Effect of oral calcium loading on intact PTH and calcitriol in idiopathic renal calcium stone formers and healthy controls

The calciuric response after an oral calcium load (1000 mg elemental calcium together with a standard breakfast) was studied in 13 healthy male controls and 21 recurrent idiopathic renal calcium stone formers, 12 with hypercalciuria (UCa x V > 7.50 mmol/24 h) and nine with normocalciuria. In controls, serum 1,25(OH)2 vitamin D3 (calcitriol) remained unchanged 6 h after oral calcium load (50.6 +/- 5.1 versus 50.9 +/- 5.0 pg/ml), whereas it tended to increase in hypercalciuric (from 53.6 +/- 3.2 to 60.6 +/- 5.4 pg/ml, P = 0.182) and fell in normocalciuric stone formers (from 45.9 +/- 2.6 to 38.1 +/- 3.3 pg/ml, P = 0.011). The total amount of urinary calcium excreted after OCL was 2.50 +/- 0.20 mmol in controls, 2.27 +/- 0.27 mmol in normocalciuric and 3.62 +/- 0.32 mmol in hypercalciuric stone formers (P = 0.005 versus controls and normocalciuric stone formers respectively); it positively correlated with serum calcitriol 6 h after calcium load (r = 0.392, P = 0.024). Maximum increase in urinary calcium excretion rate, delta Ca-Emax, was inversely related to intact PTH levels in the first 4 h after calcium load, i.e. more pronounced PTH suppression predicted a steeper increase in urinary calcium excretion rate. Twenty-four-hour urine calcium excretion rate was inversely related to the ratio of delta calcitriol/deltaPTHmax after calcium load (r = -0.653, P = 0.0001), indicating that an abnormally up-regulated synthesis of calcitriol and consecutive relative PTH suppression induce hypercalciuria.(ABSTRACT TRUNCATED AT 250 WORDS)

L’archéologie entre glaciers et sommets. Dernières découvertes dans les Alpes Bernoises (Cantons de Berne et du Valais, Suisse)

Connus sous le nom populaire de palafittes, les habitats préhistoriques construits sur les rives des lacs subalpins du Néolithique à l’aube de l’âge du Fer (entre 5300 et 700 av. J.-C.) offrent des informations exceptionnelles sur l’évolution culturelle d’une importante région européenne, grâce à la préservation remarquable des matériaux organiques, en particulier du bois. À partir de la deuxième moitié du XXe siècle, le perfectionnement des techniques de fouille subaquatiques et de la dendrochronologie permettront la construction d’un schéma chronologique précis pour l’Europe nord-alpine. Les recherches contribueront à des observations d’ordre écologique à l’échelle locale et régionale et à l’identification des rythmes de développement des villages. Sous l’égide de l'UNESCO, les années 2010 verront la constitution d’un inventaire vaste et uniforme des sites préhistoriques des lacs circumalpins, classés Patrimoine culturel mondial en juin 2011. De nombreux objets préhistoriques, romains et médiévaux ont été découverts entre 2003 et 2010, au Schnidejoch, un col des Alpes bernoises occidentales à 2756 m d’altitude, à la frontière entre les cantons de Berne et du Valais. Les hautes températures de l'été 2003 ont provoqué la fonte d'un petit champ de glace et mis en lumière les vestiges. Les recherches ont été programmées à la suite d’une série d’informations fournies par des randonneurs. Les objets en matière organique (bois, écorce de bouleau, cuir, fibres végétales) revêtent une très grande importance car ils ont permis l’obtention de plus d’une cinquantaine de datations radiocarbone ; elles indiquent le passage du col entre la moitié du Ve millénaire av. J.-C. et l’année 1000 de notre ère. En outre, les séries de datations suggèrent l’alternance de périodes de praticabilité et d’inaccessibilité du col. Le Schnidejoch est actuellement le plus ancien témoignage de la traversée des Alpes, reliant l‘Oberland bernois par les vallées de la Simme et du Rhône.

Les villages préhistoriques des bords des lacs circum-alpins entre le Ve et IVe millénaire av. J.-C.

Connus sous le nom populaire de palafittes, les habitats préhistoriques construits sur les rives des lacs subalpins du Néolithique à l’aube de l’âge du Fer (entre 5300 et 700 av. J.-C.) offrent des informations exceptionnelles sur l’évolution culturelle d’une importante région européenne, grâce à la préservation remarquable des matériaux organiques, en particulier du bois. À partir de la deuxième moitié du XXe siècle, le perfectionnement des techniques de fouille subaquatiques et de la dendrochronologie permettront la construction d’un schéma chronologique précis pour l’Europe nord-alpine. Les recherches contribueront à des observations d’ordre écologique à l’échelle locale et régionale et à l’identification des rythmes de développement des villages. Sous l’égide de l'UNESCO, les années 2010 verront la constitution d’un inventaire vaste et uniforme des sites préhistoriques des lacs circumalpins, classés Patrimoine culturel mondial en juin 2011.

Imperial Eyes. Van Dycks Porträtmalerei als globale Technologie

Zu Beginn des 17. Jahrhunderts hatte sich die Malerei in Antwerpen vor allem durch Rubens als Medium einer zunehmend global verbundenen Welt etabliert. Doch auch zahlreiche von Van Dycks Porträts sind Zeugnisse eines oft hochgradig ambivalenten Kosmopolitismus. Neben Gemälden von international agierenden Antwerpener Händlern und Gelehrten fertigte der Künstler auch in Genua und England Porträts der adligen Elite an, in welchen sich deren globale Erfahrungen und Ambitionen spiegelten. Van Dyck reagierte in der Inszenierung der Marchesa Elena Grimaldi Cattaneo, mit einem schwarzen Sklaven, wie in der des Earl of Denbigh, zwischen einheimischen und exotischen Elementen, auf spezifische Anforderungen an das repräsentative Porträt im Zeitalter des disenclavement. Diese Anforderungen werden besonders deutlich in dem für eine geplante Expedition nach Madagaskar entstandenen Porträt des Earls of Arundel und dessen Frau Alethea Talbot. Das Gemälde verbindet Elemente herrschaftlicher, merkantilistischer und intellektueller Selbststilisierung mit einer Reduktion auf wenige, innovative Elemente. Die majestätische Inszenierung des Paars ist nur in einem globalen Kontext zu erklären, so dass sich die Frage nach der Funktion des in mehreren Werkstattkopien erhaltenen Gemäldes stellt. Hatte Van Dyck in seiner Komposition eine Lösung gefunden, die im Kontext des englischen Hofes, möglicherweise als Teil eines Festes, wie auch für potentielle Investoren, sowie die verarmte Landbevölkerung, die in der Indentur ihre einzige Hoffnung sah, gleichermaßen überzeugend wirkte? Die Hybris in dem überlebensgroßen Porträts des Paares, das mit leuchtend heller Haut, in kostbar glänzende Stoffe gekleidet und mit modernen Messinstrumenten in den Händen dargestellt ist, lässt es als ideales Medium der globalen Ambitionen des Paars erscheinen.