» dienten, inwiefern ihre kommunikativen Netzwerke kulturelle Transfers bewirkten und Formen des Wissensaustausches begünstigten oder welchen Beitrag umgekehrt die (ehemaligen) Auslandschweizerinnen und Auslandschweizer zu Wirtschaft, Wissenschaft, Sozialpolitik und Kultur in der Schweiz leisteten. Sie befassen sich aber auch mit der historischen Konstruktion der Bevölkerung als einer neuen politischen Kategorie. Nicht nur für die Neuzeit ist zu fragen, mit welchen Politiken und Massnahmen Obrigkeit, Behörden, Staat und Verwaltung die eigene Population konstituierten und festigten und sie je nachdem über die bestehenden (nationalstaatlichen) Grenzen hinweg ausdehnten. Plus de 732 000 citoyennes et citoyens suisses vivent actuellement à l’étranger, soit plus d’une personne sur dix titulaires du passeport helvétique. Les contributions rassemblées interrogent dans quelle mesure les «Suisses de l’étranger» – désignés ainsi à partir du 20e siècle seulement – ont servi de relais pour le commerce extérieur, ainsi que dans quelle mesure leurs réseaux de communication ont contribué aux transferts culturels et favorisé des formes d’échange du savoir ou, à l’inverse, quels sont les apports des (anciens) Suisses de l’étranger dans les domaines de l’économie, de la science, de la politique sociale et de la culture lors de leur retour en Suisse. Les contributions portent également sur la construction historique de la population en tant que nouvelle catégorie politique. La question de savoir à travers quelles politiques et mesures l’autorité, les pouvoirs publics, l’Etat et l’administration ont constitué et consolidé leur propre population et, suivant les cas, l’ont étendu au-dedes frontières (nationales) existantes concerne autant l’époque contemporaine que les périodes antérieures.

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Cet article vise à présenter les principales pistes d’analyse éthique qui ont été proposées en matière d’euthanasie dans la tradition bouddhiste. Les nombreuses branches et cultures issues et influencées par le bouddhisme engendrent une importante hétérogénéité de vues face à de telles questions. Une interprétation prudente de leurs valeurs et enseignements fondamentaux permet, cependant, de discuter la vraisemblance des théories exprimées par la poignée d’auteurs s’étant penchés sur la question. Certains discutent de l’action homicide du professionnel de la santé, se demandant, en particulier, si l’incontesté principe du respect de la vie ne pourrait être relativisé par une compassion à l’égard du patient à l’agonie. D’autres raisonnent dans une perspective de refus de traitement de la part d’un malade, situant donc exclusivement l’enjeu du côté du patient. L’article conclut que l’euthanasie ne serait pas acceptée par le bouddhisme, la question de la cessation des soins ou du refus de traitement étant plus difficile à trancher. Notre revue de littérature n’a pas identifié d’écrits provenant des principaux pays concernés par les mouvements bouddhistes. Il est ainsi difficile d’apprécier la place réelle de l’euthanasie dans le questionnement des théoriciens et professionnels de la santé dont la culture est empreinte de cette tradition.