3 resultados para Peur
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
Resumo:
Cet étude est une recherche sur les significations imaginaires de la violence pratiquée par des jeunes délinquants ou à laquelle ils sont soumis, dans la condition de confinés chez le Centre Éducationnel CEDUC/PITIMBU, lieu où l investigation a été faite. Dans la mésure où le sujet de la violence se présente plein de manifestations, nous proposons ici une réflexion sur l imaginaire de la production théorique sur la question et en même temps nous nous proposons identifier jusqu à quel point les diverses visions scientifiques établient un savoir qui finit par limiter une conception plus complexe et profonde des réseaux de la violence. Le parcours théorique et méthodologique realisé nous a permis concluire que certaines interventions finissent par renforcer des situations limites vécues à l intèrieur du Centre par les jeunes déliquants. Parmi d autres aspects, nous traitons de l espace de l institution, leurs objectifs, routines, aussi bien que sur les principaux expressions de la violence qu apparaissent dans les récits des jeunes. Nous traitons de leurs origines socioculturelles, en signalant les milieux d oú ils viennent et leur vie quotidienne. Ainsi, nous traitons d analyser les éléments de la culture constituée, les valeurs, la « loi de plus fort », le pouvoir, le courage, la peur, l astuce, la sagesse et les rêves. Nous remarquons aussi la notion de « destin » qui renvoie à l idée que le crime et la mort sont inéluctables. Nous nous occupons de réfléchir sur le rôle de l institution dans le renforcement de la violence et dans la reproduction de valeurs sociales. Dans cet étude, nous utilisons l analyse des trajectoires de vie des jeunes délinquants pour comprendre la réalité de la violence à laquelle ils sont soumis
Resumo:
Le texte se rapporte à une recherche sur les conceptions d enseignants concernant l inclusion scolaire d élèves sourds , et leurs ralations avec les pratiques qu ils développent dans les classe régulières. Elle a été conduite dans une école publique régulière appartenant à la commune de Assu RN, et dont le choix méthodologique a été une approche qualitative, du genre ethnographyque. La construction des données devient d un processus d observation, de l application d entretiens demi-structurés et de l analyse de documents, ayant pour sujets quatre enseignants des années initiales de l enseignement fondamental. L apport théorique de base a été la théorie socio-culturelle proposée par Vygotsky (2003 ; 2005), censée traduire la compréhension de l homme dans sa dimension historique et culturelle, et mettre en évidence l interaction sociale en tant que condition pour le développement des individus. Les données font connaître que les enseignants sujets de la recherche sont favorables à l inclusion scolaire des élèves sourds dans les classes régulières, néanmoins soulignent le besoin d un changement à l école pour que l inclusion devienne une réalité. Les enseignants sont d avis que l apprentissage des élèves sourds se fait d une façon qui met trop de temps, moyennant l utilisation de recours spécifiques, tels que l usage du langage des signes (Libras). Ils signalent les difficultés qu ils doivent faire face quand il s agit de travailler pédagogiquement avec ces élèves dans le quotidien, telles que : manque d un travail collectif à l école ; besoin d une formation spécialisée ; démonstration de sentiments de peur, ou préjugés de la part de quelques uns du personnel de l école , tout celà interférant directement dans leurs attitudes et leurs actions faces aux élèves ; manque d appui des instances administratives de l école ; absence de politiques consistentes pour guider l éducation sous un regard inclusif. Quant aux pratiques pédagogiques développées à l école, la recherche laisse voir que, par rapport à la présence des élèves sourds, très peu d adaptations y ont été introduites, d où se dégage que la planification des actions éducatives à l école se tourne, prioritairement, vers les élèves qui écoutent, c est-à-dire, vers un groupe apparemment homogène. On a constaté, en plus, qu il n existe pas à l école aucun professionnel habilité pour l établissement d un processus de communication avec les élèves sourds. Malgré ces difficultés, les enseignants avouent, quand même, que travailler avec ces élèves rapporte toujours des bénéfices, tels que la collaboration et le respect mutuels chez les élèves, l acquisition de nouveaux savoirs et l amélioration de la pratique pédagogique des enseignants
Resumo:
Lucrèce, penseur latin du siècle I, avant J.C., écrire que le peur de la mort imputé par la religion et la superstition, nourrit le souhait à la richesse, l'ambition du pouvoir et les actes insensés, dont les conséquences se reflètent dans les maladies de l'âme. La terreur qui s'installe chez l'homme, à l'être confronté au décès, est aussi un obstacle à la liberté et à la vie équilibrée. Les craintes sans fondement seulement seraient surmonter, avec la compréhension de la nature et du mouvement de l'âme, en percevant leur génération, corporéité et finitude. Pour cela, la compréhension des atomes et du vide, les éléments primordiaux de la nature se basent tout la connaissance de l'âme. L'objectif de ce travail est enquêter la nature de l'âme dans Lucrèce, en présentant une réflexion sur les craintes sans fondement et la peur de la mort, comme une manière de percevoir le mouvement de la vie elle-même, et de que manière sa philosophie affronte à la crainte de la mort.