2 resultados para Second Quinquennial Plan
em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça
Resumo:
BACKGROUND Critical incidents in clinical medicine can have far-reaching consequences on patient health. In cases of severe medical errors they can seriously harm the patient or even lead to death. The involvement in such an event can result in a stress reaction, a so-called acute posttraumatic stress disorder in the healthcare provider, the so-called second victim of an adverse event. Psychological distress may not only have a long lasting impact on quality of life of the physician or caregiver involved but it may also affect the ability to provide safe patient care in the aftermath of adverse events. METHODS A literature review was performed to obtain information on care giver responses to medical errors and to determine possible supportive strategies to mitigate negative consequences of an adverse event on the second victim. An internet search and a search in Medline/Pubmed for scientific studies were conducted using the key words "second victim, "medical error", "critical incident stress management" (CISM) and "critical incident stress reporting system" (CIRS). Sources from academic medical societies and public institutions which offer crisis management programs where analyzed. The data were sorted by main categories and relevance for hospitals. Analysis was carried out using descriptive measures. RESULTS In disaster medicine and aviation navigation services the implementation of a CISM program is an efficient intervention to help staff to recover after a traumatic event and to return to normal functioning and behavior. Several other concepts for a clinical crisis management plan were identified. CONCLUSIONS The integration of CISM and CISM-related programs in a clinical setting may provide efficient support in an acute crisis and may help the caregiver to deal effectively with future error events and employee safety.
Resumo:
La forêt primaire de la région de Mandraka a été classée par le gouvernement en station forestière pour être conservée et restaurée. Suite à cette décision, tous prélèvements y sont interdits. Pourtant, aucune étude n’a évalué sa viabilité depuis cette restriction. Ce mémoire a ainsi comme objectif l’estimation de cette viabilité par le suivi permanent de l’état actuel de la forêt comprenant la végétation, la biodiversité et les pressions. La collecte de données y afférentes a eu recours à une étude bibliographique, à des enquêtes socio-économiques, à un inventaire des pressions, à un inventaire forestier et à une distance sampling. L’état a été évalué par l’analyse de ces composants. Cette recherche a fait ressortir que la forêt est soumise à des pressions anthropiques et biologiques : coupes illicites, collecte de Dioscorea sp., feux de forêt, envahissement des lianes. Ces pressions ont réduit la superficie de la forêt, modifié sa structure et celle de la faune : les régénérations naturelles sont abondantes, les arbres émergents et de diamètre supérieur à 40 cm sont rares, certaines essences floristiques et les lémuriens risquent de disparaître. Puis, les lianes remplacent successivement la forêt. Malgré ces pressions, la forêt a pu conserver certaines caractéristiques de son état originel : l’abondance élevée des tiges et la réduction de leur taille sur les crêtes, l’allure exponentielle de la structure totale, la présence des genres Tambourissa et Weinmannia. En outre, la forêt est encore riche en avifaune. Après analyse de viabilité, elle est classée comme un écosystème viable. Mais ces potentialités sont insuffisantes : il faut réduire les pressions et reconstituer la forêt pour une meilleure conservation de l’écosystème. A cet effet, la présente étude suggère l’aménagement, en premier lieu de la forêt par des interventions sylvicoles favorisant les régénérations comme l’enrichissement en placeaux, le délianage et en second lieu, celui de ses environs par des vulgarisations d’activités génératrices de revenu autres que l’exploitation des forêts naturelles telles l’agroforesterie, le reboisement, l’apiculture. Des patrouilles fréquentes et une délimitation de la station forestière s’avèrent aussi nécessaires.