4 resultados para Émail primaire
em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça
Resumo:
Für Beherbergungsbetriebe ist E-Mail ein wichtiges Kommunikationsmedium im elektronischen Kanal geworden. Die Bedeutung von E-Mails für die Kundenkommunikation zieht die Forderung nach einem systematischen und professionellen E-Mail-Management nach sich. Derzeit tut sich die Mehrzahl der Betriebe schwer, den damit verbundenen hohen Anspruch einzulösen. Zwar werden grundlegende Anforderungen bezüglich des Antwortverhaltens mehrheitlich erfüllt, jedoch kann die Qualität der Antworten hinsichtlich Inhalt und Form in vielen Fällen nur bedingt überzeugen. Angesichts dieser Problemlage mag es überraschen, dass die Unterstützung durch Informationssysteme in diesem Zusammenhang bis jetzt keine besondere Rolle spielt. In vielen Fällen erfolgt das E-Mail-Management mithilfe des generellen E-Mail-Programms Outlook von Microsoft. Die häufig eingesetzten branchenspezifischen Property-Management-Systeme (PMS) decken die geforderten Funktionalitäten bestenfalls teilweise ab. Spezifische Informationssysteme zur Unterstützung des E-Mail-Managements - sogenannte E-Mail-Response-Management-Systeme (ERMS) - könnten bei der Entschärfung der manifesten Probleme sehr nützlich sein. Die systemtechnische Unterstützung durch ERMS wird von Praktikern jedoch mit einiger Skepsis bedacht und nur teilweise als praktisch umsetzbar und nützlich eingeschätzt.
Resumo:
The central aim of our project is to explore the handling of e-mail request from customers by tourist organisations and to explain the perceived behaviour. For this purpose, we designed a qualitative empirical study which consists basically of two stages. The first stage consists of a black-box test where we employ the setting of a qualitative experiment to measure the behaviour of the organisation to an e-mail request. The second stage comprises a with-box test where we want to look into the tourist organizations and analyse the relevant information processes. This study should give as some insight in the internal processing of e-mail requests and thus should help to explain the reactions that we registered.
Resumo:
La forêt primaire de la région de Mandraka a été classée par le gouvernement en station forestière pour être conservée et restaurée. Suite à cette décision, tous prélèvements y sont interdits. Pourtant, aucune étude n’a évalué sa viabilité depuis cette restriction. Ce mémoire a ainsi comme objectif l’estimation de cette viabilité par le suivi permanent de l’état actuel de la forêt comprenant la végétation, la biodiversité et les pressions. La collecte de données y afférentes a eu recours à une étude bibliographique, à des enquêtes socio-économiques, à un inventaire des pressions, à un inventaire forestier et à une distance sampling. L’état a été évalué par l’analyse de ces composants. Cette recherche a fait ressortir que la forêt est soumise à des pressions anthropiques et biologiques : coupes illicites, collecte de Dioscorea sp., feux de forêt, envahissement des lianes. Ces pressions ont réduit la superficie de la forêt, modifié sa structure et celle de la faune : les régénérations naturelles sont abondantes, les arbres émergents et de diamètre supérieur à 40 cm sont rares, certaines essences floristiques et les lémuriens risquent de disparaître. Puis, les lianes remplacent successivement la forêt. Malgré ces pressions, la forêt a pu conserver certaines caractéristiques de son état originel : l’abondance élevée des tiges et la réduction de leur taille sur les crêtes, l’allure exponentielle de la structure totale, la présence des genres Tambourissa et Weinmannia. En outre, la forêt est encore riche en avifaune. Après analyse de viabilité, elle est classée comme un écosystème viable. Mais ces potentialités sont insuffisantes : il faut réduire les pressions et reconstituer la forêt pour une meilleure conservation de l’écosystème. A cet effet, la présente étude suggère l’aménagement, en premier lieu de la forêt par des interventions sylvicoles favorisant les régénérations comme l’enrichissement en placeaux, le délianage et en second lieu, celui de ses environs par des vulgarisations d’activités génératrices de revenu autres que l’exploitation des forêts naturelles telles l’agroforesterie, le reboisement, l’apiculture. Des patrouilles fréquentes et une délimitation de la station forestière s’avèrent aussi nécessaires.