4 resultados para Température de surface du sol

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Le relief accidenté, le climat agressif favorisé par l’Alizé, ainsi que l’étroite dépendance de la population de l’exploitation forestière et de l’exploitation agricole sans dispositifs de protection antiérosifs, sont les contextes qui permettent de dire que la région de Mandraka est sujette au problème d’érosion. L’étude a pour objectif de déterminer les relations entre les caractéristiques du sol, son mode d’occupation, les précipitations ainsi que l’érosion dans la région de Mandraka et ce en vue d’un aménagement rationnel. Des dispositifs pour la mesure de pertes en terre et de ruissellement ont été matérialisés sur des parcelles d’expérimentation. A cet effet, le choix de ces parcelles a porté sur le mode d’occupation du sol (sous terrains aménagés, sous « tavy », sous « savoka », et sous forêt naturelle), sur la similitude des pentes et sur leur localisation de manière à ce qu’elles soient situées sur les mi-versants. Les résultats ont montré que le sol dans cette région contient un taux de matière organique satisfaisant à élevé (2,41 à 3,74% de MO), lui permettant une bonne stabilité structurale (Is = 0,85 et K = 0,08). Les pertes en terre (0,13 à 20,93t/ha/an) et les ruissellements (0,3 à 5%) obtenus indiquent que l’érosion est faible à accélérée suivant le mode d’occupation du sol. En deux ans d’aménagement, les terrasses se sont stabilisées et les racines de Vetiveria zizanoides peuvent remplacer les fascines initialement installées pour tenir les talus. Toutefois, l’exposition du sol à la battance de la pluie et la mauvaise infiltration d’eau de ruissellement dans le sol accélèrent le phénomène d’érosion. Par ailleurs, il y a l’efficacité de la SCV sans brûlis bien qu’il s’agit de la première année d’expérience. Dans ces conditions, un plan d’aménagement simplifié a été proposé en vue (i) de protéger le sol contre la battance de la pluie, (ii) deduire les transports solides par l’érosion et (iii) d’améliorer l’infiltration d’eau du sol.

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Die Bodenerosions-Gefährdungskarte gibt einen nationalen Überblick über das Abtragsrisiko der Schweizer Böden und vor allem für die Ackerböden. Mit Hilfe einer angepassten Version des empirischen Erosionsmodells «Universal Soil Loss Equation» (USLE) wurde die langfristige Bodenerosionsgefährdung flächendeckend im Hektarraster berechnet. Die Bodenerosions-Gefährdungskarte soll den Kantonen als Grundlage dienen, detaillierte Karten zu erstellen oder besonders gefährdete Gebiete vertieft zu untersuchen. Unter der Annahme, dass alle Ackerflächen mit dem Pflug bearbeitet und keine Zwischenfrüchte angebaut werden, weisen bei heutiger Fruchtfolgegestaltung 61 % aller Ackerflächen einen langjährigen mittleren Bodenabtrag von unter zwei Tonnen pro Hektare und Jahr auf und sind damit als wenig erosionsgefährdet einzustufen. 22 % liegen im kritischen Bereich zwischen zwei und vier Tonnen pro Hektare und Jahr, 17 % sind mit mehr als vier Tonnen pro Hektare und Jahr als stark erosionsgefährdet zu bezeichnen. Die räumliche Verteilung der Abtragswerte zeigt ein sehr heterogenes Muster innerhalb der Hauptackerbau-Regionen ohne räumlich konzentrierte Schwerpunktregionen. In einer Szenario-Berechnung, bei der die Bodenbearbeitung mit dem Pflug durch Direktsaat sowie Winterbrache durch Zwischenkulturanbau flächendeckend ersetzt werden, reduziert sich das Bodenerosionsrisiko im Durchschnitt um rund zwei Drittel.