2 resultados para théorie du contrat
em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna
Resumo:
La nostra attualità ci interroga sulla comprensione della guerra e sullo statuto del suo rapporto con la politica. Questo lavoro si misura con tale questione e lo fa a partire dalle riflessioni di Michel Foucault sull’argomento. Anche grazie al riferimento ai manoscritti inediti del filosofo francese, conservati presso gli archivi del “Fonds Foucault” alla Bibliothèque nationale de France, si dimostra che le analisi foucaultiane sul tema, le quali non sempre hanno ricevuto un’adeguata attenzione, rivestono in realtà un’importanza decisiva all’interno dell’opera dell’autore. A partire da questo primo piano di indagine viene quindi sviluppato un secondo percorso di ricerca, intrecciato rispetto al precedente: le riflessioni di Foucault vengono messe in relazione con le posizioni di Carl Schmitt – un confronto tra due diverse genealogie che è stato raramente praticato e sul quale la letteratura critica è all’oggi ancora esigua. Tenendo conto dei materiali non ancora pubblicati, viene mostrato infatti che il modello polemocritico foucaultiano si costruisce sulla base di alcune rilevanti prossimità teoriche rispetto alla formulazione schmittiana della teoria del politico e si sviluppa come una critica radicale verso questa. Pensare Foucault come critico di Schmitt si rivela non solo importante ai fini della comprensione del pensiero del filosofo francese, ma anche fondamentale per indagare l’attualità dei due autori rispetto alla questione della guerra. È questa infatti la domanda di ricerca che percorre sottotraccia l’intero lavoro.
Resumo:
Dans l’Antiquité, la recherche sur la technique permet les premières réalisations de dispositifs ingénieux, tels que des appareils qui accomplissent une série d’actions par le biais de stimulus externes et de mécanismes cachés. Les organismes politiques et religieux saisissent rapidement la puissance communicative de ces machines, en devenant les promoteurs et patrons privilégiés de leur production. L’Empire sassanide (224-650) ne constitue pas une exception. En effet, les souverains perses consacrent, au moins à l’époque tardive, une grande attention à la conception et au déploiement de dispositifs savants. De même, un siècle plus tard, dans le milieu du califat islamique, les Abbassides (750-1258) semblent s’entourer de tels dispositifs. La continuité entre les deux empires dans plusieurs domaines, de la théorie politique à l’administration, est bien connue. Cependant, la question de la réutilisation du patrimoine technique et scientifique ancien, et notamment sassanide, par la cour abbasside, demeure encore largement inexplorée. L’étude d’un corpus de sources, aussi vaste qu’hétérogène, rassemblant des ouvrages historiographiques, géographiques, poétiques et d’adab, ainsi que des traités scientifiques et techniques en plusieurs langues, permet d’analyser différents aspects de la production et de l’usage politique des machines. Au sein de la cour sassanide, comme de la cour abbasside, la machine s’avère constituer un véhicule préférentiel de représentation et de diffusion de l’idéologie politique. À travers sa mise en scène publique, elle contribue de manière substantielle à la définition de l’espace du pouvoir, en participant à la création d’une image de la cour comme un microcosme au cœur duquel le Roi des rois, et plus tard le calife, occupaient le rôle cardinal de maître incontesté du monde. La continuité entre les empires sassanide et abbasside dans le domaine technique ne se limite donc pas à une récupération de savoirs, mais s’opère aussi sous la forme d’une véritable réactivation d’un patrimoine symbolique