3 resultados para Relations avec le bloc soviétique
em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna
Resumo:
Per Viollet-le-Duc lo “stile” «è la manifestazione di un ideale fondato su un principio» dove per principio si intende il principio d’ordine della struttura, quest’ultimo deve rispondere direttamente alla Legge dell’”unità” che deve essere sempre rispettata nell’ideazione dell’opera architettonica. A partire da questo nodo centrale del pensiero viollettiano, la presente ricerca si è posta come obiettivo quello dell’esplorazione dei legami fra teoria e prassi nell’opera di Viollet-le-Duc, nei quali lo “stile” ricorre come un "fil rouge" costante, presentandosi come una possibile inedita chiave di lettura di questa figura protagonista della storia del restauro e dell’architettura dell’Ottocento. Il lavoro di ricerca si é dunque concentrato su una nuova lettura dei documenti sia editi che inediti, oltre che su un’accurata ricognizione bibliografica e documentaria, e sullo studio diretto delle architetture. La ricerca archivistica si é dedicata in particolare sull’analisi sistematica dei disegni originali di progetto e delle relazioni tecniche delle opere di Viollet-le- Duc. A partire da questa prima ricognizione, sono stati selezionati due casi- studio ritenuti particolarmente significativi nell’ambito della tematica scelta: il progetto di restauro della chiesa della Madeleine a Vézelay (1840-1859) e il progetto della Maison Milon in rue Douai a Parigi (1857-1860). Attraverso il parallelo lavoro di analisi dei casi-studio e degli scritti di Viollet- le-Duc, si è cercato di verificare le possibili corrispondenze tra teoria e prassi operativa: confrontando i progetti sia con le opere teoriche, sia con la concreta testimonianza degli edifici realizzati.
Resumo:
Le théâtre de marionnettes a connu, depuis la fin du XXe siècle, de profondes mutations, tant sur le plan esthétique que sur celui du dispositif dramaturgique. Si en France des expériences plurielles de collaboration entre écrivains et marionnettistes se sont développées, en Italie ont émergé des expérimentations dramatiques de la part des marionnettistes eux-mêmes, auteurs de textes aux qualités littéraires. Au fil des rencontres avec la scène marionnettique, la posture de l’auteur devient « fluide », allant de l’écrivain extérieur répondant à une commande, au dramaturge et au co-créateur des spectacles. Une attention accrue aux enjeux dramaturgiques a renforcé les relations des arts de la marionnette avec le théâtre d’acteurs. En vertu de cette osmose, certaines caractéristiques du régime contemporain de l’écriture pour la scène, comme la « rhapsodisation » des textes mise en évidence par Jean-Pierre Sarrazac et les traits « postdramatiques » décrits par Hans-Thies Lehmann, sont à l’œuvre dans les pièces pour marionnettes écrites depuis les années 1980. La comparaison des créations françaises (par Daniel Lemahieu et François Lazaro, Jean Cagnard et la Cie Arketal, Kossi Efoui et Théâtre Inutile, Dennis Cooper et Gisèle Vienne) et italiennes (par Guido Ceronetti, Giuliano Scabia, Gigio Brunello et Gyula Molnár, Marta Cuscunà, Fabiana Iacozzilli, entre autres) montre comment elles exploitent la marionnette afin d’agencer la parole aux images suscitées par l’objet. Bien que l’on puisse observer un plus grand élan innovateur en France, tandis que les relations avec les différentes traditions régionales restent ancrées en Italie, l’analyse de textes nous apprend que les motifs les plus récurrents sont communs aux deux territoires, en vertu des possibilités de figuration qu’offre la marionnette : la confrontation avec les problèmes actuels et les traumatismes de l’histoire, la plongée dans l’esprit humain, l’imagination de territoires post-anthropocentriques, la rencontre avec le trouble et la mort
Resumo:
Le terme Secunda désigne la deuxième colonne de la synopse hexaplaire d’Origène. Cette synopse comportait six colonnes, d’où le nom Hexapla utilisé pour la désigner : la première contenait le texte hébreu original de l’Ancien Testament, la deuxième (Secunda) sa transcription phonétique en caractères grecs, les quatre autres les différentes traductions grecques de la Bible. La présence de graphèmes de vocaliques grecs dans la Secunda permet de mener une étude grammaticale complète de cette source, d’un point de vue phonétique et morphologique. Il manque encore actuellement une recherche qui développe le rapport entre la tradition hébraïque de la Secunda, telle qu’elle ressort de la transcription, et les autres traditions hébraïques attestées : celles sans graphèmes vocaliques (c’est-à-dire la tradition samaritaine et le corpus qumranien) et les traditions plus tardives et vocalisées pendant la période médiévale (les traditions massorétique tibérienne, babylonienne et palestinienne). Ce dernier point est précisément l’objet de cette thèse, qui vise à mieux comprendre le statut de l’hébreu de la Secunda, ses relations avec les autres traditions hébraïques et sa place dans l’histoire de la langue. Cette question est abordée à travers différentes étapes : en partant d’une étude phonétique et morphologique de la langue hébraïque de la colonne, on arrive à une hypothèse de datation qui permet une comparaison directe entre l’hébreu hexaplaire et les autres traditions mentionnées ci-dessus. La comparaison entre la Secunda et les autres traditions est cruciale pour situer correctement la Secunda dans l’histoire de la langue hébraïque : au niveau synchronique, elle permet de mettre en évidence ses éléments dialectaux, documentés dans les transcriptions de la Secunda et dans les traditions de la même époque ; au niveau diachronique, elle fournit des terminus ante ou post quem pour des phénomènes bien attestés dans les traditions tardives.