2 resultados para Heisenberg, Werner Karl
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
Resumo:
The thesis describes parallel possibilities between the knowledge built in theatre and in Science. The narrative is constructed through a reflexive observation of the process of making a threatical play, specifically O Tempo da Chuva by Grupo Beira de Teatro , in analogy to the process of making a scientific theory, specifically the one described by Werner Heisenberg in his book Physics and Beyond: encounters and conversations . It sets a dialog with authors/actors from various areas of knowledge, such as Edgar Morin, Werner Heisenberg, René Descartes, Paul Feyerabend, Paul Caro, Juremir Machado da Silva, Maria da Conceição de Almeida, Renato Ferracini, among others. It discusses the hypothesis that Science is the process of building and the theatrical process of building a play can also be systematized, likewise science. The thesis defends, as the complexities science may suggest, a method as a strategy. Developed throughout the process, such method could only be verified at the end, when the elements of the setting of atomic physics theories and theatre were correlated. Questions such as: the place of theatre and science in our contemporary society and the political and ethical role of artists and scientists are at the episthemological basis of this narrative which we have started, but it is not even close to a conclusion
Resumo:
La musique, plus qu`um mot et le texte écrit, a le pouvoir de produire le déplacement du sujet en relation aux contingences du temps e de l´espace. Entendre de la musique est plus que de l´amusement. Comme un artifice cognitif qui ultrapasse l´expérience analytique e métonymique, les formes tonales doublent la réalité, expandent les sens, actionent l´imagination, retotalisent les sentiments, amplient les expériences, permettent la rencontre du sujet avec les éssences des phénomènes qui ne sont pas traductibles par les mots. Nous écoutons de la musique pour restituer notre dignité e conférer à la vie plus de vérité, plus de concrétion (Santiago Kovadloff). La mélodie permet l´expérimentation des états de cohésion, de conéction pleine entre sens et intention, entre commencement et fin, de la finitude de la vie (Schopenhauer). Le phénomène musical provoque l´expréssion de la douleur, de la souffrance et, au même temps, du jubile et de la joie, réliant nature et homme (Nietzsche). Tenant comme base cette compréhension, la dissertation tient dans la musique une importante métaphore pour comprendre la complexité humaine, une fois qu´elle propicie une écoute sensible du monde et mobilise dans le sujet l´expérimentation de divers états de l´être. Nous pouvons dire que la musique est un opérateur de la conaissence parce qu´elle fait affleurer l´écoute intérieure, la rencontre du sujet avec lui même. Cet opérateur cognitif actione les pôles de l´ésprit qui font dialoguer sensibilité, éthique et esthétique, ordre et chaos, silence et bruit, mouvement et pause, repétition et inovation. Par l´expérience musicale, nous habitons des formes hibrides de sensibilité et raison. L´inachèvement, notre principal caractéristique comme humains, a, dans la musique, une image impair, parce que la musique est l´expression du dévir. Pour tisser ces arguments, la dissertation part des études de Schopenhauer et Nietzsche sur la musique, esthétique et métaphysique; Expose des fragments de la biographie de trois grands penseurs contemporains (Werner Heinsenberg, Ilya Prigogine et Edgar Morin) accentuant la présence de la musique en ses vies; et, par fin, présente ce que nous appelons biographies sonores de quatre artistes-musiciens brésiliens (Benedito Juarez et Gil Jardim, de São Paulo, et Ronaldo Ferreira de Lima et, Cleudo Freire, du Rio Grande do Norte)