49 resultados para Nice (Alpes-Maritimes)


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Connus sous le nom populaire de palafittes, les habitats préhistoriques construits sur les rives des lacs subalpins du Néolithique à l’aube de l’âge du Fer (entre 5300 et 700 av. J.-C.) offrent des informations exceptionnelles sur l’évolution culturelle d’une importante région européenne, grâce à la préservation remarquable des matériaux organiques, en particulier du bois. À partir de la deuxième moitié du XXe siècle, le perfectionnement des techniques de fouille subaquatiques et de la dendrochronologie permettront la construction d’un schéma chronologique précis pour l’Europe nord-alpine. Les recherches contribueront à des observations d’ordre écologique à l’échelle locale et régionale et à l’identification des rythmes de développement des villages. Sous l’égide de l'UNESCO, les années 2010 verront la constitution d’un inventaire vaste et uniforme des sites préhistoriques des lacs circumalpins, classés Patrimoine culturel mondial en juin 2011. De nombreux objets préhistoriques, romains et médiévaux ont été découverts entre 2003 et 2010, au Schnidejoch, un col des Alpes bernoises occidentales à 2756 m d’altitude, à la frontière entre les cantons de Berne et du Valais. Les hautes températures de l'été 2003 ont provoqué la fonte d'un petit champ de glace et mis en lumière les vestiges. Les recherches ont été programmées à la suite d’une série d’informations fournies par des randonneurs. Les objets en matière organique (bois, écorce de bouleau, cuir, fibres végétales) revêtent une très grande importance car ils ont permis l’obtention de plus d’une cinquantaine de datations radiocarbone ; elles indiquent le passage du col entre la moitié du Ve millénaire av. J.-C. et l’année 1000 de notre ère. En outre, les séries de datations suggèrent l’alternance de périodes de praticabilité et d’inaccessibilité du col. Le Schnidejoch est actuellement le plus ancien témoignage de la traversée des Alpes, reliant l‘Oberland bernois par les vallées de la Simme et du Rhône.

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It is well established that the therapeutic relationship contributes about as much to therapy outcome as 'technical' intervention. Furthermore, it follows clear prescriptive concepts in the same manner as technical interventions do. 'Motive Oriented Therapeutic Relationship' is such a concept for establishing a solid basis for whatever therapeutic work the patients' problems require (Grawe, 1980, 1992; Caspar, 1996). Yet, the therapeutic relationship doesn't explain everything because other factors play a significant role too. Previous studies showed that outcome is clearly better when therapists achieved a generally high quality of a therapeutic relationship when they did not shy away from possibly threatening interventions such as confrontations. This ratio of a fruitful alliance and marginally present confrontations in the same session also showed significant correlations with patient's assessment of alliance and progress in therapy (Figlioli et al., 2009).Aim: The current state of research in the field does not give any answers to questions like how good and bad confrontations can be characterized or what role does the intensity, respectively frequency of confrontations play in the process of psychotherapy. Methods: A sample of 80 therapies of 3 sessions each representing either good or bad outcome was judged moment by moment by independent raters if and how therapists used confrontative interventions. Results: Preliminary analyses show that successful confrontations are explicitly uttered, short but intense, related to important patients goals in therapy and embedded in prior complementarity. Discussion: The results will be discussed in terms of their implications for the clinical daily work.

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It is well established that the therapeutic relationship contributes about as much to therapy outcome as ‘technical’ intervention. Furthermore, it follows clear prescriptive concepts in the same manner as technical interventions do. ‘Motive Oriented Therapeutic Relationship’ is such a concept for establishing a solid basis for whatever therapeutic work the patients’ problems require (Grawe, 1980, 1992; Caspar, 1996). Yet, the therapeutic relationship doesn’t explain everything because other factors play a significant role too. Previous studies showed that outcome is clearly better when therapists achieved a generally high quality of a therapeutic relationship when they did not shy away from possibly threatening interventions such as confrontations. This ratio of a fruitful alliance and marginally present confrontations in the same session also showed significant correlations with patient’s assessment of alliance and progress in therapy (Figlioli et al., 2009). These findings are also very much in line with Sachse’s metaphor of accumulating, but then also using ‘relationship credits’ and Farrelly’s ‘Provocative Therapy’ (1986), as well as the ‘Intensive Short-Term Dynamic Psychotherapy’ by Davanloo (1980).Aim: The current state of research in the field does not give any answers to questions like how good and bad confrontations can be characterized or what role does the intensity, respectively frequency of confrontations play in the process of psychotherapy.Methods: A sample of 80 therapies of 3 sessions each representing either good or bad outcome was judged moment by moment by independent raters if and how therapists used confrontative interventions. Results / Discussion: The results will be discussed in terms of their implications for the clinical daily work. Preliminary analyses show that successful confrontations are explicitly uttered, short but intense, related to important patients goals in therapy and embedded in prior complementarity.

