2 resultados para Sélection positive et négative
em Universidad del Rosario, Colombia
Resumo:
Différents points de vue pour déterminer la portée du secret des délibérations dans certains tribunaux internationaux ont débouché sur le fait que les juges aient le droit de présenter des opinions séparées; alors que d’autres n’ont pas ce droit. En tenant compte du rôle et des objectifs des missions internationales, les juges devraient avoir le droit de présenter des opinions séparées, de la même façon que dans le système de common law et dans un grand nombre de tribunaux constitutionnels.Cependant, ces analogies ont joué un rôle marginal dans les travaux préparatoires du Statut de la Cour Permanente de Justice Internationale en 1920. D’autant que les Etats ne trouvaient pas orrect qu’une opinión juridique d’un juge international soit condamnée a l’anonymat comme consequence du principe du secret des délibérations, ceci comme conséquenced’un «technicisme» relatif au fait que ladite opinion était contraire à la position majoritaire de la Cour au moment de voter le projet de la décision.Les règles générales de droit international public garantissent un pouvoir autonome au pouvoir judiciaire international. Selon les règles de procédure des tribunaux internationaux, les juges ont le droit de se prononcer avec une opinion séparée, même si ce droit ne se trouve pas typifié de façon expresse dans le Statut ou dans le traité constitutif de l’organisation. Cette règle est présumée à moins qu’il y ait eu une claire volonté des Etats dans le sens contraire.Le droit relatif aux opinions séparées peut être analysé sous la perspective des juges en tenant compte de leur droit à la liberté d’expression. En ce sens, un juge international peut avoir la liberté pour démontrer, de façon systématique, par le biais d’opinions séparées, les vides argumentatifs de la majorité, en évitant un style qui puissent être offensif envers ses collègues. Cette façon de s’exprimer est considéré inoffensive envers l’autorité judiciaire.Les effets positifs par l’absence, ou l’interdiction, d’opinions séparées, en relation avec l’indépendance des juges internationaux ne sont pas faciles à mettre de côté. Cependant, ce genre des mesures restrictives à la liberté d’expression n’est pas suffisamment effectif ni proportionné pour légitimer l’objectif du juge. Il y a des instruments bien plus effectifs y moins restrictifs qui mènent au même résultat (par exemple, un seul mandat, non renouvelable, des juges nternationaux).
Resumo:
El síndrome antifosfolípido es un desorden autoinmune caracterizado por hipercoagulabilidad que requiere terapia anticoagulante como pilar fundamental, siendo la warfarina el tratamiento de elección en los casos que requieren manejo por largos periodos. Sin embargo, los pacientes con anticoagulante lúpico positivo representan un reto porque tienen mayor riesgo de presentar eventos trombóticos, sumado a que el seguimiento con el International Normalized Ratio (INR) no es confiable, ya que estos anticuerpos generan interferencia con las pruebas de laboratorio basadas en fosfolípidos, como es el caso del tiempo de protrombina (PT) con INR basal prolongado, incluso antes del inicio de la terapia anticoagulante. Por tal razón, se ilustra el caso de una paciente con síndrome antifosfolípido primario y anticoagulante lúpico positivo quien ha presentado múltiples episodios trombóticos, a pesar de recibir terapia anticoagulante. Además se hace una revisión de la literatura disponible y se postulan nuevas metas de INR en estos pacientes diferentes de las que se plantean actualmente.