2 resultados para Schelling, F.
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
Resumo:
This thesis aims better understanding the relation between time and evil in Schelling s Freiheitsschrift, having its starting point in approximations from Gnosticism. For that purpose, before approaching that relation, it is reviewed (chapter I) the question of Gnosticism, a strain of thought essentially concerned with the problem of time and permeated by the belief in an evil nature of creation, and which is alleged to have significantly influenced certain ideas of Schelling. An evaluation of approximations between Gnosticism, gnosis and German thought follows (chapter II), as well as an evaluation of Schellingian aproximations to Gnosticism (chapter III). Then, the Freiheitsschrift is analysed as the text where Schelling, having taken hold of a very distinct appropriation of Gnosticism, goes beyond Kantian theodicy (chapter IV). Some interrogations about whether key ideas of Schellingian philosophy (about gnosis, creation, duality, time, and evil) are conceived in a way that is essentially different from that of historic Gnosticism, despite the much that has been said to the contrary, are then addressed (chapter V). The proposal of a Platonic-Plotinian key to the understanding of the relations between time and evil in the Freiheitsschrift comes next (chapter VI), and then gives way to the concluding remarks (chapter VII). We perceive that Gnosticism and Neoplatonism are systems of thought that sometimes converge, and that German thought is one of the places of this convergence. Notwithstanding this perception, it is possible to affirm that Schellingian thought, with its valorization of time and of a certain perception of evil, is essentially anti-gnostic, despite some contrary observations
Resumo:
Ce travail veut montrer que le scepticisme n‟est pas q‟un des principaux défis pour la philosophie moderne jusqu‟a la déflagration da la Reforme Protestante, la redecouverte et la traduction des textes de Sexte Empirique. La reception de ce scepticisme n‟est q‟un des principaux facteurs qui determinent le noveau fondament da la philosophie moderne avec base dans la subjectivité. Dans ce contexte d‟un nouveau fondament de la philosophie sous la base de la subjectivité, Hegel aborde le problème du scepticisme. La pensé developpé par Hegel dans période de Jena (1801-1807), principalement dans l‟écrit de la Differance parmi les philosophies de Fichte e Schelling, et dans les articles du Journal Critic de Philosophie, Relation du scepticisme avec la philosophie et Foi et Savoir, part du dialogue avec la philosophie d‟idealisme allemand, qui est le point plus haut du subjectivisme dans la philosophie developpé à partir du retour du scepticisme. Hegel essaye à travès l‟interpretation et la superation du scepticisme, établir une nouvelle base pour la philosophie. Alors, le scepticisme, dans cette période de la philosophie d‟Hegel, a la function d‟être la negativité propre à la authentique philosophie qui anéante le point de vue des les philosophies de la subjectivité. Cette manière comme Hegel intégre la scepticisme à sa philosophie, a son point plus haut dans la Phénoménologie de l Esprit. La figure du scepticisme parfait présenté dans l‟introduction de la Phénoménologie de l Esprit a la function de faire le passage du point de vue des philosophies de la subjectivité au point de vue espéculatif da la raison