2 resultados para Istituto Musicale Livornese.

em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)


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La musique, plus qu`um mot et le texte écrit, a le pouvoir de produire le déplacement du sujet en relation aux contingences du temps e de l´espace. Entendre de la musique est plus que de l´amusement. Comme un artifice cognitif qui ultrapasse l´expérience analytique e métonymique, les formes tonales doublent la réalité, expandent les sens, actionent l´imagination, retotalisent les sentiments, amplient les expériences, permettent la rencontre du sujet avec les éssences des phénomènes qui ne sont pas traductibles par les mots. Nous écoutons de la musique pour restituer notre dignité e conférer à la vie plus de vérité, plus de concrétion (Santiago Kovadloff). La mélodie permet l´expérimentation des états de cohésion, de conéction pleine entre sens et intention, entre commencement et fin, de la finitude de la vie (Schopenhauer). Le phénomène musical provoque l´expréssion de la douleur, de la souffrance et, au même temps, du jubile et de la joie, réliant nature et homme (Nietzsche). Tenant comme base cette compréhension, la dissertation tient dans la musique une importante métaphore pour comprendre la complexité humaine, une fois qu´elle propicie une écoute sensible du monde et mobilise dans le sujet l´expérimentation de divers états de l´être. Nous pouvons dire que la musique est un opérateur de la conaissence parce qu´elle fait affleurer l´écoute intérieure, la rencontre du sujet avec lui même. Cet opérateur cognitif actione les pôles de l´ésprit qui font dialoguer sensibilité, éthique et esthétique, ordre et chaos, silence et bruit, mouvement et pause, repétition et inovation. Par l´expérience musicale, nous habitons des formes hibrides de sensibilité et raison. L´inachèvement, notre principal caractéristique comme humains, a, dans la musique, une image impair, parce que la musique est l´expression du dévir. Pour tisser ces arguments, la dissertation part des études de Schopenhauer et Nietzsche sur la musique, esthétique et métaphysique; Expose des fragments de la biographie de trois grands penseurs contemporains (Werner Heinsenberg, Ilya Prigogine et Edgar Morin) accentuant la présence de la musique en ses vies; et, par fin, présente ce que nous appelons biographies sonores de quatre artistes-musiciens brésiliens (Benedito Juarez et Gil Jardim, de São Paulo, et Ronaldo Ferreira de Lima et, Cleudo Freire, du Rio Grande do Norte)

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L'obiettivo principale di questo lavoro è valutare le difficoltà di comprensione e di identificazione nella ricezione da parte della cultura italiana dell'opera Grande sertão: veredas, da quelle trovate, in modo pionieristico, dal traduttore italiano, a quelle che sono state percepite e indicate al momento della lettura dai critici, dagli accademici, dall'autore di questo lavoro e, soprattutto, dai lettori comuni, mostrando, allo stesso tempo, che i problemi avuti dagli italiani nella traduzione esistono, sotto certi aspetti, anche per i brasiliani urbani, poiché la dimensione linguistico-geografica presente nel romanzo è così peculiare, che perfino molti lettori di lingua portoghese ignorano il mondo plasmato dal linguaggio di Guimarães Rosa rivelando una esacerbazione della questione universale espressa nella formula "traduttori, traditori". Partendo da tutto ciò, abbiamo cercato di dimostrare che, sebbene la traduzione di Edoardo Bizzarri abbia raggiunto un eccellente risultato, l'opera rosiana, così come nella poesia e di più di qualsiasi altra narrativa, comporta, nel passaggio da un idioma all'altro, perdite irrimediabili, tanto relative all'armonia musicale e ritmica, quanto alla richezza semantica che si occulta nel testo originale