6 resultados para Musiques populaires urbaines
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
Resumo:
Les initiatives du gouvernement ayant pour finalité une réorganisation de la structure urbaine de la ville au début du XXème siècle reflètent le désir vécu par les membres de l'élite locale d'encadrer Natal dans les moules des grands centres urbains de la même période. Les élites désiraient transformer Natal dans une ville moderne. Dans ce but, le gouvernement s'est engagé dans la reformulation de quelques espaces physiques de la ville. Néanmoins, il fallait aussi d autres que les transformations urbaines, la ville devrait passer par des réformes sociales. De cette façon, ces groupes ont créées des nouvelles institutions et espaces de sociabilité qui affirmeraient la capitale de l'État comme une ville moderne. Les institutions formelles avaient un rôle imortant dans la construction de cette nouvelle ville convoitée par l'élite locale. Ainsi, à travers celles-ci, se diffusaient des nouvelles pratiques sociales qui seraient reflétées dans les espaces urbains. Dans des places tels, des cafés, des clubs et associations sportives, l'élite se distinguait du populaire. Dans ces places, leurs pratiques étaient légitimées, en contrepoint avec les pratiques populaires. C était dans les clubs et par les activités pratiquées par leurs membres que les idéals de l'élite circulaient, c était par là que l'élite se formait et se transformait. De cette façon, les aspirations d'un groupe social reflétaient dans l'organisation sociale des espaces de la ville
Resumo:
Ce travail est une contribution aux études anthropologiques conduites sur la sexualité et le corps dans les classes populaires. Il cherche à analyser le processus de construction des représentations du corps ainsi que sa relation avec la sexualité et le genre, à partir d une approche de la construction sociale. En ce sens, la ligne directrice de cette discussion est d une part le concept de corps compris comme une construction socioculturelle propre à chaque société, d autre part les différents usages et représentations dont chaque classe sociale investit le corps. A cette fin, une recherche de caractère ethnographique a été réalisée auprès d adolescents âgés de treize à dix-sept ans, résidents d un quartier populaire de Natal (Brésil), le Guarapes. Conduit d avril 2005 à juillet 2006, ce travail de terrain a mêlé observation directe et entretiens avec des adolescents des deux sexes
Resumo:
Cette recherche est ancrée dans les racines de la pédagogie de Célestin Freinet, un des plus importants éducateurs du XXème siècle, car ses propositions naissaient de la réalité de l élève lequel était, de ce fait, valorisé. Au début de ses recherches, Freinet s est rendu compte que pour pouvoir édifier une école qui, effectivement, atteigne les classes populaires, il devrait réaliser des changements dans le milieu scolaire. Notre travail le principe de coopération dans les actions développées par le professeur et ses élèves dans le quotidien de la salle de classe. Les décisions pour la réalisation de ce travail ont exigé, de notre part, une profonde et globale réflexion vis à vis des pas qui devraient être entamés, considérant que notre intention n était pas de faire une simple intervention dans le système scolaire avec une programmation pré-établie, sans instruments crées à priori pour le développement d actions dans le contexte scolaire. Comme questions principales nous pouvons souligner: Comment la coopération contribue pour le vécu des élèves? De quelle manière ce principe se réalise dans le quotidien de la salle de classe? Le principe coopératif, pourrait-il agir comme une alternative qui favorise la dynamique de la salle de classe et des relations entre les élèves? Le principe de la coopération exige la création d une ambiance en salle de classe dans laquelle il existe des éléments médiateurs dans la relation professeur-élève. Ainsi, l organisation de la salle a un caractère important; il faut considérer la participation des élèves dans la construction de ses connaissances. Pour cela, il est nécéssaire créer des structures qui doivent être complétées à partir de l activité des propres élèves. Dans la ligne de cette pensée nous avons, donc, comme objectifs spécifiques: 1) Investiguer, dans l action pédagogique du professeur, l utilisation de stratégies pour la consolidation du principe coopératif pour la salle de classe; 2) Faire une réflexion à propos de l organisation du travail coopératif développé par le professeur en observant comment celui-ci est réalisé en salle de classe; 3) Établir un répertoire des vécus de coopération construits en salle de classe par les élèves et le professeur. Ainsi, pour développer une interaction avec les sujets de la recherche [professeurs et élèves] des études ont été développés ancrés sur les principes de la recherche qualitative de type ethnographique pour considérer ce dernier un référentiel méthodologique plus indiqué à l utilisation des téchniques d observation, interviews et analyse de documents, car ces téchniques sont, traditionnellement, associées à l ethnographie. Cette recherche a pour but comprendre la vision de ce qui arrive quotidiennement dans la salle de classe observée et les multiples relations imbriquées dans le processus de motivation de l apprentissage utilisant la coopération
Resumo:
