66 resultados para Wallis, Samuel, 1728-1795.
Resumo:
The value of electrocardiographic findings predicting adverse outcome in patients with arrhythmogenic right ventricular dysplasia (ARVD) is not well known. We hypothesized that ventricular depolarization and repolarization abnormalities on the 12-lead surface electrocardiogram (ECG) predict adverse outcome in patients with ARVD. ECGs of 111 patients screened for the 2010 ARVD Task Force Criteria from 3 Swiss tertiary care centers were digitized and analyzed with a digital caliper by 2 independent observers blinded to the outcome. ECGs were compared in 2 patient groups: (1) patients with major adverse cardiovascular events (MACE: a composite of cardiac death, heart transplantation, survived sudden cardiac death, ventricular fibrillation, sustained ventricular tachycardia, or arrhythmic syncope) and (2) all remaining patients. A total of 51 patients (46%) experienced MACE during a follow-up period with median of 4.6 years (interquartile range 1.8 to 10.0). Kaplan-Meier analysis revealed reduced times to MACE for patients with repolarization abnormalities according to Task Force Criteria (p = 0.009), a precordial QRS amplitude ratio (∑QRS mV V1 to V3/∑QRS mV V1 to V6) of ≤ 0.48 (p = 0.019), and QRS fragmentation (p = 0.045). In multivariable Cox regression, a precordial QRS amplitude ratio of ≤ 0.48 (hazard ratio [HR] 2.92, 95% confidence interval [CI] 1.39 to 6.15, p = 0.005), inferior leads T-wave inversions (HR 2.44, 95% CI 1.15 to 5.18, p = 0.020), and QRS fragmentation (HR 2.65, 95% CI 1.1 to 6.34, p = 0.029) remained as independent predictors of MACE. In conclusion, in this multicenter, observational, long-term study, electrocardiographic findings were useful for risk stratification in patients with ARVD, with repolarization criteria, inferior leads TWI, a precordial QRS amplitude ratio of ≤ 0.48, and QRS fragmentation constituting valuable variables to predict adverse outcome.
Resumo:
Afin d'étudier l'histoire de la végétation de l'Alpe d'Essertse, des sondages ont été effectués dans le Gouillé Rion, un étang situé à 2343 m d'altitude. Les grains de pollen contenus dans le sédiment lacustre ont été analysés palynologiquement. Le diagramme pollinique montre qu'après le retrait des glaciers vers 13000 BP (Before Present), l'Alpe d'Essertse fut colonisée par une végétation alpine et une végétation d'éboulis. Entre 9500 et 3600 BP le mélèze (Larix decidua) et l'arole (Pinus cembra) formaient une forêt qui atteignait au moins 2343 m. A partir de 5000 BP la forêt s'ouvrit et la limite de la forêt commença à s'abaisser. Des buissons d'aune vert (Alnus viridis) remplacèrent peut à peu la forêt. Entre 1700 et 900 BP seulement, cette végétation apparentée aux forêts fit place aux prés et pâturages. Seul l'utilisation d'autres méthodes permet d'estimer la limite d'altitude maximale atteinte par la forêt au cours de l'holocène: pour l'Alpe d'Essertse des charbons trouvés dans le sol, ainsi que des bioséquences pédologiques suggèrent une limite de la forêt maximale entre 2400 et 2450 m d'altitude.