4 resultados para NP EN 1992-1-1

em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça


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Gruppo mediatico di proprietà della fam. omonima, le cui origini risalgono alla tipografia fondata nel 1833 a Zofingen da Johann Rudolf (1803-1874). Nel 1898 Paul August Ringier, esponente della terza generazione, rilevò l'azienda, che ampliò fino a farne un'impresa tipografica industriale e una delle principali case editrici della Svizzera. Nel 1932 la Ringier fu trasformata in un gruppo, divenne una soc. anonima e fu fondata la holding. Fino al 1938 pubblicò nove riviste illustrate per fam., di intrattenimento e dedicate ai programmi radiofonici, con una tiratura complessiva di 680'000 copie; nel 1959 diede vita al Blick. Dal 1960 con Hans (1906-2003), figlio di Paul August, e dal 1985 con i suoi figli Christoph (nascita 1941; in azienda fino al 1991) e Michael (nascita 1949), l'impresa divenne il più grande gruppo mediatico della Svizzera. Dal 1980 si è espansa in Germania, Asia e negli Stati Uniti e dal 1992 nell'Europa orientale. Nel 2008 impiegava in tutto il mondo 8129 persone e la cifra d'affari ammontava a oltre 1,535 miliardi di frs. Bibliografia – P. Meier, T. Häussler, Zwischen Masse, Markt und Macht, 2009

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La réparation (« Wiedergutmachung ») comme raison d’être : les études sur l’exil (« Exilforschung ») dans l’aire germanophone La contribution se concentrera sur trois aspects des études sur l’exil (« Exilforschung ») germanophone, en donnant priorité à l’évolution en RFA. Les développements en Autriche et en Suisse pourront être abordés pendant la discussion, de même que, d’une manière moins exhaustive, ceux en RDA. 1. Genèse et professionnalisation du champ des études sur l’exil Elles naissent au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale suite à l’initiative d’écrivains exilés, qui commencent à réunir des textes littéraires écrits en exil que l’on a appelés à l’époque « Emigrantenliteratur ». Mais ce n’est que dans les années 1960 que les études sur l’exil (« Exilforschung ») se constituent comme un champ d’étude en soi. La Gesellschaft für Exilforschung est créée en 1984 sur le modèle de la North American Society for Exile Studies. Sur fond du lourd héritage des violences perpétrées par le régime nazi et de l’Holocauste, les études allemandes sur l’exil se consacrent, en premier lieu, à la commémoration des victimes du nazisme dans un désir de réparation (« Wiedergutmachung »). Cette volonté de réparation constituera pendant deux décennies un obstacle à une ouverture vers des champs voisins, tels que les études migratoires (migration studies), les études juives (Judaistik) ou encore les études sur le refuge (refugee studies). Une telle ouverture, qui prévoit aussi une expansion temporelle du concept de l’exil (réservé jusqu’ici implicitement aux temps du Nazisme), est le but de plusieurs chaires et initiatives de recherche créées dernièrement. 2. Approches et acquis Il s’agira de caractériser les approches et les acquis des études sur l’exil dans l’aire germanophone. Nous montrerons notamment comment la mission initiale de saisir l’exil des années 1933-45 dans sa totalité a fait place à des questions plus complexes, entre autre autour des concepts d’assimilation et d’acculturation. 3. Perspectives Quelles sont les perspectives des études sur l’exil dans l’aire germanophone ? Nous suggèrerons que l’Exilforschung a, par le biais de son expérience interdisciplinaire et de son approche transnationale, le statut d’un laboratoire permettant d’appréhender questionnements et approches aptes à saisir des phénomènes exiliques au sens large.