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em Dalarna University College Electronic Archive
Resumo:
Depuis très récemment, un changement est en train de se produire dans le domaine de la traduction de la littérature jeunesse: auparavant et pendant de nombreuses années, les ouvrages traduits venaient le plus souvent de la Suède pour être traduits en français (Gossas & Lindgren, 2011). Dans l’autre sens, on trouvait des imagiers plus ou moins sans texte, des bandes-dessinées (surtout franco-belges), des retraductions et quelques classiques comme les très populaires ouvrages de Jules Verne ou Le Petit Prince. Or, la littérature jeunesse française est certes abondante – et ce même si l’on s’en tient aux livres publiés en France, mais aussi souvent de grande qualité littéraire et iconique, ce qui devrait a priori encourager sa diffusion. Cette littérature a de surcroît la chance de pouvoir surfer sur la vague actuelle des traductions du français au suédois de livres ne faisant pas partie de cette catégorie. Mais il est bien connu que le système littéraire suédois de la littérature jeunesse comporte peu de livres traduits, en dehors des traductions massives d’ouvrages en anglais. Les questions auxquelles nous répondrons lors de notre présentation sont : Quels sont les livres actuellement traduits du français vers le suédois ? Qui les traduit (quels éditeurs et quels traducteurs) ? Nous allons ainsi montrer quelle a été l’évolution depuis 1970 jusqu’à nos jours. Nous ferons aussi le lien avec nos études précédentes concernant le sens inverse, c’est-à-dire la traduction en français de la littérature suédoise contemporaine pour la jeunesse et de nos résultats en la matière sur les livres traduits, les éditeurs et les traducteurs. Nous utiliserons comme base théorique la théorie du polysystème (Even-Zohar), notamment concernant le rôle de la littérature traduite dans un système littéraire, et les études descriptives de la traduction (voir Toury, Shavit, etc.).
Resumo:
This research explores the downstream perceptions of liquid carton board versus competing materials in packaging applications for juice. The methodology used is focus groups. The context is sustainability and functional performance, and related potential implications for the beverage industry value chain. The purpose is to get a deeper insight and understanding of functionality in relation to juice beverage packaging. The results confirm that there is no optimal packaging for every juice product, but a multitude, depending on the distribution channel, retail outlet, customer preferences, and context of consumption. There are some general packaging preferences, but the main deciding criteria for purchase seem to be the product characteristics in terms of quality, taste, brand, price and shelf life. For marketing reasons, packaging has to be adopted to the product and its positioning, liquid carton board packaging seem to have some functional advantages in distribution and is considered as sustainable and functional among many consumers. Major drawbacks seem to be shape limitations, lack of transparency, and lack of a “premium look”. To improve packaging performance and avoid sub-optimization, actors in the beverage industry value chain need to be integrated in development processes.