2 resultados para vie quotidienne

em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)


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Cet étude est une recherche sur les significations imaginaires de la violence pratiquée par des jeunes délinquants ou à laquelle ils sont soumis, dans la condition de confinés chez le Centre Éducationnel CEDUC/PITIMBU, lieu où l investigation a été faite. Dans la mésure où le sujet de la violence se présente plein de manifestations, nous proposons ici une réflexion sur l imaginaire de la production théorique sur la question et en même temps nous nous proposons identifier jusqu à quel point les diverses visions scientifiques établient un savoir qui finit par limiter une conception plus complexe et profonde des réseaux de la violence. Le parcours théorique et méthodologique realisé nous a permis concluire que certaines interventions finissent par renforcer des situations limites vécues à l intèrieur du Centre par les jeunes déliquants. Parmi d autres aspects, nous traitons de l espace de l institution, leurs objectifs, routines, aussi bien que sur les principaux expressions de la violence qu apparaissent dans les récits des jeunes. Nous traitons de leurs origines socioculturelles, en signalant les milieux d oú ils viennent et leur vie quotidienne. Ainsi, nous traitons d analyser les éléments de la culture constituée, les valeurs, la « loi de plus fort », le pouvoir, le courage, la peur, l astuce, la sagesse et les rêves. Nous remarquons aussi la notion de « destin » qui renvoie à l idée que le crime et la mort sont inéluctables. Nous nous occupons de réfléchir sur le rôle de l institution dans le renforcement de la violence et dans la reproduction de valeurs sociales. Dans cet étude, nous utilisons l analyse des trajectoires de vie des jeunes délinquants pour comprendre la réalité de la violence à laquelle ils sont soumis

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Le présent texte vise à analiser la apropriation de l'espace par le pouvoir publique. Entre les années 1956 et 1964, la ville brésilien de Natal a été administré par le maire Djalma Maranhao, dirigeants politiques marquées par des idées nationalistes, comme la lutte contre l'impérialisme et l'émancipation du peuple a travers de ce que l'on appelle « culture populaire ». Le terme a acquis une connotation politique, en même temps dans ce qui était considéré comme la plus pure manifestation du peuple brésilien. La dynamique politique signifie aussi un nouveau regard sur la ville, enquant que le désir de progrès, de industrialisation et de réformes sociales propagée dans la politique nationale brésilienne, directement traduit par des changements dans son espace physique. Dans cette orientation nationaliste, la ville a entrepris des actions systématiques à l'encontre des nouveaux besoins urbains qui se posent en même temps que tourné certains places de la ville à espaces culturelles, appelée « places de la culture ». Ces espaces sont destinés à la promotion de la culture populaire en même temps il a été un domaine stratégique de la production et la réception des valeurs défendues par Djalma Maranhao. En ce sens, nous avons demandé répondre quelle a été la position du maire face à la besoins urbaines qu'ils se posaient et comme les places de la culture sont intégré à la vie quotidienne de la ville de Natal, donnant une nouvelle signification à la place publique. Pour la construction de ce travail, nous utilisons les sources orales et de revues, de journaux et de A República et Folha da Tarde, comme le principal ressources méthodologiques