Le présent texte vise à analiser la apropriation de l'espace par le pouvoir publique. Entre les années 1956 et 1964, la ville brésilien de Natal a été administré par le maire Djalma Maranhao, dirigeants politiques marquées par des idées nationalistes, comme la lutte contre l'impérialisme et l'émancipation du peuple a travers de ce que l'on appelle « culture populaire ». Le terme a acquis une connotation politique, en même temps dans ce qui était considéré comme la plus pure manifestation du peuple brésilien. La dynamique politique signifie aussi un nouveau regard sur la ville, enquant que le désir de progrès, de industrialisation et de réformes sociales propagée dans la politique nationale brésilienne, directement traduit par des changements dans son espace physique. Dans cette orientation nationaliste, la ville a entrepris des actions systématiques à l'encontre des nouveaux besoins urbains qui se posent en même temps que tourné certains places de la ville à espaces culturelles, appelée « places de la culture ». Ces espaces sont destinés à la promotion de la culture populaire en même temps il a été un domaine stratégique de la production et la réception des valeurs défendues par Djalma Maranhao. En ce sens, nous avons demandé répondre quelle a été la position du maire face à la besoins urbaines qu'ils se posaient et comme les places de la culture sont intégré à la vie quotidienne de la ville de Natal, donnant une nouvelle signification à la place publique. Pour la construction de ce travail, nous utilisons les sources orales et de revues, de journaux et de A República et Folha da Tarde, comme le principal ressources méthodologiques
Resumo:
Dans les premières décennies du XXème siècle, un groupe d intellectuels brésiliens a pris pour soi la mission de conduire la nation aux chemins du progrès, en réfléchissant sur les transformations des villes et, souvent, en proposant et en mettant en avant des actions et mesures qui dirigeraient la modernisation du pays. Dans ce contexte, la ville apparaissait comme un synonyme de progrès en opposition à la campagne, en donnant emphase à la construction du Brésil urbain. À Natal, celui-ci a été une période de sensible modification dans l espace urbain, en suivant les préceptes de l hygiénisme et de l esthétique racionaliste, qui ont orienté les réformes entreprises dans beaucoup de villes brésiliennes. Les élites politiques et socioéconomiques de la capitale du Rio Grande do Norte ont developpé le discours en faveur de la modernisation qui avait pour objectif de justifier les interventions dans la ville et l introduction de l infra-structure de services urbains, par exemple, les services d illumination et de transport, qui à partir de 1911, ont commencé à être stimulés par l électricité. Cette modernisation est matérialisée par de nouveaux équipements et services, par des espaces remodelés en accord avec la rationalité technique de l urbaniste, pour l utilisation de nouvelles sources d énergie (gaz, électricité), en plus de la croissance de la population résidente en ville. Cependant, nous ne pouvons pas oublier que la construction de la ville moderne est passée tant par des transformations physiques, matérielles, comme par l absorption de valeurs, symboles, gestes, vocabulaires, objets, adoptions de nouvelles normes de comportement et par la formation de nouvelles sensibilités sur l espace urbain et la vie en ville. De cette manière, les nouvelles normes technologiques, comme l électricité, ont rendu possible des transformations dans la structure matérielle de la ville et en vie urbaine dans ses plus divers aspects. Ce travail propose d analyser la relation entre énergie électrique et la vie urbaine à Natal entre 1911 et 1940, en prenant en compte, pour cela, les actions d intervention de l État sur l espace urbain et les perceptions d intellectuels face aux transformations urbaines dont ils étaient les témoins. À partir de cette analyse, nous cherchons à préciser les efforts gouvernementaux pour la manutention des services d électricité et conservation des équipements urbains; comprendre comment l utilisation d énergie électrique a aidé à produire de nouvelles situations quotidiennes et comment elle a été perçue, traduite en sentiments et perceptions fondées dans la cohabitation avec cette innovation technique. Les élites locales désiraient diffuser des habitudes considerées modernes, en construisant une identification avec la manière de vie urbaine, fortement inspirée dans la vie dans les villes Européennes et Américaines. L électricité a rendu possible des expériences et sensations qui allaient caractériser l habitant de la ville
Resumo:
thèse de maîtrise, qui a été idealizée et exécutée à partir de la réunion et les relations dialogiques établies entre la géographie et l'histoire, et l'espace et le temps, a considéré l'environnement urbain comme le thème général et, comme la référence empirique, l'espace urbain de Caicó, incrusté dans les terres semi-arides du Sertão do Seridó Potiguar, plus précisément à la mi-sud de l'État du Rio Grande do Norte. Dans cet espace, à travers de recherche des fragments de mémoires acquis de diverses sources historiques, on a tenté de faire des investigations sur les transformations urbaines qui ont eu lieu dans la ville au cours des années 50 et 60 du XXe siècle. Ces transformations, dans l espace urbain de Caicó à un moment du pic de l'activité de développement de coton, reflétaient et conditionnaient les propres projets de modernization urbaine qui représentants des élites locales eurent conçu avec l'objectif de la construction d une ville idéal dans les regions isolées du Seridó: moderne, civilisé, progressive et capitale régionale du Seridó. Pour cette construction, les nouveaux équipements et services urbains ont passé du plan imaginaire à l espace réel, installés dans plusieurs quartiers de la ville en transformant le paysage urbain. Face à cette situation, cinémas, magasins, station de radio, énergie électrique, institutions de l'éducation, téléphonie, maison de soins infirmiers, usine de bénéficiement de coton, banques, politiques urbaines, hygiéniques et sanitaires, modes de comportement, sociabilités urbaines distincttes, parmi d'autres éléments géographiques se sont institués à travers la réalisation de certains idéaux de progrès social et dans un esprit de modernité urbaine, dans de nouveaux espaces et pratiques inventés, tramés et éprouvés sur les rochers et entre le cours d eau au milieu d'un quotidien urbain marqué par ruptures et permanence de certaines coutumes et habitudes antiques et de certains paysages et environnement ridé