6 resultados para notion du mal
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Resumo:
This paper aims to explore a Tongan notion of development –'fakalakalaka' – in light of Western notions of development. Two case studies of international development aid schemes illustrate the impact of Tongan development ideas in practice. Drawing on a number of ethnographers' work on Tonga, 'fakalakalaka' appears broader than the Western notion of development. The latter is characterised by influential ideals of controllability and industrialisation. The notion of development among Tongans, on the other hand, tends to be directed by an underlying persistence that, for instance, reflects Tongan core values regarding social organisation. The production of textile 'koloa', controlled by women, emerges as central to the accomplishment of this three-dimensional development notion of intertwined physical, mental and spiritual aspects. The importance attributed to this specific kind of textile has increased in recent years and found two additional roles, or development strategies, in Tongans' contemporary transnational world.
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Le Grand-Guignol n’a reçu que peu d’attention critique sérieuse jusqu’à la fin des années 1980. Ce petit théâtre a pendant 65 ans, de 1897 à 1962, offert des pièces d’un genre nouveau mêlant terreur, violence et souvent érotisme. Le succès était au rendez-vous et le Théâtre du Grand-Guignol est longtemps resté une attraction incontournable de Paris. Les pièces choisies pour ce mémoire sont issues de ce répertoire et ont cela de particulier qu’elles ont été écrites en collaboration entre un écrivain, André de Lorde, et un psychologue, Alfred Binet. Malgré leurs différences, ces pièces ont une constante, un point commun : elles suscitent toutes la peur chez le spectateur. C’est précisément la façon dont Binet et de Lorde établissent cette peur à travers leurs pièces qui sera l’objet d’étude de ce mémoire. Ce mémoire se limite à l’analyse de deux œuvres en particulier : L’Obsession, et Une leçon à la Salpêtrière. Appréhender la notion de peur dans une œuvre théâtrale impose de réfléchir non seulement aux thèmes développés mais également à la construction dramatique du récit et à sa mise en scène. Dans le cas spécifique d’une pièce Grand-Guignol, il y aura une dimension supplémentaire à inclure : ce que l’on peut appeler « l’expérience Grand-Guignol ». De quelles façons le fait même d’aller voir une pièce dans ce théâtre participait-il à l’anticipation et au sentiment de peur nécessaire à l’efficacité des pièces ? Après un bref rappel de l’histoire du Grand-Guignol, les causes externes comme le quartier de Montmartre, mais aussi les habiles coups publicitaires des premiers directeurs artistiques ainsi que la configuration du théâtre lui-même sont étudiées pour montrer comment elles ont largement contribué à créer un véritable mythe autour du Grand-Guignol. Dans la deuxième partie, une analyse spécifique des deux pièces mentionnées précédemment est faite. Les questions suivantes ont été posées : sur quels thèmes pouvaient bien jouer les auteurs pour toucher leur public ? En quoi ces thèmes reflétaient-ils les peurs de l’époque, c’est-à-dire de la « Belle Epoque » ? Dans la dernière partie, une analyse textuelle et scénique a été faite au cours de laquelle il a été tenté de comprendre comment les auteurs provoquent et entretiennent la peur et l’angoisse à travers à la fois la construction dramatique des pièces et leurs jeux de scène.
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L’objectif majeur de ce mémoire est d’étudier la notion de la faute et le degré deculpabilité dans les tragédies inspirées du personnage de Phèdre. Nous allonsanalyser la notion de la faute et ses conséquences dans trois différentes tragédies àsavoir Hippolyte d’Euripide, Phèdre de Sénèque et celle du même titre de JeanRacine. Nous allons faire une étude comparative entre les trois versions enmontrant les ressemblances et les différences dans le traitement de la faute. Enfin,on va voir comment la faute commise volontairement pousse une personne à secondamner elle-même.
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The outcome of an audience study supports theories stating that stories are a primary means by which we make sense of our experiences over time. Empirical examples of narrative impact are presented in which specific fiction film scenes condense spectators' lives, identities and beliefs. One conclusion is that spectators test the emotional realism of the narative for greater significance, connecting diegetic fiction experiences with their extra-diegetic world in their quest for meaning, self and identity. The 'banal' notion of the mediatization of religion theory is questioned as unsatisfactory in the theoretical context of individualized meaning-making processes. As a semantically negatively charged concept, it is problematic when analyzing empirical examples of spectators' use of fictional narratives, especially when trying to characterize the idiosyncratic and complex interplay between spectators' fiction emotions and their testing of mediated narratives in an exercise to find moral significance in extra-filmic life. Instead vernacular meaning-making is proposed.
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This article is an analysis of the story of the killing of Ḥusayn b. ʿAlī at Karbalāʾ in 61/680, as it is presented by Abū Jaʿfar Muḥammad b. Jarīr al-Ṭabarī (d. 310/923). The main argument is that the notion of the divine covenant, which permeates the Qur’an, constitutes a framework through which al-Ṭabarī views this event. The Qur’anic idea of the covenant is read in structural/thematic continuity with the Hebrew Bible account of the covenant between Yahweh and the Hebrew people, which has, in turn, been traced back in its basic form to Late Bronze Era treaties between rulers and their vassals. The present study focusses on four speeches ascribed to Ḥusayn during the encounter he and his group had with the vanguard of the Kūfan army led by al-Ḥurr. These are analysed in accordance with their use of Qur’anic covenant vocabulary. They are also categorised within the broader framework of the eight standard characteristics of Ancient West Asian and Biblical covenants, as presented by George Mendenhall and Gary Herion, which have recently been developed in a Qur’anic context by Rosalind Ward Gwynne. This article argues that al-Ṭabarī’s Karbalāʾ narrative presents the pact of loyalty to Ḥusayn as a clear extension of the divine covenant.