6 resultados para Société de la connaissance

em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Die europäischen Alpen sind in den Hochlagen trotz einem immensen Rückgang in den letzten Jahrzehnten immer noch stark vergletschert. Früher dachte man, dass die alpine Zone über rund 2000 m über Meer vom prähistorischen Menschen nicht begangen wurde. 1991 zeigte die Entdeckung des Mannes aus dem Eis beim Tisenjoch („Ötzi“) in über 3000 m Höhe, dass schon im Neolithikum Vorstösse bis in die vergletscherten Gebiete der Alpen stattgefunden haben. Die ältesten Spuren am Schnidejoch, einem Pass in den Berner Alpen der Schweiz, reichen bis in die Zeit zwischen 4800 und 4500 v.Chr. zurück. Der Pass wurde auch in der Frühen Bronzezeit benutzt, wie zahlreiche Objekte aus der Zeit zwischen etwa 2200 und 1600 v.Chr. belegen. Frühbronzezeitliche Funde liegen auch vom Lötschenpass, einem zweiten Passübergang in den Berner Alpen vor. Nördlich dieser Übergänge befinden sich die bekannten frühbronzezeitlichen Gräber des Berner Oberlandes (Region des unteren Thunersees), südlich davon stammen zahlreiche frühbronzezeitliche Funde aus Gräbern und Nekropolen im Rhonetal. Dank der Erhaltung von organischem Material bieten die Eisfundstellen wertvolle Einblicke zur Frequentierung der Hochalpen. Neben Bohlenwegen, Strassen und Brücken bilden Pässe wichtige Elemente des prähistorischen terrestrischen Transportsystems.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

L’estimation du stock de carbone contenu dans les forêts peut être effectuée de plusieurs manières. Les méthodes les plus connues sont destructives et nécessitent l’abattage d’un grand nombre représentatif d’arbres. Cette représentativité est difficilement atteinte dans les forêts tropicales, présentant une diversité d’espèces exceptionnelles, comme à Madagascar. Afin d’évaluer le niveau de dégradation des forêts, une étude d'images par télédétection est effectuée au moyen de l’analyse du signal radiométrique, combinée à un inventaire non destructif de biomasse. L’étude de la dynamique du paysage proposé est alors basée sur une correction atmosphérique d’une image SPOT 5, de l’année 2009, et sur une classification semi supervisée de l’occupation des sols, combinant une classification préliminaire non supervisée, un échantillonnage aléatoire des classes et une classification supervisée avec un maximum de vraisemblance. La validation est effectuée à l’aide de points indépendants relevés lors des inventaires de biomasse avec des valeurs du stock de carbone bien précises. La classification non supervisée a permis de ressortir deux classes de forêt dénommées « peu dégradée » et « dégradée ». La première désigne l’état climax (le stock de carbone a atteint une valeur qui varie peu) alors que la seconde est caractérisée par un taux de carbone plus faible que le niveau climax, mais qui peut être atteint sans perturbation. Cette première classification permet alors de répartir les placettes d’inventaire dans chaque classe. La méthode d’inventaire recueille à la fois des données dendrométriques classiques (espèce, densité, hauteur totale, hauteur fût, diamètre) et des échantillons représentatifs de branches et de feuilles sur un arbre. Ces différents paramètres avec la densité de bois permettent d’établir une équation allométrique de laquelle est estimée la biomasse totale d’un arbre et conséquemment de la formation forestière. Par la suite, la classification supervisée a été effectuée à partir d’échantillons aléatoires donnant la valeur de séparabilité des classes, de la classification finale. De plus, les valeurs de stocks de carbone à l’hectare, estimées de chaque placette, ont permis de valider cette classification et d’avoir une évaluation de la précision. La connaissance de ce niveau de dégradation issue de données satellitaires à haute résolution spatiale, combinées à des données d’inventaire, ouvre le champ du suivi interannuel du stock de carbone et subséquemment de la modélisation de la situation future du stock de carbone dans différents types de forêts.