3 resultados para Littérature et théâtre du XXe siècle

em Dalarna University College Electronic Archive


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le but de ce mémoire est d’étudier les origines étymologiques des mots argotiques qui ont commencé à être utilisés pendant le vingtième siècle. 100 mots ont été choisis et présentés selon leurs origines. Les mots ont été choisis dans le Dictionnaire de l’argot et du français populaire. Les langues d’origine les plus représentées parmi ces 100 mots ont été étudiées pour voir s’il y a une raison probable pour laquelle le français a emprunté des mots à ces langues. Nous avons classé la plupart des mots en champs lexicaux pour examiner s’il y a un certain type de mots qui sont empruntés et si les langues différentes contribuent à des champs lexicaux différents. L’étude a montré que le français a emprunté des mots argotiques aux beaucoup de langues différentes pendant le vingtième siècle. L’anglais et l’arabe ont contribué avec le plus grand nombre de mots. Pour ces deux langues et pour la plupart des autres langues de l’étude, nous discutons des raisons possibles pour lesquelles les mots ont été empruntés.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le Grand-Guignol n’a reçu que peu d’attention critique sérieuse jusqu’à la fin des années 1980. Ce petit théâtre a pendant 65 ans, de 1897 à 1962, offert des pièces d’un genre nouveau mêlant terreur, violence et souvent érotisme. Le succès était au rendez-vous et le Théâtre du Grand-Guignol est longtemps resté une attraction incontournable de Paris. Les pièces choisies pour ce mémoire sont issues de ce répertoire et ont cela de particulier qu’elles ont été écrites en collaboration entre un écrivain, André de Lorde, et un psychologue, Alfred Binet. Malgré leurs différences, ces pièces ont une constante, un point commun : elles suscitent toutes la peur chez le spectateur. C’est précisément la façon dont Binet et de Lorde établissent cette peur à travers leurs pièces qui sera l’objet d’étude de ce mémoire. Ce mémoire se limite à l’analyse de deux œuvres en particulier : L’Obsession, et Une leçon à la Salpêtrière. Appréhender la notion de peur dans une œuvre théâtrale impose de réfléchir non seulement aux thèmes développés mais également à la construction dramatique du récit et à sa mise en scène. Dans le cas spécifique d’une pièce Grand-Guignol, il y aura une dimension supplémentaire à inclure : ce que l’on peut appeler « l’expérience Grand-Guignol ». De quelles façons le fait même d’aller voir une pièce dans ce théâtre participait-il à l’anticipation et au sentiment de peur nécessaire à l’efficacité des pièces ?  Après un bref rappel de l’histoire du Grand-Guignol, les causes externes comme le quartier de Montmartre, mais aussi les habiles coups publicitaires des premiers directeurs artistiques ainsi que la configuration du théâtre lui-même sont étudiées pour montrer comment elles ont largement contribué à créer un véritable mythe autour du Grand-Guignol. Dans la deuxième partie, une analyse spécifique des deux pièces mentionnées précédemment est faite. Les questions suivantes ont été posées : sur quels thèmes pouvaient bien jouer les auteurs pour toucher leur public ? En quoi ces thèmes reflétaient-ils les peurs de l’époque, c’est-à-dire de la « Belle Epoque » ? Dans la dernière partie, une analyse textuelle et scénique a été faite au cours de laquelle il a été tenté de comprendre comment les auteurs provoquent et entretiennent la peur et l’angoisse à travers à la fois la construction dramatique des pièces et leurs jeux de scène.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le présent travail est une étude sur Le Petit Prince, d’Antoine de Saint-Exupéry. Le but principal du mémoire est d’analyser la réception du message chez le lecteur adulte et chez le lecteur enfant. Nous avons analysé comment l’enfant et l’adulte interprètent le message donné par l’oeuvre, parsemée d’images et d’allégories, des citations qui son devenues symboliques avec le temps. Ensuite, nous avons analysé les personnages dans le but d’interpréter leur sens symbolique. Pour réaliser cette recherche, nous avons regardé plusieurs interprétations allégoriques. Les résultats de notre étude nous ont permis d’affirmer que la réception du message n’est pas la même chez le lecteur adulte et le lecteur enfant. Les résultats de cette étude montrent enfin qu’il est trop difficile pour le lecteur enfant de comprendre le sens moral d’une image allégorique, tandis que le lecteur adulte est plus apte à interpréter l’image allégorique en s’appuyant sur son expérience de la lecture et de son expérience de la vie quotidienne. L’auteur utilise l’image symbolique dans la littérature pour montrer avec plus de clarté la condition humaine. En conclusion nous apprenons que Le Petit Prince nous fait réfléchir sur la vie de la façon plus profonde et philosophique.