4 resultados para Phénomènes de cirque
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Abstract Our study in the Başyayla Valley in northeastern Anatolia showed evidence of four glacier advances that built terminal and lateral moraines. Surface exposure dating of boulders on these moraines showed that the Maximum Ice Extent (MIE) was asynchronous with the global Last Glacial Maximum (LGM; 22.1 ± 4.3 thousand years; ka). The local {MIE} took place at least 57.0 ± 3.5 ka ago. The extent of the Başyayla Glacier during this advance is not known exactly because the boulders are only preserved on a lateral moraine. The next advance was prior to 41.5 ± 2.5 ka, and it descended down the valley to approximately 2320 m above sea level (m a.s.l.), with a glacier length of 5.3 km. During the early global LGM, the Başyayla Glacier extended for a distance of 4.9 km down to approx. 2430 m a.s.l. The last recorded advance occurred during the global LGM. This extension was 0.7 km smaller than the local {MIE} and its terminus reached 2490 m a.s.l. only. The exposure ages of boulders in a retreat position at an altitude of approx. 3045 m a.s.l. indicate that the valley has remained ice-free since the Lateglacial period. Therefore, the Lateglacial extent was limited to the cirque system in the uppermost part of the catchment. Furthermore, Holocene glacier oscillations seem to be either absent or restricted to solifluction in the whole catchment and to rock glacier movements in the southern tributary of the Başyayla Valley system.
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La réparation (« Wiedergutmachung ») comme raison d’être : les études sur l’exil (« Exilforschung ») dans l’aire germanophone La contribution se concentrera sur trois aspects des études sur l’exil (« Exilforschung ») germanophone, en donnant priorité à l’évolution en RFA. Les développements en Autriche et en Suisse pourront être abordés pendant la discussion, de même que, d’une manière moins exhaustive, ceux en RDA. 1. Genèse et professionnalisation du champ des études sur l’exil Elles naissent au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale suite à l’initiative d’écrivains exilés, qui commencent à réunir des textes littéraires écrits en exil que l’on a appelés à l’époque « Emigrantenliteratur ». Mais ce n’est que dans les années 1960 que les études sur l’exil (« Exilforschung ») se constituent comme un champ d’étude en soi. La Gesellschaft für Exilforschung est créée en 1984 sur le modèle de la North American Society for Exile Studies. Sur fond du lourd héritage des violences perpétrées par le régime nazi et de l’Holocauste, les études allemandes sur l’exil se consacrent, en premier lieu, à la commémoration des victimes du nazisme dans un désir de réparation (« Wiedergutmachung »). Cette volonté de réparation constituera pendant deux décennies un obstacle à une ouverture vers des champs voisins, tels que les études migratoires (migration studies), les études juives (Judaistik) ou encore les études sur le refuge (refugee studies). Une telle ouverture, qui prévoit aussi une expansion temporelle du concept de l’exil (réservé jusqu’ici implicitement aux temps du Nazisme), est le but de plusieurs chaires et initiatives de recherche créées dernièrement. 2. Approches et acquis Il s’agira de caractériser les approches et les acquis des études sur l’exil dans l’aire germanophone. Nous montrerons notamment comment la mission initiale de saisir l’exil des années 1933-45 dans sa totalité a fait place à des questions plus complexes, entre autre autour des concepts d’assimilation et d’acculturation. 3. Perspectives Quelles sont les perspectives des études sur l’exil dans l’aire germanophone ? Nous suggèrerons que l’Exilforschung a, par le biais de son expérience interdisciplinaire et de son approche transnationale, le statut d’un laboratoire permettant d’appréhender questionnements et approches aptes à saisir des phénomènes exiliques au sens large.
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Avec la mondialisation, les contacts dans la diversité culturelle se sont extraordinairement intensifiés. Mais les phénomènes interculturels ne sont pas toujours bien vécus, ni bien compris. Les éléments les plus apparents ne sont pas nécessairement les plus profonds. Il en résulte un débat public souvent confus. Ce livre tente de l’éclairer en présentant une vue d’ensemble des domaines de l’interculturalité, à travers un parcours interdisciplinaire. Ce faisant, il propose des instruments critiques pour élucider des processus complexes et fondamentaux du monde contemporain.
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Avec la mondialisation, les contacts dans la diversité culturelle se sont extraordinairement intensifiés. Mais les phénomènes interculturels ne sont pas toujours bien vécus, ni bien compris. Les éléments les plus apparents ne sont pas nécessairement les plus profonds. Il en résulte un débat public souvent confus. Ce livre tente de l'éclairer en présentant une vue d'ensemble des domaines de l'interculturalité, à travers un parcours interdisciplinaire. Ce faisant, il propose des instruments critiques pour élucider des processus complexes et fondamentaux du monde contemporain.