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Depuis que les glaciers fondent, la glace libère des objets hautement intéressants. C’est ainsi qu’en été 2003 une promeneuse a ramassé un objet qui a été remis au Service archéologique du canton de Berne. La datation au C14 révéla qu’il s’agit d’un fragment de carquois en écorce de bouleau datant du Néolithique Final. Depuis l’été 2004, le Service archéologique du canton de Berne étudie le site du Schnidejoch,un col situé à 2756 mètres d’altitude entre l’Oberland bernois et le Valais, et a ainsi pu récolter plus de 300 objets . L’éventail des objets découverts s’étend de bouts de vêtements préhistoriques en cuir et raphia à des épingles en bronze et des clous de souliers romains en passant par un carquois et des flèches. Les découvertes du Schnidejoch sont les plus anciennes du genre jamais faites dans les Alpes.

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Archäologie in den Hochalpen: Vom Rückgang der Gletscher sind auch archäologische Objekte betroffen. Über Jahrtausende hinweg haben sie im Eis überdauert, nun kommen sie zum Vorschein. Im Hitzesommer 2003 fand eine Wanderin am Schnidejoch ein fremdartiges Objekt aus Birkenrinde. Es erwies sich als Teil eines 4800 Jahre alten Bogenfutterals. In den Jahren 2004 bis 2011 unternahm der Archäologische Dienst des Kantons Bern über 30 Begehungen der Nordseite und – zusammen mit der Walliser Kantonsarchäologie – auch der Südseite des Schnidejochs. Zahlreiche weitere Funde aus Holz, Leder und Metall konnten geborgen und wissenschaftlich untersucht werden. Einzigartige Funde Zu den spektakulärsten Funden vom Schnidejoch zählt das Bogenfutteral aus Birkenrinde. Weiter stechen aus den rund 900 Funden ein Pfeilbogen, mehrere vollständige Pfeile und Fragmente einer Schale aus Ulmenholz hervor. Es handelt sich dabei um das älteste Holzgefäss der Schweiz. Weitere herausragende Funde sind ein bronzezeitliches Holzgefäss aus Birkenrinde, eine bronzezeitliche Gewandnadel sowie Bekleidung und Schuhe aus Leder. Archéologie dans les Alpes bernoises Le recul des glaciers a aussi un impact sur les découvertes archéologiques. Il fait réapparaître des objets préservés dans les glaces depuis des millénaires. Pendant l’été caniculaire de 2003, une randonneuse a découvert un objet singulier en écorce de bouleau, qui s’est avéré être un morceau de carquois vieux de 4800 ans. De 2004 à 2011, le Service archéologique du canton de Berne s’est rendu plus de trente fois sur le versant nord du Schnidejoch et, en collaboration avec le Service d’archéologie du canton du Valais, sur le versant sud de ce col. De nombreux autres objets en bois, cuir et métal ont pu être mis au jour et étudiés scientifiquement. Des découvertes uniques Le carquois en écorce de bouleau constitue l’une des découvertes les plus sensationnelles du Schnidejoch. Parmi les quelque 900 objets mis au jour figurent un arc, plusieurs flèches complètes et les fragments d’un bol en bois d’orme. Ce bol est le plus ancien récipient en bois de Suisse. D’autres trouvailles spectaculaires ont été faites, notamment un récipient en écorce de bouleau et une épingle à vêtements datant de l’Âge du Bronze ainsi que des vêtements et des chaussures en cuir.