2 resultados para Doublage

em AMS Tesi di Laurea - Alm@DL - Università di Bologna


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L’un des buts de ce mémoire est de définir le concept de « mise en abyme » appliqué au court-métrage Mouettes, réalisé en 2013 par le cinéaste belge Zeno Graton. Un autre but est celui de présenter une version sous-titrée en langue italienne de ce même court-métrage tout en explorant le monde de la traduction audiovisuelle et notamment du sous-titrage. Ce mémoire est divisé en trois chapitres. Le premier chapitre porte principalement sur la mise en abyme, sur les différents types de mise en abyme, à savoir pictural, littéraire et filmique, sur les études réalisées et les théories conçues à propos de ce procédé, à partir d’André Gide jusqu’à Lucien Dällenbach en passant par Jean Ricardou. Ce chapitre se penche également sur les différences entre la mise en abyme filmique et d’autres modes de réflexivité cinématographique, pour ensuite se concentrer sur le court-métrage Mouettes, décrire le procédé de la mise en abyme hétérogène utilisée dans Mouettes et présenter les thèmes abordés dans le court-métrage. Parmi les thèmes exposés, l’un des plus évocateurs est celui de la figure de l’acteur qui ne sait plus distinguer, parfois, ses passions et ses sentiments réels de ceux ressentis dans le rôle du personnage qu’il doit jouer. Ensuite, le deuxième chapitre est consacré aux différents procédés utilisés dans la traduction audiovisuelle, du doublage, au voice-over au respeaking, en analysant surtout la technique du sous-titrage, la théorie et les problèmes liés. Enfin, le dernier chapitre propose mon travail de sous-titrage à travers un tableau avec le time code, le texte de départ transcrit, la traduction et, si nécessaire, l’adaptation. Dans le troisième chapitre, il y a également un commentaire sur les difficultés rencontrées pendant le travail de sous-titrage, dans la traduction ainsi que dans l’utilisation du logiciel Jubler.

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Le rôle du traducteur est de permettre le dialogue entre deux « mondes autres », de connaître les éléments qui les différencient et de transmettre le message le plus fidèlement possible. Tout dans un texte peut résister à la traduction (vocabulaire, syntaxe, culture). Le but de la traduction est de recréer l’original, tout en sachant que la traduction a ses limites. Quelles sont les limites de la traduction ? Est-il suffisant de bien maîtriser une langue pour pouvoir la traduire ? Est-ce que tous nos mots ont une équivalence dans les autres langues ? Pouvons-nous faire rire l'autre avec les mêmes traits d’humour ? Une traduction, peut-elle transmettre au lecteur ou au spectateur cible toutes les nuances présentes dans le texte ou le film de départ ? Le film français Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?3 sera l'objet de notre analyse. Tout comme le film de Dany Boon, il a eu beaucoup de succès en France et il a également été doublé en italien. Il s'agit ici aussi d'un film humoristique qui joue sur les stéréotypes que nous avons sur l'autre, d'où le choix de commenter le doublage et d'imaginer une piste de transposition italienne. Ce mémoire se propose de répondre aux questions posées ci-dessus, tout en proposant des commentaires de traduction et des pistes de transposition. Nous allons développer trois parties : tout d'abord, nous allons voir comment notre vision du monde influence notre langue et, vice versa, comment notre langue crée un ordre dans le monde. Ensuite, nous allons nous concentrer sur l'intraduisible verbal et non verbal, sur la traduction et l'adaptation de l'humour. Enfin, la troisième et dernière partie sera consacrée au thème de la transposition et, plus particulièrement, à la piste transposition du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?.