2 resultados para Bruit de fond
em CentAUR: Central Archive University of Reading - UK
Resumo:
À haute intensité, les deux principales sources d'inconfort physique au travail sont la chaleur et le bruit (Pellerin & Candas, 2003). Même à des intensités modérées et faibles, le bruit affecte les performances cognitives, y compris dans les tâches de bureau courantes, mais il le fait de plusieurs manières différentes selon la nature du bruit (par exemple, discours vs. non-discours, intensité sonore, variabilité et prévisibilité etc.) et le type de tâche dans laquelle l'individu ou le groupe est engagé. Il est un peu surprenant, donc, que les individus expriment souvent une préférence pour travailler dans des conditions de bruit modérées (Schlittmeier & Hellbrück, 2009). Les multiples formes de perturbation auditive nuisant aux performances cognitives sont examinées et comparées avec leurs avantages potentiels dans le cadre du travail, résultant du traitement du bruit de fond en termes de sens du lieu, d'apprentissage fortuit des régularités dans le monde auditif, et de commutation intelligente de l'attention.
Resumo:
The current research agenda for construction process improvement is heavily influenced by the rhetoric of business process re-engineering (BPR). In contrast to the wider literature on BPR, there is little evidence of critical thought within the construction management research community. A postmodernist interpretation is advocated whereby the reality of management practice is defined by the dominant management discourse. The persuasiveness of BPR rhetoric is analysed with particular reference to the way in which it plays on the insecurity of modern managers. Despite the lip service given to ‘empowerment’ and ‘teamwork’, the dominant theme of the re-engineering movement is that of technocratic totalitarianism. From a critical perspective, it is suggested that BPR is imposed on construction organizations to ensure continued control by the industry's dominant power groups. Whilst industry leaders are fond of calling for ‘attitudinal and cultural improvement’, the language of the accepted research agenda continually reinforces the industry's dominant culture of ‘control and command’. Therefore, current research directions in process improvement perpetuate existing attitudes rather than facilitating cultural change. The concept of lean construction is seen to be the latest manifestation of this phenomenon.