11 resultados para Pennsbury Village
em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça
Resumo:
Buruli ulcer (BU), a neglected tropical disease of the skin and subcutaneous tissue, is caused by Mycobacterium ulcerans and is the third most common mycobacterial disease after tuberculosis and leprosy. While there is a strong association of the occurrence of the disease with stagnant or slow flowing water bodies, the exact mode of transmission of BU is not clear. M. ulcerans has emerged from the environmental fish pathogen M. marinum by acquisition of a virulence plasmid encoding the enzymes required for the production of the cytotoxic macrolide toxin mycolactone, which is a key factor in the pathogenesis of BU. Comparative genomic studies have further shown extensive pseudogene formation and downsizing of the M. ulcerans genome, indicative for an adaptation to a more stable ecological niche. This has raised the question whether this pathogen is still present in water-associated environmental reservoirs. Here we show persistence of M. ulcerans specific DNA sequences over a period of more than two years at a water contact location of BU patients in an endemic village of Cameroon. At defined positions in a shallow water hole used by the villagers for washing and bathing, detritus remained consistently positive for M. ulcerans DNA. The observed mean real-time PCR Ct difference of 1.45 between the insertion sequences IS2606 and IS2404 indicated that lineage 3 M. ulcerans, which cause human disease, persisted in this environment after successful treatment of all local patients. Underwater decaying organic matter may therefore represent a reservoir of M. ulcerans for direct infection of skin lesions or vector-associated transmission.
Resumo:
Cet article aborde la transformation de régions de montagne en lieux de résidence remplaçant des secteurs économiques plus anciens (agriculture, industrie manufacturière, tourisme) dans les montagnes européennes. Il se place dans la perspective du développement régional et de son impact sur les ressources régionales fixes, le « capital territorial ». Cette nouvelle tendance affecte les montagnes européennes de deux manières, et participe à la formation de régions métropolitaines qui combinent centres métropolitains et environnements de loisirs fondés sur les attraits du paysage pour constituer de nouvelles entités intégrées. Au cours du processus, le paysage devient un bien de consommation nouveau et rare, qui joue un rôle dans l’accumulation du capital investi. L’article établit que les concepts d’esthétique du paysage et d’agréments ne suffisent pas à expliquer cette nouvelle dynamique, car ils méconnaissent les processus spatio-économiques ainsi que le rôle de la marchandisation du paysage pour les nouveaux résidents. Ces nouveaux résidents ont un profil plus « multilocal » que migrant. La multilocalité et l’usage sélectif des produits du paysage freinent le processus d’intégration, crucial pour entretenir et développer le capital territorial. On peut poser que la présence non permanente des nouveaux résidents risque d’affaiblir et non de renforcer les structures locales existantes. Il semble donc nécessaire de déployer des efforts particuliers auprès de chaque groupe de nouveaux résidents pour que de simples résidents à temps partiel deviennent des acteurs régionaux (au moins à temps partiel). De plus, le concept du développement régional centré sur les acteurs innovants doit être remis en question dans la mesure où l’aspect « consommation » domine le rapport du paysage.