2 resultados para Raison

em Dalarna University College Electronic Archive


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Le but de ce mémoire est d’étudier les origines étymologiques des mots argotiques qui ont commencé à être utilisés pendant le vingtième siècle. 100 mots ont été choisis et présentés selon leurs origines. Les mots ont été choisis dans le Dictionnaire de l’argot et du français populaire. Les langues d’origine les plus représentées parmi ces 100 mots ont été étudiées pour voir s’il y a une raison probable pour laquelle le français a emprunté des mots à ces langues. Nous avons classé la plupart des mots en champs lexicaux pour examiner s’il y a un certain type de mots qui sont empruntés et si les langues différentes contribuent à des champs lexicaux différents. L’étude a montré que le français a emprunté des mots argotiques aux beaucoup de langues différentes pendant le vingtième siècle. L’anglais et l’arabe ont contribué avec le plus grand nombre de mots. Pour ces deux langues et pour la plupart des autres langues de l’étude, nous discutons des raisons possibles pour lesquelles les mots ont été empruntés.

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Cet article porte sur les deux premiers romans de Faïza Guène : Kiffe kiffe demain (2004) et Du rêve pour les oufs (2006), ainsi que les traductions en langue suédoise : Kiffe kiffe imorgon (2006) et Drömmar för dårar (2008). Nous présentons d’abord quelques mots et expressions dans les textes originaux qui sont porteurs de la culture maghrébine, pour voir comment ces termes sont traduits en suédois. Ensuite, nous discutons quelques mots qui sont porteurs de la culture française. L’étude porte également sur l’oralité et le registre argotique, qui sont des traits caractéristiques de la prose de Faïza Guène. Or, si l’oralité est, dans l’ensemble, bien transférée en langue suédoise, il s’est avéré impossible de la rendre par les mêmes moyens dans la langue cible. Par conséquent, le procédé de compensation est fréquemment utilisé dans les textes traduits. Une conclusion de notre étude est que le côté argotique et « beur » des ouvrages est un peu moins développé dans les traductions que dans les textes originaux. Pour cette raison, on peut parler d’un procédé de normalisation : le texte cible a parfois tendance à devenir moins singulier – ou, si l’on veut, plus « normal », plus « neutre » que le texte source.