2 resultados para Technologie des autres industries
em Dalarna University College Electronic Archive
Resumo:
Ce mémoire a pour but de comparer deux romans policiers contemporains et ayant eu un grand succès, l’un écrit par Henning Mankell dont la traduction française a paru sous le titre Les Morts de la Saint-Jean et le second est Pars vite et reviens tard de Fred Vargas. L’objectif de la candidate est d’essayer de trouver les éléments réalistes dans le décor, les personnages et l’enquête. Pour ce qui est du premier paramètre, la candidate montre que Mankell n’essaie jamais de cacher la vérité derrière une surface idéale ; il en va de même pour Vargas qui accentue les points de vue divergents des Français sur la réalité de leur pays. En ce qui a trait aux personnages, on distingue dans le portrait qu’en fait Mankell un combat compliqué et non manichéen, proche de la réalité psychologique; idem pour ceux de Vargas, mais le réalisme est quelque peu atténué par un recours au mystère. Enfin, l’enquête menée par Wallander aboutit un peu par hasard grâce à son intuition alors qu’Adamsberg résout l’énigme grâce à sa faculté de voir, de s’imaginer et d’aller au-delà de la capacité des autres. La conclusion générale du mémoire est que ces deux œuvres sont tout à fait réalistes, mais à un degré un peu différent. Le roman de Mankell l’est sans doute davantage dans la mesure où le recours au mystère est écarté et que l’enquête est menée de façon logique alors que le roman de Vargas, tout en suivant les règles de la logique, a tendance à faire appel au merveilleux. En tout état de cause, il s’agit de deux œuvres réalistes comportant un côté romantique plus ou moins bien exprimé.
Resumo:
Le but de ce mémoire est d’étudier les origines étymologiques des mots argotiques qui ont commencé à être utilisés pendant le vingtième siècle. 100 mots ont été choisis et présentés selon leurs origines. Les mots ont été choisis dans le Dictionnaire de l’argot et du français populaire. Les langues d’origine les plus représentées parmi ces 100 mots ont été étudiées pour voir s’il y a une raison probable pour laquelle le français a emprunté des mots à ces langues. Nous avons classé la plupart des mots en champs lexicaux pour examiner s’il y a un certain type de mots qui sont empruntés et si les langues différentes contribuent à des champs lexicaux différents. L’étude a montré que le français a emprunté des mots argotiques aux beaucoup de langues différentes pendant le vingtième siècle. L’anglais et l’arabe ont contribué avec le plus grand nombre de mots. Pour ces deux langues et pour la plupart des autres langues de l’étude, nous discutons des raisons possibles pour lesquelles les mots ont été empruntés.